Ollie n'est pas comme les autres et pourtant, elle n'est pas si flagrante dans un monde où ton voisin peut être un homme crocodile ou une femme à tête de lampadaire. Il doit bien y avoir plus extraordinaire qu'une femme zombie, n'est-ce pas ? Ollie n'est pas réellement une morte-vivante mais vu ce qui lui est arrivé, elle aime se penser comme une. Elle a le look, après tout. Digne du monstre de Frankenstein, Ollie est rapiécée. Une partie de son visage n'est pas le sien. Ses bras et ses jambes ne sont pas les siennes. Ainsi de suite.

Si on lui pose la question, elle répondra qu'elle est en réalité trois personnes, constamment, quand bien même la vérité est qu'il n'y a que elle dans sa tête. Elle et le trauma qu'est d'avoir fusionné avec ses amies pour survivre. Il se peu que, parfois, Ollie ait la tête dans les nuages, ait l'air perdu pendant de longues secondes. Elle entend les voix de ses amies, fruit de son imagination dérangée. Son alter n'y ait pour rien mais elle clame tout de même haut et fort qu'elle porte les rêves, les espoirs et les désires d'Ollie, Anya et Pavolia. Elle n'a pas de double ou triple personnalité à proprement parlé, non. Elle va surtout baragouiner sur des trucs qui n'existe pas et se fonder sur des paroles qui n'ont été prononcées que dans son esprit.

Mise à part ce petit détail, la zombie est une personne charmante, tant que l'on reste du bon coté de la chose. Elle a beaucoup de qualité mais qui ont été tant poussée à l’extrême après son meurtre qu'ils peuvent devenir des inconvénient. Un exemple simple : c'est bien d'être positif et joyeuse, mais peut-être pas au point de hurler la raison de sa joie dans les rues. Ou encore, c'est une bonne chose que d'être motivé et s'activer, mais cela devient également une corvée pour les autres que de la suivre quand elle part au quart de tour. Elle est souvent vue comme quelqu'un d'hyper actif, à juste titre. Elle ne sait pas rester en place, rayonnante, de bonne humeur, taquine, même lorsqu'elle doit s'arrêter sur place elle ne peut faire autrement que se balancer d'avant en arrière, de gauche à droite.

Avec ce genre d'attitude, elle cache bien ses malaises et ses idées noires mais cela ne veut pas dire qu'elle ne puisse pas faire preuve de compassion ou de modération lorsque la situation le demande. Elle est très difficile à gérer en mission mais lors de drame, elle est la première à ressentir pour les autres. Tout comme son père, elle peut porter de l'affection à tout et tout le monde mais contrairement à son père, elle le montre au centuple. Elle serait prête à acheter le stand de ballon d'hélium au complet si ça peut redonner le morale à un gamin en pleure ou à prendre dans ses bras la première personne se sentant mal. Ce genre de sentiment est aussi similaire de l'autre coté cependant. C'est ce qui donne à Ollie une réputation si mitigée. Si elle peut aimer, elle peut aussi déteste et quand bien même elle ne montre pas ça par de la colère mais par des moqueries et un rire dément, les conséquences sont bien souvent un coup d'épée entre les deux yeux.

Dépendant du poids des crimes des cibles de sa colère, Crazy est rapide à la détente et n'hésite pas à trancher dans le lard. Elle évite de tuer puisque ce n'est pas très héroïque mais elle inspire la peur dans le regard de ses ennemis par son manque d'hésitation totale à l'idée de séparer une jambe d'un corps. Elle utilisait cette seconde vie pour nettoyer les rues de la crasse humaine et pour soigner ceux qui ont besoin de ses soins. C'était l'une de ses obsession parmi tant d'autres.

Héro, anti-héro, peu importe comment vous voulez la décrire, Il y aura toujours deux facettes à Ollie. La joie et la bonne humeur, une fille qui s'habille cool et qui a l'air excentrique ... Ou les rires psychotique d'une morte-vivante avec une épée dans la tête qui cours après la vermine dans des habilles en lambeaux. Les habits qu'elle avait lors de ce jour fatidique et qui faisait désormais une piètre excuse d'habit héroïque.
     
