Ophiuchus est un alter qui porte bien son nom : nom d'une constellation, aussi appelé serpentaire, qui met en scène un serpent et un humain, tout simplement. Il permet à Alix d’arborer tous les attributs de tous les reptiles, même les mélanger. Mais cela se limite aux reptiles contemporains, car Alix doit toucher le reptile en question pour copier son ADN.

Par ce contact, son corps est capable de générer une hormone très spécifique, qui sera synthétisée et sécrétée par un organe annexe à l’hypothalamus (voir Alter Facteur), lui permettant d’activer les gènes responsables d’un caractère.

De plus, Alix a des mimiques de reptile totalement innées, en particulier de serpent : s’immobiliser d’un coup pour observer, siffler de la langue, etc.

Son Alter étant d’activation/mutation, si Alix est soumise à un Alter bloquant son propre Alter, ses mutations restent, mais elle ne pourra pas en refaire. Si cela arrive quand elle est transformée, elle sera bloquée sous la forme d’un serpent jusqu’à ce que l’alter bloqueur soit désactivé.

Chaque cellule d'Alix possède un ADN complexe et instable, hérité de sa mère, composé, en plus des autres humains, d'un ADN "inactivé" (ou dormant) reptilien.

Chaque contact avec un reptile vivant lui permet d'obtenir une clé d'activation de cet ADN, stocké sous forme de signal chimique hormonal très complexe, synthétisé par un organe annexe à l'hypothalamus.

Si Alix veut activer un gène d'un cobra, par exemple, cet organe va sécréter l'hormone qui va, par une cascade chimique, réactiver le gène au coeur des cellules concernées. Son métabolisme lui permet de supporter ces modifications... Jusqu'à un certain point (voir exemples).

Par cet ADN complexe et instable, Alix possède une capacité accrue à générer les organes et éléments liés à l'activation de son ADN reptilien.


Alix possède le métabolisme humain, optimal à 37,5°c de température corporelle, et un métabolisme "de survie" reptilien, qui lui permet de supporter des plus grosses variations de températures corporelles que les humains (à 35°c et en dessous, le corps humain commence à faiblir ; 37,5°c et au dessus, c’est l’hyperthermie). A titre d’exemple, Alix n’est pas considérée en hypothermie si sa température est aux alentours de 25°c, car pour un serpent, c’est une température optimale. A cette température, le métabolisme d’Alix bascule de l’humain vers le reptilien, avec ses avantages et ses inconvénients. Niveau plage de tolérance, c’est assez vague, mais disons que cela permet à Alix de vivre correctement (entendez avec un short et un tee-shirt, ou sans vêtements) si la température de son environnement est entre 19°c et 38°c. Avec le peu de thermorégulation qu’elle peut faire, elle arrive à rester dans les clous de ce que son corps supporte (disons approximativement 23°c - 38°c, mais à 23°c elle subit déjà les ralentissements liés à une hypothermie de 35°c chez l’humain).

Les oreilles pointues d’Alix, ainsi que ses yeux fendus lilas sont une altération transmise par son père.

Les cornes et les bras, jusqu’au bout des doigts, rouges, sont une altération physique de sa mère. Une altération présente depuis des générations dans la famille. Les cornes, ainsi que la couleur rouge, mutent avec l’Alter d’Alix.

Actuellement, en se transformant, les cornes restent de petite protubérances rouges (un peu comme les cornes d'un carnosaure, en terme de proportion tête/cornes). Le pigment rouge des ses bras devient de petites taches, ou motifs, sur les côtés de la peau du serpent.

L’Alter d’Alix ne fonctionne que sur elle car c’est la seule à posséder cet ADN supplémentaire.

La contrepartie des mutations (voir exemples) ne peuvent être contournée. De plus, son Alter est soumis à la loi de conservation de la masse (si le volume peut changer, la masse elle ne varie pas). Chaque mutation a une contrepartie logique et incontournable.

Alix ne crée pas de matière, et chaque mutation, en plus de son contrecoup, nécessite de la matière appropriée pour générer ce qu’il manque (organe, crochets, griffes, etc), ainsi que de l’énergie pour permettre ce “boost” de changement physique, stocké dans sa queue. Si d’aventures, pour une raison X ou Y, sa queue venait à être coupée, l’énergie nécessaire à la mutation serait pompée dans la graisse “normale” d’Alix.

En somme, chaque mutation demande à Alix d'augmenter ses apports nutritionnels en amont et en aval de chaque mutation. D’une part pour permettre cette mutation, et de l’autre pour récupérer. En cas de désactivation de la mutation, les nutriments sont rendus en partie (Estimation de la perte à 75%).

Le contact avec un reptile est nécessaire pour pouvoir s'attribuer l'ADN de l'animal visé. Cette limite ne pourra pas changer.

