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Zone Countdown ─ Jackson Voorhees
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Zone Countdown
 
Description

Résumé

L’alter de Jackson lui permet, après avoir inscrit sur sa peau les mots magiques « Jack a dit… » et toucher la personne avec la paume de sa main, tout en prononçant la même formule, de faire apparaître, le nombre 666 sur le corps du membre cité de ses victimes (Bras, main, jambe, pied, doigt, oreille, cou etc…). Jack peut ensuite connaitre la position, savoir si la personne est en vie, écouter et parler à travers les chiffres dessinés. La proie est ensuite contrainte d’écouter et d’exécuter les commandes données qui suivent les mots « Jack a dit… ». Un ordre exécuté sans le vouloir de Jack ou pas effectué, entraîne une diminution des chiffres du compteur. Et à la fin du décompte, l’endroit lié au minuteur et qui a été cité, est tranché. La douleur ressentie est la même qu’une coupure à la lame.  

Avec son alter, Jack peut influencer plusieurs personnes à la fois et les gérer en simultané. L’effet est le même que lorsqu’il est au téléphone avec plusieurs individus en même temps. Un peu comme de la télépathie. Il peut entendre les battements de cœur, parler à travers la marque et entendre parler le marqué. Seul Jack peut utiliser les propriétés du tatouage. Zone Countdown fonctionne sur un territoire de plusieurs mètres et sur une certaine durée, avec des règles de jeu que les joueurs se doivent d’écouter et suivre. Un règlement qui doit-être énoncé avant chaque début de partie.

Inactivité
L’effet de l’alter ne fonctionne pas si Jack n’arrive pas à toucher sa victime et/ou ne prononce pas la formule « Jack a dit ». Ou encore si les mots sur sa peau sont mal orthographiés ou illisible.

L’alter est annulé quand les règles ne sont pas évoquées par l’utilisateur dans les 666 secondes. Si la cible est endormie, c’est à son réveil que le jeu prend place. Pour pouvoir effacer le compte à rebours. Il faut trouver ou deviner le mot de passe, réussir à tenir 6 heures, neutraliser Jack, ou alors il faut que le maître du jeu mette fin à la partie en prononçant « Jack a dit fermé de rideau »

Règles & Peines

Règles
1 La partie commence quand la marque apparaît
2 Chaque joueur doit écouter/lire et exécuter les commandes qui sont précédées par « Jack a dit ».
3 Si un joueur exécute une action qui n’est pas précédée par « Jack a dit », il est pénalisé.
4 Quand un joueur refuse d’exécuter une commande, il est pénalisé.
5 Quitter la zone est interdit
6 Un code secret de sortie est attribué à chacun des joueurs


Pénalités
− 10 points pour chaque action volontairement contrôlée du joueur, qui n’est pas précédée par « Jack a dit »
− 100 points quand un joueur refuse d’exécuter une commande



*Ce sont les 6 règles à obligatoirement cités. Jack peut créer d’autres pénalités en inventant plusieurs autres règles. (Exemple : règle n°7 – toutes les heures les joueurs doivent marquer un panier à trois points, en cas d’échec le nombre diminue de 50)
*Les mots de passes peuvent-êtres divers et variés. Pouvant être une énigme, un objet à trouver, un ticket gagnant etc…




Evolution de l'Alter

L’évolution de l’Alter de Jack se fait à force d’utilisation. Plus il utilise sa capacité sur les gens et plus il s’améliorera. Jusqu’à atteindre les paliers suivant de ses deux aspects.

─Zone fantôme─
L’aspect créé une zone de plusieurs mètres sur une certaine durée autour de l’utilisateur. Un champ circulaire se forme et les couleurs du paysage alentours se mue en noir et blanc, que seuls Jack et les marqués peuvent voir.

─Palier 1─ 366 mètres et 2 heures
─Palier 2─ 466 mètres et 4 heures
─Palier 3─ 566 mètres et 6 heures
─Palier 4─ 666 mètres et 8 heures
─Etc….─


─Marque folle─
Le garçon peut parasiter plusieurs personnes à la fois. Soit en touchant 2 malheureuses victimes en même temps avec ses deux mains (il devra écrire deux fois Jack a dit… sur sa peau en indiquant la même partie du corps humain. Et non pas deux membres différents.), ou les uns après les autres. « Jack a dit… » peut-être écrit un certain temps sur le corps de Jack. Passé cette durée, les mots s’effaceront et il devra réécrire « Jack a dit… » pour pouvoir transmettre la marque.