   

Olivia a toujours eut une enfance … Pas comme les autres. D’aussi loin qu’elle se souvienne, elle n’a jamais connu sa mère et la raison de sa disparition n’a jamais été révélée, même pas par son propre père. Peut-être est-elle morte. Peut-être a-t-elle simplement quitté son père. L’important étant qu’un père seul avait du mal à élevé sa fille prodige, encore plus lorsque le père en question ne se contentait pas simplement d’aller au bureau de 8h à 16h et rentrer avec le salaire servant à vivre, non.

Le père d’Olivia était et est encore à ce jour un grand criminel. Cependant, il n’est pas connu pour dévaliser des banque ou commettre des meurtres, non. Il n’est pas un « vilain » à proprement parlé. Cependant, il faisait partit de nombreuses organisation, en changeant parfois comme de chemises pour le plus offrant. Etre médecin, un médecin aussi doué que lui, dans le monde du crime, c’était assez prisé. Après tout, que faire quand un vilain est grièvement blessé ? On ne va pas se faire soigner dans un hopital, n’est-ce pas ? Si un foie déraille ou si une balle a transpercé un organe vital, on ne peut pas simplement se mettre un bandage et attendre que sa passe. C’est là que Gregory Holamaris entrait en jeu. Âme tendre entrainée dans un monde de crime pour des raisons mystérieuses que même sa fille ne connaissait pas. Mais si on lui demande, il dira que les vilains aussi ont droit de vivre et il aidait à ce processus.

C’est donc en passant de planque en planque, de trou perdu de gangs à manoirs de vilain fortuné qu’Olivia vécu son enfance. Son éducation ? Pleinement entretenue par son père. Des amis ? Elle n’en avait pas vraiment, vu son style de vie. De la compagnie ? Son père faisait de son mieux, réellement, pour être là pour sa fille tout en alliant sa sécurité à son travail. Il avait l’avantage d’être celui qui tient tout le monde en vie et donc d’être protégé simplement par cet exploit. Qui oserait faire du mal au docteur ? Qui oserait s’attirer les foudres du plus grand guérisseur du monde des ombres ?

Le fait est qu’il était un bon père. Il était même un homme bon. Il était simplement du mauvais coté de la barrière. Cette vie cependant n’était pas forcement au gout d’Olivia. Sans amis, sans situation stable, elle savait qu’il y avait pire façon de vivre et que le but qu’elle et son père s’étaient fixé était … Relativement noble … Mais comme chaque jeune, le long terme était pas forcement la chose la plus désirée.

Dans son malheur, cependant, son père obtint finalement un nouveau contrat de longue durée. Il était invité à rester, lui et sa fille, dans une demeure de grand luxe, à travailler à la solde d’une grande figure du syndicat du crime d’amérique. Il semblerait que la fille de cet homme ait besoin de soins experts de manière quotidienne. Vraiment quotidienne. Ne contrôlant visiblement pas son alter, cette fille en question se retrouvait souvent avec … Des organes manquant. Dans le sens où ceux-ci tombant de son corps ? Olivia elle-même ne comprenait pas, pourtant elle avait été bercée dans tout ça très jeune. Elle qui a aidé son père à faire une opération à cœur ouverte à sept ans à peine …

Elle n’avait que dix ans lorsqu’elle rencontra Emma. Une rencontre pleine d’évènement puisqu’elle débuta avec un extrait en directe de sa condition physique. Son alter lui permettait de changer son corps en lumière et comme celle-ci n’est pas tangible et qu’elle ne semblait pas le maitrisé, il n’état pas rare qu’effectivement, elle change son corps en lumière mais pas entièrement. Un cruel destin que de devoir ramasser ses propres organes et chercher un médecin pour les replacer au plus vite. C’était en réalité … L’enfer. Olivia n’osait même pas imaginer. Cela devait faire mal. Cela devait être un stress constant. Cela devait même arriver quand elle dormait … C’était un miracle qu’elle pouvait survivre. La gamine aux cheveux rouge était compatissante et attristée par son sort.

