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[Groupe 1] Libérer New York entre deux toboggans - #SaveNewYork Aller à la page : 1, 2, 3, 4 Admin Pour Rapace Le petit robot écouta attentivement les questions de William et lui répondit :
« Je ne peux répondre à votre première question, mais dans un restaurant on mange de la bonne nourriture ! Dans la salle restaurant, il y a 90% de chance que le maître sushi y soit présent actuellement. Il est également possible à 50% de chance que Hikiko y soit également.»
Les muscles de l'opération 28 / Mercenaire au service du gouvernement 1350 D 1060 77 OC KCLes muscles de l'opération 28 / Mercenaire au service du gouvernement 1350 D 1060 77 OC Les muscles de l'opération 28 / Mercenaire au service du gouvernement 1350 D 1060 77 OC Civil Je fis une moue scandalisée.
- Bien sûr qu'il est vital de porter Brioche. Le pauvre s'est retrouvé piégé dans le frigo d'un dangereux groupe terroriste, la moindre des choses est de le faire sortir d'ici. Et puis.. - Broâh ! Il allait nous suivre dans tous les cas. Ca permet de le garder à l'oeil des fois qu'il alerte les gardes sans s'en rendre compte.
Visiblement, nous savions où nous devions aller, autant continuer sur cette voix. Direction la sortie E ! - Spoiler:
Go le E !
Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion VermillionBig Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Civil Une personne dans la salle restaurant, tu dis …Mimi se retint de répondre immédiatement à la question que William posait au robot, et se contenta de poser de nouveau les yeux sur le journal. L’autre groupe avait juste trouvé un petit sanglier, mais rien de plus … Et ils n’étaient même pas sûr qu’il ne soit pas juste un animal normal. En revanche, puisqu’ils se dirigeaient vers le restaurant … La réponse de la machine acheva de convaincre Mimi qu’elle savait déjà à qui ils allaient faire face dans quelques instants. Je confirme, on est face au maître sushi … Et pour les « multiples présences », ça colle avec son alter. Il peut invoquer des créatures du folklore japonais. Visiblement, il peut en faire apparaître un grand nombre et les maintenir sans trop de difficultés … La tireuse soupira, et se tapa la tempe avec un doigt. A tous les coups, s’il a déjà préparé le terrain, c’est qu’il s’attend à nous recevoir. Hikiko a dû lui dire qu’elle était suivie, j’ai l’impression qu’ils s’entendaient très bien … Il risque de ne pas se rendre comme les civils du studio.Kathleen força sur ses bras pour se relever un peu péniblement, soupirant et traînant ensuite ses rangers jusqu’au panneau du toboggan, au-dessus duquel elle appuya son avant-bras. La moue qu’elle tirait déjà s’accentua lorsqu’elle remarqua … Qu’aucune des deux lettres n’était le « R » auquel elle s’était préparée. Se tapotant le menton, elle souffla par le nez, plissant les yeux. Et ça ne m’étonne pas qu’il ne t’ai pas répondu, j’ai déjà essayé de connaître les lettres des prochaines salles tout à l’heure. La jeune dentue ne s’en rendait pas compte, mais elle ne parlait pas spécialement fort, et il était peu probable qu’on l’entende. Ceci dit, elle parlait ici plus pour elle-même qu’autre chose, donc ce n’était pas bien grave. Q et F … à quoi ça peut correspondre ? A c’est pour la bibliothèque à Animes … S pour le Studio … Le reFtaurant ? non, c’est débile. Dans un restaurant on mange de la bonne nourriture … in a restaurant we eat good food … food. F. C’EST CA ! Pivotant avec la détente d’un diable dans sa boite, la tireuse tapa du poing dans sa paume ouverte, tournée vers ses deux compagnons. F POUR FOOD ! Elle a pris le chemin F ! S pour le Studio, A pour Anime, et F pour Food ! En fait il disait ne pas pouvoir répondre mais il nous donnait quand même un indice !La tireuse subitement revigorée par ses propres déductions s’avança à grandes enjambées du robot, et s’accroupit pour … L’enlacer de ses 4 bras, se relevant même en le soulevant du sol et en le balançant une ou deux fois à droite et à gauche. Elle le reposa ceci dit bien vite – en faisant attention à ne pas juste le laisser tomber bien entendu - , parce qu’il était mignon mais pas tout léger ce machin … Bon, donc on sait où on se rend et ce qui nous attend. Chemin F. Et pour le maître sushi … j’ai peut-être une solution.Se concentrant un peu, la tireuse s’agenouilla à nouveau, et fit « sortir » ses armes de ses tatouages. Elle