─Palier 1─ 3 personnes et durée de 15 minutes
─Palier 2─ 6 personnes et durée de 30 minutes
─Palier 3─ 12 personnes et durée de 60 minutes
─Palier 4─ 24 personnes et durée de 120 minutes
─Etc….─


Potentiel maximum

Zone countdown, s’est muté et est né du caractère complètement loufoque du personnage. Un état d’esprit et une mentalité brisée par tous les troubles psychologiques qu’il porte. Le seul moyen pour Jack d’atteindre un potentiel maximum avec son alter, c’est psychologiquement. Il faut que son esprit plonge dans un chaos et une folie encore plus profonde que ce qu’il gère actuellement.  

À son apogée, l’alter pourrait s’étendre sur une zone de plusieurs kilomètres. Et Jack pourrait infecter une centaine de personnes, autant de place qu’il y a sur son corps, pour autant d'inscriptions possible. Qui sait si un jour il en arrivera la.

Mise en situation RP

 Il suffit d’une nuit pour que tout change dans votre vie. J’ai ce souvenir, ce cauchemar que j’ai vécu. Je devrais dire survécu ! J’ai eu de la chance. Beaucoup de chance. Mais je ne souhaite à personne ce qui m’est arrivé.

Je me souviens parfaitement de cette nuit-là. Je rentrais de l’épicerie. J’avais acheté un paquet de chewing-gum. Je dois avouer que j’étais un peu bourré et mâcher quelque chose me faisait du bien. Pour une quelconque raison, j’avais décidé de regarder mon téléphone pour me tenir informer de l’heure. Il était minuit et quelques minutes. Je ne me souviens plus de l’heure exact, mais il était minuit !

J’avais eu à peine le temps de lever ma tête pour regarder la route, que soudain, une main me toucha l’épaule. J’ai senti un contact glacé sur mon cou qui me donna des sueurs froides à en faire hérisser tous les poils de mon corps. Quand j’ai tourné ma tête sur la gauche, comme pour regarder derrière mon épaule, j’avais devant ma vision pétrifiée, deux paires de grands yeux bleus, globuleux, froids et remplies de démences.
Mais son visage. Son visage il était tellement tordu, avec ce grand sourire. Je n’en avais jamais vu d’aussi large. Il était tailladé des extrémités de sa bouche, jusqu’à ses joues. Comme un grand sourire. Une vision d’horreur c’était dessinée devant moi. Mais le pire c’était son rire qui sortait de cette même bouche déformée. Ce rire psychotique et démentiel à vous en faire perdre toute santé mentale.

Pétrifié par la stupeur, immobilisé par la peur, je ne savais pas comment réagir et d’ailleurs je n’ai pas eu le temps de dire ou faire quelque chose, qu’il s’était mis à dire, dans une voix des plus sinistres :

« Jack a dit jambe ! »

Sans comprendre ce qui se passait, je me fis pousser en avant. En essayant de m’attraper avec l’arbre qui se tenait à notre droite et par manque d’équilibre, je n’ai pas pu m’y agripper. Je me trouvais les fesses sur le trottoir de cette allée sombre et vide, avec cette figure rieuse et inhumaine qui se tenait devant moi. J’étais effrayé et paralysé. À la merci de mon agresseur. Je n’osais pas bouger, j’ignorais ce qui pouvait m’attendre si je faisais le moindre faux pas. Et je ne préférais pas savoir. J’essayais de mettre un peu d’ordre dans ma tête, quand, ce qui semble être un garçon, se remis à parler.

« Et bien ! Et bien ! Bienvenu à toi mon cher participant à cette grande folie qu’est la vie ! Alors dis-moi frérot ! Ça t’intéresse de jouer avec moi, même si tu n’es pas intéressé ? Moi je suis parti pour ! C’est très simple, il y a des lecteurs qui veulent vraiment quelque chose de palpitant. Alors je vais te dire ce que tu vas faire. Et on va essayer de faire en sorte d’amuser la galerie. »


Je ne comprenais pas ce qu’il m’arrivait. Il y avait un fou devant moi, qui parlait sans s’arrêter et qui semblait délirer, je ne comprenais pas ce qu'il disait. Il tortillait son corps dans tous les sens, je pouvais sentir son euphorie presque contagieuse quand je le regardais. Il me regarda fit un petit temps de pause et se mit à tousser quelques petits rires malicieux avant d’enchainer dans son monologue :

« Participant, j’espère que tu ne t’amuses pas trop, parce que ça ne fais que commencer. Ecoutes bien ma petite Carrie Ingalls ! La première règle du fight club, c’est qu’il ne faut pas parler du fight club ! Nan !!! KYHAHAHA !!! Je rigole ! La partie commence à la fin du règlement, sois attentif ! Les règles sont simples. Tu as déjà joué à "Jack a dit" ! Si t'as jamais fait c'est facile, il faut que tu exécute une action à chaque fois que je dis "Jack a dit". Si tu bouges, ou si tu fais quelque chose et que je n’ai pas dit Jack a dit ! PENALITE ! Si tu refuses de faire mon "Jack a dit". PENALITE ! Si tu sors de la zone grise. PENALITE ! PENALITE ! PENALITE ! Un c’est vrai Lucille ! PENALITE ! Ne t’inquiète pas nous allons bien nous amuser ensemble ! On a 6 heures de jeux ensemble ! On risque de s’amuser comme des petits fous, ou des petits fours ! Parce que tu sais… Fou, four… »