De même, la distance phylogénétique des ADN est une vraie contrainte incontournable pour Alix. Plus les ADN des espèces sont éloignées en terme d'évolution, plus l'association de deux caractères sera difficile. Si les deux ADN sont trop loin, le corps d'Alix ne le supportera pas, et le lui signalera avant de désactiver la première altération au profit de la seconde, et bloquera l'ADN conflictuel temporairement. On parle là d'une heure à vingt-quatre heures en fonction de la distance phylogénétique entre les ADN.

En cas de froid "extrême", Alix passe en hibernation : sans préavis, elle perd connaissance, son coeur ralentit, et sa respiration devient plus faible, voir imperceptible./p>

La thermorégulation chez Alix est plus faible que la normale, voire absente : chaque attribut de reptile diminue cette capacité, car la rapproche des reptiles, et chaque degré en dessous de sa plage de température corporelle optimale dérègle son Alter, jusqu’à la désactivation complète. Avantage ? Les caméras thermiques peuvent ne pas la détecter. Seul hic, la sensation de froid, psychologique donc, a les mêmes effets qu’un vrai froid, et peut provoquer la mise en hibernation d’Alix.

Alix arrive aujourd'hui à mélanger quelques traits et à en activer deux en même temps (outre sa queue) en fonction de sa concentration, cette limite du nombre de caractère simultané pourrait augmenter. Pour cela, il lui faudra s'entraîner à stocker divers ADN utiles, et de muter le plus souvent possible afin d'augmenter ses capacités. La difficulté et la limite des traits est directement lié à la complexité de ces derniers : muter des yeux pour le physique est simple, modifier ses sens est bien plus complexe.

Pour la partie contact, si cette limite ne peut pas évoluer directement, Alix ne maîtrise pas encore l'appropriation de l'ADN.
Actuellement, les gènes activés sont aléatoires et le caractère obtenu n’est pas choisi : elle obtient un caractère par reptile touché (s’il faut plusieurs gènes pour le caractère, ou si un organe annexe est nécessaire, cela compte dans un seul caractère). Dans l’avenir, et par un entraînement conséquent, Alix sera capable de choisir le caractère d’intérêt du reptile qu’elle touche.

Concernant sa capacité à se muer en un serpent, on peut imaginer que la taille et l’apparence pourrait changer avec le temps, en lien avec l’espèce de serpent touché (une vipère est bien plus fine qu’un python, par exemple). Concernant la taille, la physique est maître, si Alix veut être plus longue, elle sera plus fine. Et si elle veut paraître plus épaisse, la longueur sera diminuée. Loi de conservation de la masse.

Les exemples d’utilisation ne sont pas exhaustifs, mais présentent le “type”. Actuellement, Alix ne peut modifier que partiellement son corps (écailles, griffes, etc) et, dans de rares cas, se transformer totalement en une sorte de boa. Grâce aux gènes des reptiles, elle pourrait, plus tard arborer la carapace d’une tortue, posséder temporairement la force d’un crocodile, et altérer ses sens pour emprunter les sens des reptiles, développer des capacités cognitives reptiliennes, etc. En somme, Alix pourrait réveiller des caractères plus complexes à utiliser.

Chaque caractère pourrait être amélioré, comme par exemples les écailles qui, aujourd’hui, restent assez molles et semblables à de la peau.

Les distances phylogénétiques étant fixes, Alix ne peut pas modifier cette limite. En revanche, elle peut temporairement forcer son corps à accepter des mutations incompatibles. Le risque va d’une migraine à une paralysie temporaire, voir la mort. Généralement utilisé en temps de "crise", la conséquence la plus fréquente est une perte de connaissance de plusieurs heures.

Ce contournement nécessite de suractiver l’organe annexe qui active les gènes pour qu’il génère en simultané, et en grande quantité, les deux hormones nécessaires. Il en résulte que cet organe ne peut plus produire d’hormone pendant 48 heures, et qu’à terme, les deux gènes concernés seront bloqués pour 72 heures. Les contreparties de ces deux gènes séparés seront additionnées, et multipliées par 3 environ.
Par exemple, pour une mutation d’écailles, qui assèche sa peau, cette multiplication équivaudrait à une desquamation partielle de la peau et un craquèlement de cette dernière qui, si elle n’est pas prise en charge, met le derme à vif.

Notez aussi que ce “shoot” d’hormone sature le sang d’Alix et diminue la concentration en autres hormones (y compris les essentielles, comme l’adrénaline par exemple) dans le corps d’Alix. En cas de “shoot”, Alix a les mêmes symptômes qu’une personne après un shoot aux stimulants : discernement altéré, incapacité à réfléchir correctement, ralentissement des fonctions cérébrales.

Alix peut communiquer avec les reptiles en général, mais surtout les serpents. A l’heure actuelle, les autres reptiles ne sont que murmures incompréhensibles pour cette jeune femme.