C’est ce qui lui donna envie de ne pas simplement regarder de loin et d’un œil trop respectueux, comme un employeur et son travailleur. Et puis … Rencontrer quelqu’un de son âge était si rare. A cette époque, Olivia n’était pas spécialement recluse mais elle était très certainement plus réservée qu’aujourd’hui. C’est avec timidité qu’elle essayait de s’approcher, de lui proposer de jouer avec elle ou de parler de tout et de riens. Cette simple tentative … Les mena à six longues années d’amitié sincère. L’atmosphère dans laquelle elles grandissaient était certes spéciale mais elles y trouvaient leurs bonheurs. Emma était une enfant de riche et Olivia, ou Ollie pour les intimes, profitait indirectement de ça. Voyant une situation stable alors que son père était le médecin attitré de la famille, s’occupant constamment d’opérer Emma, la jeune « criminelle » pu rejoindre une vrai école, en compagnie de sa nouvelle amie, là où elle put se construire une vie plus saine quand bien même le tout était toujours saupoudré se scènes inquiétante et dangereuses, mais si ces scènes se produisaient au loins.

Et après toutes ces années à être proche et vivre sous le même toit, après toutes ses années à être l’amie de la famille, il suffit d’une erreur pour réveiller la cruauté du père d’Emma qui, visiblement, se fichait bien de leur lien plus qu’étroit …
Emma vint la l’embarquer dans une histoire où elle n’avait pas à y mettre le nez. Elle ne savait pas ce qui avait possédé  son amie pour lui proposer ça mais étant justement son amie, elle ne pouvait pas refuser. Deux gamines, espionnant les affaires du mafieux dans un endroit perdu avec des contactes  à lui. Des contactes qui, lorsqu’ils découvrirent qu’ils étaient épié par d’autres personnes que celles prévue au rendez-vous, a tourné les talon sans manquer d’essayer de tous les tuer dans leur fuite. Cette escapade faisant cracher la poudre et secouant la terre du à l’effet d’alters ne fit aucun réel blessé … Sauf Emma qui était au mauvais endroit, au mauvais moment.

Dans le coma, Ollie la croyait morte et elle fut directement envoyée auprès de son père, le red coat. Et le mafieux ? Il ne laissa pas Ollie s’en tirer comme ça … Le lendemain, alors que l’apprentie chirurgienne était encore morte d’inquiétude et marquée par ce combat, elle fut interceptée à l’école par des kidnappers, elle et deux autres amies qui essayaient de lui remonter le morale sur le chemin du retour.

« Torturer » n’était pas un mot assez fort pour décrire ce qui lui ait arrivé. Laissée entre les mains du pire sadique d’Amérique, elle était devenue une cobaye et le sujet du test était « quel quantité de torture un humain pouvait endurer avant de mourir ». Coupure par coupure, lambeaux de peau par lambeaux de peau, Ollie voyait son corps partir en charpie, ses membres sectionnées, ses organes exposer, aux cotés de ses amies qui hurlaient à la mort, tout comme elle. Décharnée, défigurée, désossée, la gamine était aux portes de la mort, sans doute rendue folle par la douleur alors que son ravisseur l’avait laissé pourrir là, se satisfaisant de ses plaintes et pensant simplement revenir plus tard pour voir trois cadavres.

Mais dans un éclaire de lucidité, elle se fit offrir deux choix. Implorer la mort pour qu’elle vienne la délivrer … Ou tenter de vivre aux dépends de ses bonnes amies désormais mortes et tout aussi « éparpillées » qu’elle. Et dans cet instant de lucidité, elle s’était dit … Qu’elle voulait revoir son père. Qu’elle voulait se cacher dans ses bras. Elle s’est dit qu’elle voulait revoir Emma. Savoir si elle était vivante. Elle ne pouvait pas supporter l’idée … De mourir sans leur dire au revoir. Sans leur dire à quel point elle les aime.

Malgré la douleur et les blessures, Ollie utilisa toute sa détermination pour le pas hurlé lorsqu’elle essaya d’utiliser son alter sur ses liens et s’en défaire. Elle utilisa toute sa détermination pour ne pas faire de bruit lorsque son corps à moitié mort heurta le sol lourdement. Elle utilisa toute sa détermination pour faire fit de la saleté de cette planque insalubre, des bouts de verre et des débris qui lui rentrait dans la chair. Tout ça pour atteindre ses amies, les toucher, fusionner avec les lambeaux de peau et les membres sectionnés. Petit à petit, tel un zombie, la jeune femme se releva de la tombe avec un corps nouveau et horrifique. Tel un pantin désarticulé, elle se dirigea vers les quartiers de son ravisseur, une épée à la main … Une épée noire qui a servit à la découper. L’arme de son bourreau … Et dans un rire dénué de raison, profita qu’il ne fasse pas attention pour balancer cette épée de façon à lui sectionner les jambes. Des cris et des insultes plus tard, le zombie vint faire de même avec ses bras. Puis avec une partie de son visage. Puis à scarifier son torse. Pas question de le finir rapidement. Non. Pas question de le laisser s’en sortir sans qu’il ressente au moins la moitié de ce qu’il lui avait infligé.