ne saisissait toujours pas bien comment cette partie de son alter fonctionnait, mais visuellement, c’était assez plaisant : Ses tatouages, d’ordinaire entièrement noirs, se « vidaient », ne laissant plus sur sa peau que le contour de l’arme entourant de la peau désormais rouge. En même temps que ce phénomène se produisait, sa peau produisait des particules lumineuses qui se dirigeaient automatiquement dans sa main, s’agençaient, et se changeaient en arme à feu. Deux pistolets à silex, un fusil à levier tirant de la chevrotine via son canon court, et une sorte de grosse … Loupe ? Télescope ? Un mélange hybride entre les deux dont les proportions avaient quelque chose d’étrange, et qui pouvait de toute évidence aussi se tenir comme un pistolet. Ceci étant, la tireuse n’avait pas fini là : de ses quatre mains, elle arrangea les différents flingues dans une position spécifique : un pistolet à silex devant l’autre, le canon scié derrière, et la loupe au-dessus de l’ensemble. Comme une machine dont les différents composants s’enclenchent et s’emboitent les uns dans les autres, les armes commencèrent à se tordre et à se déformer : les deux pistolets fusionnèrent pour former un seul long canon, qui vint s’accrocher au fusil à levier, et la loupe se fixa sur le dessus comme la lunette d’un fusil de précision … Et c’était ce en quoi ses armes avaient ainsi fusionné. Un fusil de précision. D’un geste fluide, la tireuse enclencha le levier, passa la main sur le tatouage sur sa cuisse qui ressemblait à des balles, en « fit sortir » une munition d’un calibre particulièrement gros, qu’elle rentra ensuite dans le fusil avant de tirer le levier de l’arme d’un mouvement sec. ça a à peu près la même patate qu’un calibre 50. J’ai pas beaucoup de munitions, mais ça il n’en sait rien. Je propose que je passe en premier et que je le tienne en respect le temps qu’on traverse la salle. Oh, ça m’arrangerait si quelqu’un prend mon sac. J’ai pas envie que son contenu prenne un mauvais coup. Miss Waldorf, je peux te le confier ?- résumé:
- Vermillion explique ce qu’elle sait du maître sushi à Rapace. - Elle marmonne dans sa barbe de dents jusqu’à trouver que le chemin « F » conduit sûrement à la salle « Food », soit le restaurant. - Elle partage sa découverte avec ses alliés, et fait un câlin au robot qui lui a permis de déduire cela. - Elle assemble ensuite son fusil sniper, et propose à ses alliés de passer la première et de menacer le maître Sushi pour qu’il les laisse passer. - Elle demande à Irina si elle peut prendre son sac à dos – et ses animes – pour ce trajet en toboggan.
Admin Pour KC et Velvet Tout le monde semblait d'accord sur la prochaine destination. Judie appuya donc sur la lettre "E" du panneau et ajouta avant de partir:
« Je passe la première, mais je compte sur vous pour me suivre directement derrière. Et concernant Brioche, faites comme vous le sentez, j'ai le sentiment qu'il nous suivrait même si on le laissait ici de toute façon...»
Elle glissa dans le toboggan.
Le trajet fut un peu moins désagréable que les précédents - serait-ce l'habitude ? - mais Judie eu l'impression qu'il dura plus longtemps. Une fois arrivée dans la salle, ses yeux piquèrent. Non pas à cause d'un gaz toxique ou d'une autre substance abbrasive, mais à cause de la décoration de la pièce.
Là où la salle précédente se voulait calme et délicate, celle-ci semblait avoir été décorée à coup de rose bonbon et de paillettes. Tout était rose, brillait et scintillait. Et comme si cela ne suffisait pas, une musique très forte dans une langue qu'elle ne comprenait pas, mais probablement du japonais se dit Judie vu les goûts d'Hikiko, brailler depuis plusieurs enceintes dans la pièce. La salle en elle-même, si on faisait abstraction de la décoration, ressemblait à une salle d'infirmerie. Il y avait un petit lit dans un coin de la pièce, des trousses de secours et des armoires à vitres transparentes remplies de bandages, de pansements et de médicaments. Comme dans toutes les salles, il y avait également une entrée de toboggan avec son panneau de contrôle, avec sur la gauche un gros sac rose avec des petites ailes toutes mignonnes posé devant une étagère de mangas, et sur la droite un immense écran diffusant un générique d'anime en boucle. Judie ne mit pas longtemps à comprendre que la musique qui résonnait dans toute la salle, correspondait à celle du générique.
