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Road to Hero
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Portemort & Le Rangemal
   Description : Explication courte: Pour chaque objet affecter par l'alter de Numero Un, je devrais poster ici l'histoire de objet. L'histoire doit être détaillée si l'objet est puissant.



Il est des lieux desquels on ne doit pas revenir. Le nid du péché, est de ceux-là. Fin fond d’un abysse glacé, accessible uniquement après la traversée d’un désert dont même le sable semble vouloir la mort de ceux qui le profanent, le Nid du péché est un gigantesque amas de galerie labyrinthique, dont les dédales tordus à la géométrie irréelle oscillent entre de minuscules passages dans une roche aiguisée, jusqu’a de gigantesques salles de pierres, porté par d’imposantes et mystérieuses colonnes cyclopéennes. Apparus en plein centre du désert, nul n’est capable de dire avec certitude si l’endroit est arrivé là par une étrange malédiction, ou s’il a été déterré par quelque archéologue inconscient, aujourd’hui disparus, probablement dans sa propre découverte.

Depuis que le nid existe dans la conscience des gens, pourtant, le monde se porte au plus mal. Petit à petit, autour du dessert, autour de l’épicentre de ce lieux maudit, les terres meurent, les plaines deviennent déserts malsains, et marécages putrides, ou les seules vies se développant ne sont faites que pour rependre une macabre corruption qui semble pouvoir s’étendre à l’infini. Rien ni personne ne fut protégé de ces lieux. Le bois des maisons pourrissait, leurs pierres se creusaient, d’innombrable fléaux s’abattait sur les villes humaines, des épidémies aux invasions de nuisible, en passant par de joyeuses crises de folie meurtrière collectives…
Et comme poussée par un appétit insatiable, la corruption s’étendait toujours plus loin. Rien, ne pouvait être épargné. Les bâtiments sombraient, les montagnes d’or des bourgeois bouffis par leur gourmandise tant que par leur orgueil n’y pouvaient rien, et bien, sur, comme si dieu lui-même était impuissant face aux terres corrompues, les églises tombaient, comme n’importe quelle autre bâtisse humaine.

Pourtant, à trois reprises, la corruption sembla être endiguée légèrement.
Si ceux qui désiraient sortir après avoir passé les portes n’avait qu’un seul choix, continuer jusqu’au bout ou mourir d’une manière ou d’une autre, à trois reprises, quelques individus parvinrent à trouver l’une des extrémités du labyrinthe, et à franchir l’épreuve qui en autorise la sortie.
Parmi eux, il y eut Eleanor, une guerrière sainte, envoyée par l’église pour purger le monde du mal et des ténèbres. Elle revint victorieuse, et quelques informations sur le lieu maudit furent alors récoltées. Elle n’avait pas tout vu. Loin de là. D’après elle, un immense, un titanesque dédale de corridors singuliers s’étendait sous terre, tant et si bien que certains couloirs, tordus, mais suffisamment large pour être qualifiés de ligne droite malgré leur géométrie malsaine, pouvait être si long qu’il était impossible d’en voir le bout... Si tant est qu’ils en avaient un. Elle avait simplement suivi les conseils d’une voix, qui se prétendait être Dieu, et était parvenue devant un autel monstrueux. Elle ne décrivit pas ce qui arriva. Traumatisée malgré son zèle dogmatique, elle ne put prononcer alors qu’une suite de mots incohérents, avant de fondre en larmes. On lui demanda si elle pouvait retourner à l’intérieur, car on avait bien vu que la corruption semblait avoir faibli par endroits, mais elle refusa catégoriquement. Sa Sainteté, le pape en personne ne put lui faire changer d’avis. Elle lui parla cela dit. À lui, et à lui seul. Nul ne sus ce qu’ils partagèrent ensemble. Mais lorsqu’ils sortirent du confessionnal, une armée de combattants de la lumière les attendant avec ferveur, animé d’une détermination nouvelle, persuadé qu’ils seraient aidés dans leurs quêtes par une voix divine. Le pape était livide. La guerrière, quant à elle, se trouvait si imperturbable, si blottie dans son masque de froideur sainte, qu’elle en devenait triste à regarder. Le pape ne dit rien à ses fidèles, et elle non plus. Ils partirent sous les regards emplis d’incompréhension des croyants, et la grande croisade fut un échec cuisant pour l’église, et pour l’humanité. Sur les milliers de pieux qui s’étaient présenté, seule une centaine d’hommes et de femmes, toujours galvanisées par cette première réussite, partirent pour le nid, au nom de dieux impuissants et pitoyable.