Je ne savais pas où me mettre quoi faire. Et je ne voyais pas de quelle zone grise il parlait. Je ne pouvais qu’écouter les insanités qu’il proférait. Pendant son monologue, il avait sortie cet énorme couteau de boucher. Il semblait noué un lien particulier avec, à le caresser, le reluquer et même l’appeler Lucille. Je ne pouvais décidément pas faire n’importe quoi, et je m’étais résilié à écouter ce fou parler.

« Redevenons sérieux quelque temps. Lucille s’impatiente un peu. Nous allons aborder un sujet triste pour moi. Mais peut-être intéressant pour notre jeune héros ! La possibilité de quitter le jeu en toute liberté avec une récompense à la clé. Et pour ça, rien de plus simple. Il faut trouver un mot de passe, un code secret ! Et pour ça rien de plus simple, tu peux le gagner avec mon petit jeu. La roue de la mort ou tchitchi ! »

Je ne comprenais pas de quoi il parlait, je ne voyais pas de roue. Mais avant même de trop m’interroger sur cette question, je voyais ces yeux qui me regardaient et qui me paralysaient d'effroi, ce sourire diabolique presque enjoué. J’ai eu cette impression qu’il avait deviné ce que je pensais, parce qu’il fit trois tour sur lui-même et il tira un fil fin presque invisible qui se tenait à côté de lui et que je n’avais pas remarqué. À peine son action accomplie qu’un objet, présenté comme une roue de la fortune, tomba sur le trottoir comme par magie. J’étais partagé entre ma peur et la perplexité du spectacle loufoque qui se tenait devant moi. Encore une fois avant que je ne dise quoi que ce soit il enchaîna avec son discours.

« Si tu regardes bien, il y a un chiffre qui est apparu sur ta jambe. Si tu enlèves ton futal, tel une damoiselle dépucelée, tu le verras. Maintenant on peut commencer la partie. GAME START ! »

J’ai senti comme un léger picotement au niveau de ma jambe. J’ai posé mes yeux dessus, mais il y avait mon jean qui m’empêchait de voir. Quand je les ai levés, le monde autour de moi avait légèrement changé et était devenu monochrome. Je ne savais pas s’il avait raison ou pas, mais trop effrayé pour bouger, je n’osais plus le regarder. Le fou devant moi ce mit à rire, d’un rire encore plus sinistre que les précédents. j'ai senti son regard sur moi et se mit à me commander :

« Jack a dit fais tourner la roue ! KYHAHAHAHAHAHA !!!! »

Mes cheveux se sont hérissés quand je l'ai entendu. D'un rapide coup d’œil je l'ai regardé, sont regard cruel était encore plus froid que les précédents. Je n’avais pas lu ce qui était écrit sur cette roue. Tout ce que je voulais c’était partir d’ici, appeler la police et rentrer chez moi pour me mater une bonne série de super-héros. Mais si j’avais su ce jour-là. Si j’avais su que ça se passerait comme ça. Je n’aurai pas réagi pareil. Mais j'étais incapable de raisonner correctement.

Je ne sais pas où j’ai trouvé le courage de me lever et courir vers une possible liberté, mais je l’ai eu. Je me suis levé et commençais à courir à l’opposé de mon agresseur. Plus je m’éloignais, et moins j’entendais ce rire sinistre qui sonnait en decrescendo derrière moi. Pour enfin entendre les battements de mon cœur, et ce bruit à l’oreille. Un bip à chaque pas que je faisais. C'était étrange, mais je ne voulais pas m'arrêter. Au bout d’un moment de course je me suis retrouvé le ventre à terre pour une raison que je ne comprenais pas. Je ne sais pas si c’était l’adrénaline ou autre, mais je ne sentais aucune douleur. Quand j’ai posé les yeux sur mes jambes, une vision d’horreur m’attendait, l’une de mes jambes s’était détachée de mon corps, comme coupée. Du sang en sortait, au bout de quelques secondes, j’ai ressenti une douleur déchirante.

Très vite, cet homme diabolique me rattrapa et à chacun de ses pas, comme un écho, je pouvais entendre ce rire diabolique qui hante encore mes nuits. Avant de disparaître dans le manteau de la nuit cet homme me dit avec son sinistre sourire :

« What the fuck mec ! T’as tué la soirée ! »

Histoire d'un blog sur les légendes urbaines.

Autres infos

Modifications physiques

Aucune modification physique.


Généalogie de l'alter

Rien à dire actuellement. Je ne souhaite pas compléter cette partie.

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