Encore une fois, la salle ne semblait pas contenir d'autres personnes.
Velvet et KC ne tardèrent pas à arriver. Judie de son côté se dirigea directement vers le panneau de contrôle. Elle remarqua que pour la première fois l'accès au toboggan était bloqué par une grille en métal. Cependant, elle eut une bonne surprise en observant le panneau de contrôle :
« Bonne nouvelle ! Il n'y a qu'une seule lettre "E", ce qui nous donnerait "FREE" ! J'imagine qu'on touche bientôt au but !»
Judie, ne voulant pas perdre plus de temps, appuya alors sur la lettre E. Seulement la grille ne se releva pas. A la place un message apparut sur le panneau de contrôle :
« "Pour accéder au toboggan, il vous faut tous chanter en rythme !" ...Chanter ? En rythme ? Mais chanter quoi ? Qu'est ce que c'est que ça encore ?»
Judie se retourna vers ses deux camarades. Elle essaya de réfléchir mais la musique criarde l'empêchait de se concentrer pour... Oh non. Judie se retourna vers l'énorme télévision qui diffusait le générique. Elle remarqua alors que le texte de la chanson semblait bel et bien écrit en bas de l'écran, dommage qu'il soit en japonais...
Informations Bonne nouvelle, il n'y a qu'une seule lettre cette fois-ci ! Mauvaise nouvelle, vos personnages vont devoir chanter pour accéder à leur prochaine destination ! A vous de trouver les paroles de l'anime et de chanter cette merveilleuse chanson que vous pouvez voir et écouter ici. Et bonne chance à Velvet en particulier. JE SUIS DÉSOLÉE. Ce tour sera assez rapide je pense, donc n'hésitez pas à faire des posts courts, je répondrais avec le compte PNJ dès qu'il y en aura besoin ! Vous avez jusqu'au mardi 23 juin pour répondre au moins une fois ! Si vous avez la moindre question, vous pouvez poke @Valentine Maddox comme d'hab ;D Pour Vermillion, William & Irina Le petit robot fut tout perturbé par le câlin de Vermillion, mais cela n'empêcha pas le groupe de se rendre dans la salle "F".
Conformément au plan de Vermillion, cette dernière passa la première dans le toboggan. Le trajet fut à nouveau long et mouvementé mais elle apparut toujours équipée de son fusil dans une salle ressemblant à un restaurant de sushi traditionnel japonais. Elle était composée de plusieurs petites tables entourées de chaises ainsi que d'un ilot central derrière lequel se tenait un japonais d'une soixantaine d'année, plutôt maigrichon et occupé à préparer ses plats derrière son comptoir. Enfin de l'autre côté de la pièce, une entrée de toboggan avec son panneau de contrôle se trouvait. La pièce en soit n'avait rien de particulier, si on omettait les trois étranges petits êtres qui s'y promenaient.
Le premier ressemblait à un Kappa, avec une longue chevelure d'algue et un sabre à la lama aquatique. Le deuxième ressemblait à un Kyubi, un renard à neuf queues autour duquel flottait des petites boules de feu. Et enfin le dernier ressemblait à la fusion d'un dragon, un cheval et un cerf... Il flottait dans les airs, semblant jouer avec de petites bourrasques d'air. Toutes ses petites créatures ne dépassait pas les soixante centimètres de haut.
Chacun vaquait à ses occupations lorsque Vermillion débarqua dans la pièce armée. Les créatures se retournèrent vers l'intrus et commencèrent à grogner, mais le vieil homme ne sembla guère surpris par leur arrivée. Il commença par dire de cet air amusé que prennent souvent les plus âgées face à l'énergie de la jeunesse :
« Hikiko-chan a oublié quelque chose, c'est ça ?»
Il n'avait pas encore relevé la tête, plongé dans son travail méticuleux et précis de cuisinier et n'avait donc pas encore remarqué l'arme que Vermillion pointait dans sa direction.