Un seul revint. Et à peine avait-il croisé les premiers humains qu’il entra dans une terrible folie meurtrière. Il avait fait l’acquisition d’étranges reliques impies dans le donjon. Alors que d’un large bouclier de pierre verdâtre, trop lourd pour être porter par un mortel, parsemé de motifs étranges suffisants à rendre branlant l’esprit des plus solides guerriers, il lançait des sortilèges impies sur les gardes qui tentèrent de le stopper, à l’aide d’une claymore terrible, il tranchait les adversaires en nombre, comme un paquet de mauvaises herbes. Au total, trente-huit hommes perdirent la vie dans ce combat, ainsi qu’une autre créature, nichée confortablement au fond des entrailles du responsable du massacre. Il est probable que l’homme, plutôt que de mourir, avait choisi de passer un pacte avec cette chose pour sortir de cet endroit.
Qui sait ce qui serait advenus des Hommes, si elle avait pu s’en tirer…
Entre temps, après avoir exécuté Eleanor pour hérésie, le pape se donna la mort devant une statue de la flamme sacrée, signe de la religion polythéiste à laquelle il avait consacré sa vie. Et en laquelle, en quelques mots, il avait perdu la foi. Après ceci, toutes envies de croisade furent perdues, et aucun religieux ne trouva plus le courage ou la force de vaincre les épreuves du nid.

Le dernier à avoir su revenir sortait de l’ordinaire. Il s’agissait d’un vieux soldat des contrées de l’est, affublé de vêtements légers et d’une mince armure de bois et de cuir. Comme seule arme, il portait un sabre d’acier oriental abîmé, rongé par le temps, et qui semblait, tout comme l’homme, usé par des années de combats incessant. Il fut moqué à son arrivée, dès qu’il eut dévoilé son intention d’entrer dans le Nid. Le hameau pitoyable qui avait poussé telle une moisissure putride autour de l’antre, accueillait toujours les aventureux d’une manière peu agréable. Peut-être était-ce une manière pour les habitants, d’être sympathique ? Leur dernière tentative de rester humain, ou d’être bienveillant malgré les maux qui pouvaient accabler le hameau. Celui qui ne supporterait pas un mauvais accueil ne pourrait pas supporter le nid. Le mental et la force y étaient mis à rude épreuve, et ce vieillard, sans armure, ni bouclier, ne pourrait pas y survivre bien longtemps, du point de vue des habitants.

L’homme y entra rapidement, sans s’attarder dans la fange du hameau sordide, dans lequel il n’y avait rien à faire, de toute façon. Certains aventuriers étaient partis un sourire carnassier aux lèvres, d’autres y avait pénétrés, plein d’enthousiasme, ou encore complétement effrayé, ou bien à l’instar d’Eleanor, le visage emplie d’une sainte détermination. Mais ce ne fut pas le cas du sabreur. Il pénétra dans l’antre de la folie avec un flegme désabusé, sans pour autant sembler confiant. Il entrait à l’intérieur du nid comme s’il était entré dans sa propre maison. Comme une vielle routine. En réalité, il était évident que cet homme n’était pas seulement un aventurier en quête de gloire, ou de mort… Il avait déjà perdu la raison depuis longtemps, et, acceptant en lui la folie comme une vielle amie, il avait décidé de s’inviter chez elle.
L’homme parcourut les couloirs contenant les abominations des mois durant, tant et si bien qu’on le pensa mort. D’ailleurs, à la seconde où il avait mis un pied dans le hameau, tout le monde l’avait déjà pensé mort.
Il parcourut les immenses couloirs, les colonnes cyclopéennes, et les temples de pierre impie, surpassant chaque obstacle, surmontant chaque danger… Mais son sang-froid, pourtant remarquable, ne tint pas bien longtemps face aux créatures incompréhensibles, rampant dans les ténèbres des longs chemins antiques. Poussé par sa simple détermination, il ne perdit jamais son objectif de vue… Mais perdis vite sa raison. Il pensait être fou à son entrée dans le labyrinthe, et découvrit bien malgré lui que la folie causée par les hommes était bien peu de chose, comparée à celle qui rampait dans ce nid.
Il ne raconta que par bribe, ce qui lui était arriver dans les sombres couloirs datant d’avant l’arrivée de l’homme, s’étendant telles une titanesque termitière sous les pieds des humains depuis des temps immémoriaux, nés, peut-être, avant même que la planète ne soit constituée.
Détruisant sa pitoyable compréhension du monde, défiant toute logique, il vit des couleurs qui ne pouvait pas exister. Il vit des choses qui n’étaient pas juste « physiquement impossible », mais conceptuellement, logiquement… Réellement impossible. Il vit ce qui n’aurait pas dû, pas pu être, dans ce plan de l’existence.
Il raconta que là, au fond des ruines maudites, était en gestation une créature, qui attendait son heure. Libérant une aura malsaine. Il ne put que la sentir, et pourtant, elle semblait l’avoir marquée. Il avait sus, dès le moment où il l’avait senti, que la chercher était une erreur. Et que le simple fait de voir cette aberration, même endormie, même dans son gigantesque cocon de ténèbres, aurais briser son âme de pitoyable mortel sur le coup. Il savait qu’il avait pu sortir en passant par elle… Mais il tenta de trouver une autre échappatoire.
Mais la folie qui s’était développée en lui telle une mauvaise herbe embrumant son esprit, le fis tourner en rond, maintes et maintes fois, ou peut être étais-ce la géométrie baroque et aliénée de ce lieu, animée d’intention maligne, qui le ramena toujours devant l’antre de la créature.