Crazy Ollie était née.

Elle ne pouvait plus réfléchir. Elle ne pouvait plus penser. Elle était vide et avec un large sourire sur le visage. Son expression était perdu, vagabonde dans les méandres de son esprit désormais torturé. Etait-elle vivante ? Etat-elle sauvée ? Avait-elle mal ? Avait-elle peur ? Est-ce que ses amies étaient vivante ? Est-ce qu’elle entendait encore leur voix ? Elle n’en savait rien. Elle ne savait plus rien. Ce n’est qu’en marchant à travers une forêt qui séparait toute civilisation de la planque du criminel qu’elle finit par tomber sur une vieille cabine téléphonique. Son esprit était tellement brulé qu’elle reposa son front contre la vitre pendant bien vingt minutes sans avoir le réflexe d’ouvrir la porte, lui donnant pour le coup une vrai apparence de zombie. C’est donc après avoir bataillé avec son esprit torturé qu’elle réussit à entrer et à se souvenir du numéro de téléphone de son père.

En entendant sa voix, son sourire dément s’atténua et son inquiétude la ramena un temps soit peu à la réalité. C’est avec beaucoup de larmes et de détresse dans la voix qu’elle essaya d’expliquer ce qu’il s’était passé et où elle était. Quelques heures plus tard, son père la retrouva enfin et ils prirent la route, direction l’autre bout du pays, sans même repasser par la « maison ». Ce n’était plus leur maison. Ils n’y étaient plus les bienvenus. Son père ne le pardonnera jamais. Son père ne se pardonnera jamais lui-même de n’avoir pas su empêcher une telle horreur d’arriver à sa petite fille adorée. Elle n’était plus ravissante. Elle n’était plus parfaite. Elle n’était plus intacte. Elle était devenue un monstre.

Des heures sur le billard et des semaines pour rétablir Olivia … Réparer son corps, le reformer dans un tout cohérent, désinfecter les plaies, les refermer, guérir les maladies qui ressortit d’une telle boucherie. Il fallut beaucoup d’opérations, beaucoup de sang et de médicament pour faire d’Ollie à nouveau un humain fonctionnel. Et tout ce temps lui permit de … Relativiser. Le choc passé, elle redevenait la jeune femme qu’elle était : prête à voir le bon coté des choses, optimiste, pleine d’énergie.

Elle réfléchissait et vint à une conclusion : elle était sensée être morte, à l’heure actuelle. Cela voulait dire que cette vie, cette nouvelle vie, cette seconde chance … Il ne fallait pas la gâcher. Ce serait si facile de baisser les bras mais cela serait si égoïste. Pourquoi ? Car son père veut voir sa petite fille vivre. Car ses amies sont morte avec elle et leur sacrifice lui a permit de vivre. Car elle n’était pas simplement Ollie désormais … Elle était aussi Anya. Elle était aussi Pavolia. Elle portait désormais avec elle les réves et les vies de deux autres personnes, ses deux bonnes amies, celles qui formaient désormais … Une partie de son visage. Son foi. Ses poumons. Ses os. Ses bras. Ses jambes. Elle était peut-être un monstre … Mais ce monstre allait vivre pour elles et pour lui.

La vie reprit alors son cours. Nouvelle vie, nouvelle école, nouvel endroit, nouvelle identité. Son père approuvait les décisions de sa fille : elle allait devenir chirurgienne et avoir une vie honnête, à la lumière du jour et non pas dans les ombres, comme son père. Cela impliquait qu’elle devait vivre seule, s’émanciper de son père le plus tôt possible sans pour autant perdre contacte ou définitivement ne plus se voir. Au contraire, ils se voyaient encore souvent et il soutenait financièrement sa fille en lui fournissant de l’argent blanchit. Chose dont il était moins certain, cependant … C’était la nouvelle obsession de sa folle de fille. Devenir un héro ? Elles avaient passé leur vie à fuir des gens comme ça. Et puis, c’était un métier dangereux, qu’il voyait mal mélangé à un job de chirurgien calme, posé dans un hôpital de New York. Et pourtant, Ollie ne s’en détournait pas.