Informations Pour Vermillion, Rapace et Irina > Vous voici dans une nouvelle salle ! Vous êtes libres de vos actions pour ce tour ! Le compte PNJ répondra au tac au tac à chacune de vos réponses ! Concernant les trois petites créatures. Si vous voulez les combattre, sachez HRP que le Kappa possède un sabre dont la lame peut se transformer en eau, le Kyubi peut envoyer des boules de feu et le Kirin (la dernière créature), possède une force surhumaine et peut envoyer d'énormes bourrasques de vent. Ils peuvent également travailler en équipe. - Leur apparence:
Ce tour va être un peu particulier comme je répondrais surement à chacun de vos posts, n'hésitez pas à faire des posts courts si vous le souhaitez d'ailleurs ! Et globalement on va dire que vous avez jusqu'au mardi 23 juin pour répondre chacun au moins une fois ! Si vous avez la moindre question, vous pouvez poke @Valentine Maddox comme d'hab ;D Bunny Girl ~35 ans Rabbit. Repentie et tutrice d'Andrew. 191 E 2083 67 Palne, Fire Emblem. / Sujet 3-14K. VelvetBunny Girl ~35 ans Rabbit. Repentie et tutrice d'Andrew. 191 E 2083 67 Palne, Fire Emblem. / Sujet 3-14K. Bunny Girl ~35 ans Rabbit. Repentie et tutrice d'Andrew. 191 E 2083 67 Palne, Fire Emblem. / Sujet 3-14K. Civil Je hausse les sourcils, perplexe. KC a l’air réellement convaincue par la nécessité de transporter le petit animal. Subitement, elle m’a l’air bien trop sentimentale… Si elle est prête à sacrifier l’usage de ses bras pour le bien d’une créature qu’on a à peine croisé, j’ai quelques craintes pour la suite. Suite qui ne tarde d’ailleurs pas à se présenter, en la forme d’un énième toboggan qu’il nous faut emprunter. J’ai déjà suffisamment répété à quel point ces déplacements me saoulent, donc je ne vais pas non plus m’attarder dessus. Et ce, quand bien même cette descente est particulièrement longue et agaçante. Elle finit en effet par s’achever, et débouche sur une énième salle à la décoration détonante. Du rose. Du rose. Du rose. Et encore du rose. Du flash, des paillettes, et une musique de fond désagréable. Je grimace, et plus par réflexe qu’autre chose, plaque mes mains contre mes oreilles. C’est assourdissant. S’il y avait le moindre ennemi dans les environs, je ne serai pas certaine de le repérer à l’ouïe. Si on s’attarde trop par ici… Je vais probablement finir par chopper une migraine. Nous passons rapidement la salle en revue. Un lit et des nécessaires de soins sont entreposés dans un coin, tranchant quelque peu avec l’ambiance de la pièce. Un écran diffuse une obscure musique de dessin animé, transmise par des enceintes que je repère sans grande difficulté. Le toboggan suivant est également aisément repérable. Et non seulement il n’y a qu’un seul chemin possible, mais en plus, il semble corroborer aux attentes de mes collègues. FREE ? Où est-ce que cela va nous mener, exactement ? Si toutes ces descentes nous font simplement retourner à l’extérieur de New York, je me demande à quoi tout ça aura servi. D’autant que… Personnellement, je doute pouvoir me repérer si je suis hasardeusement larguée dans cette gigantesque ville. Il y a un problème néanmoins. Le passage est bloqué. Je plisse les yeux, et adresse une œillade circonspecte à Judie. « -Qu’il y a-t-il… ? » Elle énonce à voix haute le message apparu sur l’écran de contrôle. Nous devons… « chanter en rythme » ? Co…. Comment ça ? … Ne me dîtes pas que… ?! Nos trois regards (quatre en comptant celui de Brioche) se tournent alors, dans un même mouvement, vers l’écran de télévision. Un obscur texte est affiché en contre-bas de celui-ci, progressivement surligné à mesure que la chanson résonne. Est-ce… Un karaoké ?! J’ai beau être illettrée, je n’ignore pas cette activité parfois pratiquée par mes anciens clients. En général, je devais me contenter de m’asseoir dans un coin et apporter à ces types en manque de