Il fut contraint de passer par la porte de la bête. La seule solution qui lui sembla plausible fut donc utilisée. Aidé de son esprit en miette, il se saisit de son arme effilochée, et se trancha lui-même les deux oreilles, et se brisa les tympans, ses hurlements se répercutant à l’infini dans le gigantesque dédale de pierres inconnues. Jusqu’à ce qu’il ne soit plus en mesure de les entendre. Puis sans peur, parce qu’il ne s’entendait plus hurler de douleur, il s’enfonça la pointe de sa lame dans l’œil. Tournant soigneusement le sabre pour détruire complétement son organe oculaire… Avant de passer au second, pour recommencer l’opération. Il détruisit alors tout ce qui lui avait permis de survire jusqu’alors. Peut-être cria-t-il alors, tandis que ses yeux se faisaient broyer par leur propriétaire, mais il ne put l’entendre. Sourd, aveugle, privé de ce sur quoi il c’était basé pour avancer jusqu’ici, il passa dans la salle. Les sensations qu’il ressentit furent tout de même insupportable pour lui. Il courut en avant, sans savoir ou il allait, sans savoir s’il pouvait sortir… Et par inadvertance, il toucha la créature en gestation. Celle pour laquelle le nid du péché, celle pour laquelle cette nurserie ridiculement grande semblait avoir été bâtie. Personne n’avait jamais vu, toucher, ou entendu cette chose. Il y avait d’autres sorties, et les deux autres survivants n’avaient visiblement pas pris celle-là. Il n’y aurait pas survécu, de toute façon.
Le simple contact, très bref, de sa main contre la créature provoqua en l’homme une vibration d’horreur…
Et détruisit le peu de raison qui lui restait.