Sa seconde vie était dédiée à deux choses. D’une manière générale, à sauver des vies mais également à empêcher ce qui lui arriva d’arriver à nouveau. Ollie souriait. Ollie blaguait. Ollie sautait partout, chantait, riait, mais Ollie était tout de même marquée par son meutre. Elle avait l’impression d’entendre les voix de ses amies. Parfois leur cri de douleur, parfois simplement leur demande. Elle était marquée par la douleur et les souvenirs douloureux. C’était évident que la folle avait désormais un grain qui attristait son père. Elle n’était pas méchante, mais elle n’était plus elle-même. Ou plutôt, elle était … beaucoup trop elle-même. C’est comme si tout ce qui faisait Olivia était tourné au maximum pour créer Crazy Ollie. Ses rires perçant et dément, ses solutions singulières et peu commune à des problèmes qui n’existaient parfois pas et surtout, des tendances extrême. Toujours extrême.

Pendant des années, Ollie étudiait extrêmement bien. Elle faisait la fête extrêmement fort. Elle s’entrainait et repoussait ses limites extrêmement loin. Chaque secondes, chaque bouffée d’air qu’elle respirait était un moment intense, comme si elle devait le vivre au triple. Pour elle, pour Anya et pour Pavolia. C’était au point où elle pouvait passer des jours entiers sans dormir, à avoir la bougeotte avec cette obsession de ne pas gacher son temps, sa nouvelle vie. Mais cette condition avait ses avantages, elle avait aussi des inconvénients de poids. Durant son apprentissage de héro, il y avait eu beaucoup de polémique sur elle. Lors de ses stages dans une agence de héro, ses méthodes étaient … Justement, extrème. Couper des bras ou ouvrir des ventres avec la même épée de son bourreau n’était pas une méthode très apprécier par les héros. Le fait qu’elle ne soit pas renvoyée sur le champ, cependant, est qu’elle justifiait ses actes par la nature de son alter.

Recoller les morceaux et fermer les plaies une fois les menottes passées et rien n’état arrivé, n’est-ce pas ? Sur le papier, cela se tiens mais beaucoup voyaient les effets négatif de telles action. L’image des héros, les séquelles mental laissées sur les vilains ou les témoins … Alors que Crazy Ollie passait ses examens pour devenir chirurgiens, l’école de héro et la communauté rattachée débâtait sur le cas « Crazy » pour savoir que faire de cette barbare bien trop enthousiasme et pourtant si volontaire d’aider. Car en effet, si elle étripait sans merci les vilains, Ollie était en tout point une fille emplie d’amour. Elle chérissait ses amis et aidait les victimes en prenant soin de leur vie comme si c’étaient des membres de sa propre famille mais le reste …

Le débat ne vit cependant pas de fin. Pas parce que le sujet était si complexe mais parce que c’est à ce moment précis que l’effondrement vit les plus grands héros et professeurs de son école mourir dans d’atroces souffrances. A quelques semaines prés et à une réponse favorable du débat près, Ollie aurait vu sa puce implantée en elle et elle serait elle aussi morte.
Déterminée à utiliser sa seconde vie pour contrer le chaos de cette pseudo fin du monde, la folle tira pleinement partit de la situation pour faire valider ses compétences dans la seule école encore debout des USA … La Campbell académie, sur l’ile artificielle de Starfish, afin d’entrer en service au plus vite. Et quand bien même il y avait cette polémique autour d’elle, polémique qui pour elle n’avait ni queue ni tête et n’était qu’un détail, elle fut validée sur le champ après un cours examen. L’urgence de la situation faisait qu’on ne pouvait pas refuser l’aide de quelqu’un un minimum compétent, surtout d’un héro et d’un médecin tout en un.

Elle ignorait cependant qu’en commençant cette nouvelle aventure pour sauver le « monde », elle risquait de voir de vieux fantome du passé … Peut-être des apparitions terrifiante ou de doux souvenirs qu’elle croyait mort.

Après tout … Son père lui avait dit qu’elle avait succombé.
     