reconnaissance l’ego qui leur manquait. Malgré une ouïe fine, je ne suis pas une grande partisane de la musique. La boîte où je bossais ne cessait de diffuser un brouhaha assourdissant, et n’a eu que pour seul mérite de me taper sur le système tout du long de mon existence. Aussi, quand je réalise que je vais non seulement devoir faire usage de mes cordes vocales, mais qu’en plus, je dois pour cela réussir à lire ces caractères encore plus incompréhensibles que ceux que je repère habituellement, une certaine panique commence progressivement à m’envahir. « -C’est… Une vaste plaisanterie. Vraiment… En fait, depuis le début, tout ceci est une gigantesque farce ? Je veux dire... » Excédée, je me frotte les yeux. « -Ces toboggans, les furries, ce cochon et maintenant… Ça ? Ce n’est pas vrai… Il n’y a pas moyen ! » De frustration, je me tourne vers la grille, que j’attrape ensuite, et tente de tirer. Sans grande surprise, elle reste fermement en place. Cela ne m’empêche cependant pas de forcer dessus une minute encore, avant de lui asséner un coup de pied pour passer mes nerfs. Je fais finalement retentir un claquement de langue agacé, pour enfin me tourner vers Judie, désespérée. « -Dans le téléphone… Il n’y a pas un… Enregistrement, ou quelque chose comme ça ? Quoi que ce soit qui puisse… Nous épargner… Ça ? » Je désigne la télévision de mes mains. Celle-ci montre des images de fillettes accompagnées de créatures inqualifiables… Sincèrement, qu’est-ce que c’est que ce délire ? - HRP:
Velvet est sceptique. Velvet est déconcertée. Velvet désespère.
En gros elle incite Judie à fouiller dans "Notes : Les meilleurs opening !"
Admin Judie L'Amirale observa la lapine s'énerver contre la plaque en métal qui leur bloquait le chemin. Elle partageait sa frustration, la situation était de plus en plus ridicule... Son acharnement ne la mena hélas à rien. Judie soupira, elle aussi aurait aimé s'épargner cette séance de karaoké sur une chanson aussi... particulière.
Le premier objectif était donc de trouver les paroles de ce générique. Alors qu'elle allait sortir le téléphone de sa poche en quête d'indices, Velvet la devança :
« -Dans le téléphone… Il n’y a pas un… Enregistrement, ou quelque chose comme ça ? Quoi que ce soit qui puisse… Nous épargner… Ça ? »
Judie acquiesça :
« Je ne crois pas qu'il y ait d'enregistrement mais, il me semble qu'il y avait une note avec les meilleurs openings, j'espère qu'on pourra y trouver les paroles de cette chanson. »
Elle ouvrit donc la note sur le téléphone. Premier soulagement, il y avait en effet une longue liste de paroles de génériques. Deuxième soulagement, ils étaient écrits avec des caractères romains, il n'y aurait donc pas de souci pour les lire... Si tant est qu'on ne soit pas illettré... L'aquaforce scrolla quelques secondes... "Aoi aoi ano sora", "We are, We are on the cruise !", "Zankoku na tenshi no you ni, Shounen yo shinwa ni nare"... Non ce n'était pas ça...
« Ah ça y est on dirait que c'est cette chanson là ! »
Judie leur tendit l'écran où elles pouvaient lire, si elles en étaient évidemment capable :
Hīrin Guddo! Ai de iyashitai Kimi to Hīrin GuddoPurikyua!
Purikyua! Purikyua! Kyua Kyua Touch!
Mado no mukō hirogaru sora kakedashiteku kokoro Hikari abite warai atte ikiteru tte kanji!
Mainichi kirakira wakeaou ne Daiji na min'na wo oteate suru no...issho ni!
Hīrin Guddo! Daisuki de kasanaru yūki wa saikyō nanda kara Hīrin Guddo! Kono deai ga unmei Kanjiru, desho!? Watashitachi no kyō ni Inochi ga afureteru
Hīrin Guddo! Ai de iyashitai Kimi to Hīrin GuddoPurikyua!
Au moins ce n'était pas très long, ni même compliqué à prononcer et il leur suffirait simplement de lire les paroles en synchro avec le générique diffusé à la télévision.
« Bon, il nous suffit simplement de lire ça au bon timing et on devrait pouvoir quitter cet enfer rose. Ca vous va ?»
Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion VermillionBig Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Civil Avant de s’engager une nouvelle fois dans le tube, la jeune tireuse eut une petite illumination, et retourna rapidement à son sac, qu’elle ouvrit de ses deux bras libres. Fouillant rapidement, elle en tira un revolver de petit calibre, et un spray au poivre. Si la salle contenait plusieurs ennemis, peut-être valait-il mieux ne pas se reposer que sur le fusil sniper, même si ce dernier était un atout en lequel la tireuse avait tout à fait confiance. Son mécanisme de rechargement n’était pas des plus lents – pour une arme qu’on devait charger à la main à chaque coup – mais elle préférait être véritablement capable de se débrouiller face à plusieurs adversaires. Se dirigeant ensuite vers l’ouverture circulaire, gardant ses armes un peu blotties contre elle, elle s’engagea à l’intérieur avec un nœud au ventre et un manque certain d’enthousiasme. Elle allait peut-être tuer quelqu’un, si les choses se passaient mal. Et elle détestait l’idée. La glissade fut longue et remplie d’appréhensions, mais pourtant la tireuse eut l’impression qu’elle s’écoulait plus rapidement que les autres. Peut-être une question d’habitude, à force de passer d’une pièce à l’autre comme ça. Se réceptionnant souplement à la sortie du toboggan et faisant quelques pas sur le côté pour se décaler, la tireuse tira une moue en analysant son environnement. Des tables, des sièges, un ilot central où un cuisinier était vraisemblablement occupé à préparer des mets, une odeur de bouffe délicieuse, et de petites créatures ... Ces dernières étaient un peu plus « hors-normes » que le reste, mais rien dans l’ensemble ne surprenait vraiment la tireuse. La pièce corroborait avec les informations qu’ils avaient déjà, de même que l’alter aux créatures fantastiques, ou même le vieux cuisinier lui-même. Tout ce qu’il manquait, à vrai dire ... C’était une issue pacifique à tout ça. La proprio de stand de tir espérait de tout son cœur qu’il y en avait une, naturellement. Le ton calme et posé de l’ancien laissait à penser qu’il n’était pas fondamentalement contre non plus. Mais il semblait avoir une beaucoup trop bonne relation avec la jeune recluse ... Ce qui signifiait qu’il pouvait chercher à la protéger contre ces intrus, et donc compliquer la tâche du groupe d’intervention. Soupirant par le nez, la sniper haussa les épaules, répondant d’un ton neutre. Un moyen de bloquer les toboggans derrière elle n’aurait pas été mal. Des portes verrouillées, ou faire sauter le système en urgence ... enfin. Gardant son fusil pointé à côté du cuistot, Kathleen ne tourna même pas la tête en entendant ses alliés arriver, et soupira. écoutez, on est pas du côté des méchants de cette histoire. Le blocus de New York a conduit à un nombre invraisemblable de morts, de captures et de souffrances, et on est là pour y mettre un terme, ainsi qu’au plan de Big Bang. Laissez-nous simplement passer et rejoindre Hikiko, et on ne vous fera aucun mal ni ne vous dérangera plus que ça. Sinon ...D’un geste mesuré, la tireuse n’activa qu’à moitié le levier de son fusil, faisant reculer le mécanisme de percussion et lui permettant d’entrevoir la balle dans la chambre, à travers la fenêtre d’éjection. Si elle tirait un peu plus, elle éjectait douille et balle du fusil, mais elle n’en fit rien : au contraire, elle remit le levier en position de repos, remettant tous les éléments mécaniques permettant le tir en place. Le « clac » sonore qui fut émit par cette rapide opération était propre au sniper customisé qu’utilisait la pistolera infernale, mais il restait bien assez explicite sur ce qu’elle avait dans les mains pour que le cuisinier puisse s’en rendre compte de lui-même, s’il n’avait pas encore levé les yeux de ce qu’il cuisinait. C’est votre choix monsieur, vraiment. De mon côté je n’ai absolument aucune envie de vous faire le moindre mal, à vous ou à vos ... compagnons.Parler des manifestations d’un alter comme de personnes indépendantes était parfois un peu étrange, mais c’était dans l’absolu toujours plus respectueux que d’ignorer leur présence de façon pure et simple. Il était clair que si la rouge venait à faire feu, sa cible serait humaine. Et à moins qu’un élément important n’échappe à la jeune femme, tuer le cuisinier ferait également disparaître ses ... Invocations ? Mais comme elle l’avait dit, ce n’était pas son but. Juste une extrémité à laquelle elle était plus ou moins préparée à recourir ... vraisemblablement. Pour être honnête ... Je n’ai pas non plus envie de tuer Hikiko, ni de la blesser. Elle n’a pas l’air méchante, juste ... Très peu sociale. J’ai connu ça aussi. Et je pense que ça l’a poussée à prendre de mauvaises décisions. Ce serait injuste de ne pas au moins tenter de la raisonner et de lui faire comprendre qu’elle n’est pas dans le bon camp ... Mais ça, ça attendra qu’on soit face à elle.- résumé:
-Mimi s’arme d’un revolver et d’un spray d’auto-défense au poivre avant de s’engager dans le toboggan. - Elle ne cherche pas à bluffer ou à jouer la comédie et répond honnêtement au cuisinier. - Elle cherche en revanche à lui faire comprendre que même si cela lui serait très désagréable, elle traversera cette salle après lui avoir tiré dessus s’il le faut. L’autre alternative, préférable, serait qu’il n’interfère pas et les laisse passer. - Elle explique également qu’elle ne veut pas forcément faire de mal à Hikiko lorsque le groupe se trouvera face à elle.