Nul ne sut ce qui arriva après cela. L’homme n’en parla pas. Et son esprit tenta de l’oublier par tous les moyens possibles. Il a été mentionné plus haut que l’homme raconta son histoire. En réalité, lorsqu’il put sortir, son sabre tomba au sol, le fourreau à proximité, et alors que tout le monde l’entourait pour savoir ce qu’il avait vus, comment il était partit, ou pour constater son état pitoyable, il prononça à haute voix certaines informations… En se dirigeant à nouveau vers le nid du péché. Bien qu’on tentât de l’en empêcher, l’homme était comme mu d’une force surnaturelle, murmurant que son dieu l’attendait… Et finalement, il entra de nouveau dans la sinistre de la mine, et nul ne le revit jamais.
Son arme, quant à elle, fut gardée sous clef. Ceux qui avaient vu l’homme entrer en ville savaient que le sabre, bien que tranchant et usé, n’avait pas cet aspect sinistre avec lequel il était revenu. Autour de la lame c’étaient étendues des sortes d’excroissances noirâtres, maintenant solidement la lame de métal, qui avait été presque comme fondue à sa base, par on ne sait quel phénomène. Le simple fait d’empoigner l’arme donnait une sensation grisante de contrôle et de savoir qu’il était difficile de réprimer, et même lorsqu’il était rangé dans son fourreau, le sabre donnait à celui qui le maniais un pouvoir important.
Mais il rendait les paupières lourdes, et le cœur sombre. L’arme fut enfermée dans l’église, vide de fidèle depuis bien longtemps, qui trônais au centre du hameau, en espérant qu’elle saurait purifier l’arme maudite.
Un jour, elle fut emportée par un voleur, qui voulut voyager dans le Nid. Il parvint à amener l’arme avec lui, qui reparut après une ou deux semaines-là ou le guerrier était revenus la première fois. La lame et le manche étaient couverts d’un sang noirâtre qui s’évapora dans l’air avec un sifflement désagréable. Ceux qui en sentirent l’odeur putride ne dirent plus jamais mot, et ne vécurent plus jamais tranquille, se réveillant parfois en pleine nuit en hurlant comme des diables des phrases inintelligibles, comme si cette simple odeur avait été trop dure à supporter, même pour la raison branlante, mais par le fait solide, d’un habitant du hameau, pourtant habitué aux horreurs et aux visions fantasques et cauchemardesque. Ils ne dirent plus mort, oui, comme s’ils avaient été mis au courant de terribles vérités devant la simple odeur du sang des choses qui se trouvaient en dessous.

Encore bien des aventuriers traversèrent l’abysse mortel. Et le sabre en accompagna certains, revenant toujours la ou avait disparus son propriétaire, lorsqu’il était abandonné, ou emporter loin de l’endroit en question.
On racontait qu’une voix étrange l’habitait, prévenant des dangers, et sugérant par la même occasion dans l’esprit de l’utilisateur de malicieuses actions. Ceux qui utilisaient l’arme trop longtemps finissaient toujours par en payer le prix, mais le jeu en valait la chandelle.
Rengainer, tant qu’il était dans la main de son « propriétaire », le sabre offrais a ce dernier une force et une vitesse importante, sans pour autant le détruire. La voix était faible, et le fourreau lui-même semblait avoir absorber une partie du pouvoir du sabre. Bien sur, on ne ressortait pas totalement indemne de son utilisation, mais la plupart des duellistes ne faisaient pas long feu devant les capacitée hors du commun qu’offrais le fourreau, que l’arme y soit rangée ou non. Des motifs ésotériques étrange parcourait son bois, et émettait parfois une lueur malsaine qui a elle seule pouvait déstabiliser un combattant non avertit, et parfois, seulement parfois, le vrais pouvoir de l’arme se montrait a travers cet objet, comme s’il tentait d’endiguer le flot de ténèbres que dégageais le sabre, et qu’un simple écart de l’utilisateur pouvait laisser pendant un instant, l’arme maléfique s’exprimée.
Malgré tout, au moins, ceux qui utilisaient le fourreau restaient saint d’esprits… Et de par ce coté de catalyseur, il fut nommé le « Range-mal ».


De nombreuse fois depuis, le sabre fut emporté, pour la sensation de sécurité et la force qu’il donnait, et si quelques personnes revinrent victorieuse grâce à lui, personne ne sus jamais pourquoi cet objet du démon s’alliait à de frêles mortels. Personnes ne sus jamais non plus, pour quelle raison il dévorait lentement l’énergie vitale de ceux qui le tenaient. De toute façon, personne ne put survivre assez longtemps pour s’en rendre compte… Ou bien, ils mourraient toujours dans d’étranges circonstances sans avoir jamais rien put dire.
Et l’histoire du Nid continua. De nombreux mythes y naîtraient par la suite, mais les écrits se perdirent, et plus personne ne sait maintenant, comment s’achève l’histoire de ce lieu maudit. Et on ne sut jamais quel secret renfermait le Nid, ni même si l’anomalie en gestation à l’intérieur parvint ou non, à arriver à s’extirper de ce qui l’abritait, quoi que ce fut-ce.
Mais… Peut-être est-ce mieux ainsi.




Portemort étant le meilleur objet de Numero Un, ce dernier aura une histoire plutôt longue.

   Capacité souhaitée : doit être décidée par le staf.
   Rang : S pour Portemort, et B pour le Range mal.
   Lien du RP:(liée a l'alter de Numero Un)
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