Alix peut activer les gènes liés à la transformation en serpent (un boa de 3,5m pour 45 kg). La transformation est douloureuse, car elle nécessite de modifier l’ensemble des membres et de la structure corporelle d’Alix. En terme de comparaison, c’est semblable à se faire écraser le pied par un éléphant, ramené à tout son corps. Une fois qu’Alix retrouve son corps humain, elle souffre de courbatures, de fatigue mentale et physique et de crampes, proportionnelles au temps passé transformée (1h de transformation équivaut à 5h d’effets secondaires). Actuellement, Alix ne peut se transformer qu’une fois en 24h (ce qui comprend la transformation humain vers serpent, et le sens inverse). Le gène se bloque une fois que le retour a été fait.

Depuis l’activation première de son alter, possède une queue de serpent, mais en peau, avec des poils au bout (forme un plumeau à la couleur de ses cheveux). Pour diverses raisons, dont celle de la douleur liée à l’apparition et la disparition de la queue, Alix a décidé de la garder.
Pour vous résumer, cette modification anatomique en résulte que toute la chaîne vertébrale d’Alix a été modifiée, et ce à partir de la plaque iliaque. Son coccyx a été remplacé par la chaîne osseuse d’une queue banale de serpent. Chaque annulation de cette mutation, autant que la “recréation” de cette queue lui cause une douleur atroce semblable à des fractures multiples à répétition et des poussées de croissances extrêmes. Lié à cette croissance rapide d’un nouveau membre, Alix souffre pendant 4 jours de mal de dos intense, de crampes de la nuque au bout de la queue (ou à défaut, au coccyx). Toute sa mobilité s’en trouve réduite. De plus, désactiver ce caractère (donc rétracter cette queue) entraîne le blocage des gènes liés, et de tous les gènes demandant une modification musculaire, peu importe l’endroit, ainsi que de tous les os de la colonne vertébrale, crâne, côtes et plaque iliaque inclus.
Lorsque cette queue est active, Alix a une mobilité du bassin réduite, et s’asseoir et parfois un calvaire pour elle. Elle souffre parfois de mal de dos en raison des fournitures (chaises en partie) qui ne sont pas adaptées à sa morphologie.
NB : si sa queue est coupée, elle ne peut pas repousser. Il faut qu’Alix désactive les gènes liés à la queue, et les réactive.

Alix peut développer des crochets de serpents à la place de ses canines. Ils sont non-venimeux et assez fragiles. Si percer la peau lors d’une morsure est facile, un bon coup au visage peut briser les crochets.
Les crochets remplacent les canines, ces dernières tombent car elles sont poussées par les crochets. La douleur est semblable à une poussée dentaire (dents de sagesse par exemple), et un saignement peut être occasionné par la sortie des crochets de la gencive. Pour retirer les crochets, ces derniers doivent tomber, occasionnant une douleur et un saignement de la gencive. Puis, pendant 24h à 48h, Alix souffre d’une nouvelle poussée dentaire, car ses canines doivent repousser. Pendant 48h, Alix ne peut pas réactiver cette mutation.

Alix peut développer des griffes à la place de ses ongles, en prolongement à ses phalanges distales. Cette mutation ne peut pas être activée pour un doigt, mais le sera pour tous les doigts, des mains et des pieds. Les griffes étant la continuité de l’os de la phalange distale, si cette dernière est abîmée, elle abîme l’os, en fonction des dégâts sur la griffe. Par exemple, si le bout d’une griffe est arrachée, l’os sera fissuré.
Pour activer cette mutation, les ongles d’Alix doivent tomber. Le bout de ses doigts saignent et sont douloureux en raison de la croissance des griffes. La perte des griffes résultent par une rétraction dans l’os, aussi douloureux qu’une fracture. La peau doit ensuite cicatriser, et cela prend plusieurs jours. Pendant ce temps, Alix perd la sensibilité de ses doigts et a du mal à les bouger.


Plus récemment, Alix s’entraîne sur une nouvelle mutation. Elle peut transformer une partie de son épiderme en écailles. Un peu plus résistantes que la peau (+/- cuir), elle permet une barrière efficace contre les échanges thermiques, ainsi qu’une légère résistance aux plaies (coupures). Grâce aux gènes de cette espèce d’iguane, Alix peut modifier légèrement la pigmentation des écailles, les rendant légèrement plus clair, ou plus foncé (à peine perceptible).
Cette mutation entraîne une déshydratation de l’épiderme en raison de l’imperméabilité des écailles. Pour désactiver les écailles, Alix doit faire une “mue”, la peau en dessous est très sensible de nécessite des soins, comme de l’hydratation pendant 48h après. Les écailles remplacent l’épiderme, si elles sont abîmées, cela en résultera par un épiderme abîmé d’autant sur sa peau.

Mère : Lizard Girl. Tout simplement, sa mère a un Alter qui lui donne définitivement des aptitudes de lézard. Même si elle n’a pas la tête d’un lézard ou que son corps n’est pas couvert d’écailles vertes, elle en a quelques caractéristiques.

Père : Beast Loan. Tout aussi simple, il pouvait copier le caractère physique d’un animal qu’il voyait et ce, temporairement. Attention cependant, hors de vue, impossible de le faire.

Il ne te reste plus qu'à terminer ta fiche
ou la compléter avec le lien de ce sujet !

GANBATTE !