   

- A survécu à une boucherie orchestrée par un syndicat du crime Américain.
- A réussit l'exploit de suivre des études d'héroïsme et de médecine en même temps pour à la fois devenir héro et chirurgienne à un age relativement jeune.
- Elle a été la meilleur élève de sa promotion de médecine.
- A été un élément clé à la réussite de la libération d'une ville en Pennsylvanie.- Elle est connu dans le milieu médicale comme étant une chirurgienne de génie, autant à cause de son alter que par ses résultats durant ses années d'études (années d'études plus courte d'ailleurs car elle a sauté des classes)
- Elle est une héroïne toute fraiche qui semble être efficace mais même après avoir tant aidé en Pennsylvanie, on se méfie d'elle pour ses méthodes radicales.
- Dans les deux domaines, elle est aussi connu pour être une femme excentrique ... Une femme complétement folle. Assez pour que cela fasse intégralement partit de sa réputation.
- Dans le milieu du crime, elle est connue pour être la fille d'un des plus grand médecin clandestin, AKA le "Red coat". On la reconnait grâce aux traits distinctifs qu'elle partage avec son père, populaire dans le domaine : Cheveux rouge sang et pupille rouge en losange.Elle maitrise à 100% lorsqu'il s'agit de procédure médicale et tout ce qui est organe, corps humain, ce genre de chose, puisqu'elle s'entraine depuis toute petite là dessus. Cependant, elle ne commence à apprendre réellement, depuis quelques années, à s'entrainer sur toute autre matière alors elle peut être un peu lente ou maladroite là dessus de temps en temps.- Son costume se résume à une robe de style gothique complétement en charpie pour donner cette impression de Zombie. Des bandages, des déchirures, ainsi de suite. Les jambes sont cependant dégagées pour manœuvrer facilement.
- Une épée en acier noir qu'elle garde en général ... En travers de sa tête.- Son initiation dans le monde du crime via son père, sous forme d'opération à cœur ouvert où elle du donner un coup de main.
- Sa rencontre avec Emma
- Sa tentative d'assassinat qui a mit fin aux jours de ses amies et l'a forcé à utiliser leur cadavre pour survivre et se rapiécer avec dans une expérience traumatisante.
- Sa remise de diplôme, symbole qu'elle est sortie du monde du crime.
- Profiter de sa seconde vie pour la mettre à bon usage et sauver des innocents
- Devenir une chirurgienne réputée dans le monde entier
- Démonter le syndicat du crime qui a commanditer son meurtre
- Renouer contact avec de vieilles connaissances lui tenant à cœur.
- Sortir son père de la spirale infernal du monde du crime
- Faire taire les voix
- Rencontrer Tony Hawk et devenir une pro-skater
- Aller au japon et devenir une Zombie Idole
- Ouvrir une boutique de ramen et devenir grand chef
- d'autres trucs complétement loufoque

Elle ne s'y est pas vraiment intéressée puisqu'à l'époque, sa priorité était de fuir les héros avec son père. Cependant, maintenant qu'elle a grandit et qu'elle terminé ses études d'héroïsme à un timing implacable pour ne pas subir le coup de l'effondrement, elle est prête à dire que c'était une belle connerie !Disons que c'était une arrivé folklorique à Starfish. Ollie est restée "calme" à sa manière en se détachant de la réalité pour se focaliser sur ses tâches immédiate : soigner les personnes blessées toujours plus grande en nombre au fil des jours où les vilains ont semé le chaos. Elle courrait partout et oubliait de manger ou dormir. Ce n'est qu'après que les autorités aient repris un peu le contrôle de Starfish qu'elle a pu se poser et réalise le chaos de la situation, un peu choquée avec la réalisation qu'elle allait avoir du boulot, pas qu'un peu, pour remédier à cette tragédie.Elle n'y réfléchit pas trop. Ollie n'est pas idiote, mais elle se focalise sur les tâches à faire petit à petit, une à une, ce qui arrive devant elle. Même sans l'effondrement, il y aura toujours des criminels et des blessé alors elle fonce, tête baissée, à toute occasion où elle pourrait être utile.Elle y a finit ses études d'héro. Elle n'a rien à dire. Tout institut éduquant des héros est un bon institut et si Campbell est celui qui tient Starfish à flot, alors c'est la meilleur !