Les muscles de l'opération 28 / Mercenaire au service du gouvernement 1350 D 1060 77 OC KCLes muscles de l'opération 28 / Mercenaire au service du gouvernement 1350 D 1060 77 OC Les muscles de l'opération 28 / Mercenaire au service du gouvernement 1350 D 1060 77 OC Civil Nous étions arrivées dans l'avant dernière salle, ou peut être l'avant-avant dernière, en fonction de ce qu'ils voulaient dire par "Free". Tout ce que j'espérais, c'était de sortir de ce monde à la Disneyland et retrouver le plancher des vaches. Cette salle, sans surprise, était tout aussi bizarre que les précédentes. La petite nouveauté cependant, c'était la musique entêtante qui semblait passer en boucle dans tous les haut-parleurs de la pièce. On avait pas intéret à rester ici trop longtemps.
- J'envie les autres qui vont surement trouver la cible et vont pouvoir lui poser des questions sur ce qui se passe.
M'enfin, les autres n'ont probablement pas de petit phacochère sous leur bras actuellement. Peut être que leur situation n'était pas si bonne.
Judie, qui avait commencée à analyser la salle, nous annonca la nouvelle : Il allait falloir chanter. Mais chanter quoi ?
Velvet eu l'idée de demander à ce qu'on cherche dans le téléphone toute trace de paroles de chansons qui pourrait coller à ce.. Cet animé, si c'est bien le nom de ce truc.
- Ca me va. Ca tombe bien, avant de faire ce taff, j'étais une pro au karaoké. Par contre là, je sais pas du tout ce que veut dire ces trucs, et je vais juste faire du yahourt tout le long. Je commentai, pointant du doigt les deux intonations que je n'avais encore jamais vu jusque là dans une phrase : Je veux dire... Ne serait-ce que ces petits coeurs, comment est ce que je suis censée le prononcer ?
"Pro du karaoké", c'était un peu exagéré. Disons qu'avec quelques verres dans le système, j'avais tendance à beaucoup apprécier chanter dans les bars. Visiblement, c'était déjà mieux que rien. - Spoiler:
KC est ok pour chanter mais elle comprend pas ce qu'il faut chanter
Bunny Girl ~35 ans Rabbit. Repentie et tutrice d'Andrew. 191 E 2083 67 Palne, Fire Emblem. / Sujet 3-14K. VelvetBunny Girl ~35 ans Rabbit. Repentie et tutrice d'Andrew. 191 E 2083 67 Palne, Fire Emblem. / Sujet 3-14K. Bunny Girl ~35 ans Rabbit. Repentie et tutrice d'Andrew. 191 E 2083 67 Palne, Fire Emblem. / Sujet 3-14K. Civil J’acquiesce subrepticement à la réponse de Judie. Elle doute trouver un enregistrement… Mais pense pouvoir mettre la main sur les paroles de la chanson. KC aussi est confiante. Apparemment, elle a déjà eu l’occasion de se livrer à ce style d’exercice… Et à vrai dire, dans le fond, ça n’a pas l’air si compliqué. Il suffirait de lire les paroles au même rythme que la musique… C’est juste une question de timing, pas vrai ? Juste une question de timing… Ça serait vrai si au moins j’avais une idée de ce que je devais lire ! J’ai beau scruter le texte trouvé par la cheffe, la rondeur des mes yeux témoignent de mon incompréhension. J’ai bien une lueur d’espoir lorsque la vaironne déclare ne plus être aussi sûre de son coup, mais visiblement, c’est plus un soucis de prononciation qu’autre chose. Je crois. Je ne suis pas sûre. Je ne comprends rien de base, de toute façon. En fait, je ne comprends plus rien depuis plusieurs minutes déjà, et là, il n’y a littéralement rien que je puisse comprendre. Genre… Non. Vraiment. Passer en revue encore et encore les différents caractères affichés sur le petit écran ne m’avance absolument à rien. Et cette musique qui continue de se jouer en fond… Avec cette vidéo bien trop colorée et pétante… Bon sang, tout ceci est insupportable ! Je fais quoi ? Je feigne la compréhension ? Mes collègues n’ont même pas l’air certaines de la façon dont tout ceci se prononce, donc j’ai peut-être une chance ? Il suffirait que je me cale sur les paroles d’une autre et que… Je cherche à suivre ?… Non, c’est stupide ! Je ne suis même pas sûre de tenir le rythme en répétant de l’anglais, alors ce charabia obscur… Mais tout de même… Puis-je vraiment avouer que… ? Je lâche un puissant et audible soupir. Accorder trop d’importance à mon ego n’est pas de mise, je le crains. Nous sommes en mission. Une mission… De la plus haute importance. Même si les derniers événements commencent sérieusement à m’en faire douter… Pourtant, tout ce bordel reste d’importance capitale ! Et je ne peux pas prendre le risque de nuire à la performance mes collègues. Rien ne sert non plus de me trouver une excuse, elles vont croire que je cherche simplement à me dédouaner… Ce qui n’est guère plus honorable. Tant pis… C’est là ma seule option. Pour la première fois depuis longtemps… Voilà que je me retrouve complètement… Acculée. « -… Il y a quelque chose… Que je dois vous révéler. » Mon estomac me tord le ventre. Devoir passer à table n’a vraiment rien d’agréable… Comme en témoigne d’ailleurs mon regard fuyant, lorsque je recule d’un pas pour m’écarter des deux femmes. « -Je ne pensais pas que ça serait nécessaire, et… Très honnêtement, je ne désirais pas en arriver là. Mais voila… Nous avons atteint à un stade où… Je n’ai plus d’autres choix. » Je marque une courte pause. Malgré ma gorge nouée…. Je dois rester digne. Et forte. « -Je… » Je redresse la tête, et soutiens fermement leurs regards. « -Je ne sais pas lire. » Voilà. C’est dit. C’est acté. Je ne suis qu’une analphabète, une illettrée incapable de faire le travail demandé. … Cela dit, quand on voit en quoi consiste le-dit travail… Je me dis que dans le fond, ce n’est peut-être pas plus mal. « -Vous allez devoir vous débrouiller sans moi, pour ce coup là. » KC. Judie. Je vous connais peu, mais... Je m'en remets à vous. - HRP:
Au pied du mur, Velvet se retrouve obligée de faire une terrible révélation.
Admin Pour KC et Velvet KC semble plutôt confiante quant à ses performances en karaoké ce qui rassure Judie. Cette "épreuve" ne devrait pas être trop compliqué ! Cependant l'attitude de Velvet est bien moins enthousiaste. Elle finit même par leur avouer qu'elle ne sait pas lire... Judie la regarda avec des yeux ronds. Y avait-il encore vraiment beaucoup de personnes analphabètes en 2099 ? Et combien y avait-il de chance qu'un membre de son équipe fasse partie de cet infime pourcentage ? Et qu'il faille spécifiquement savoir lire pour avancer dans cette mission ???
Judie secoua la tête. Ce n'était pas le moment de réfléchir à ça, ni de blâmer la pauvre lapine... Elle soupira :
« Bon, ce n'est pas comme si tu allais pouvoir apprendre à lire dans les 10minutes qui viennent... J'espère juste que chanter à deux suffira, comme il est précisé que nous devons tous chanter pour déverrouiller l'accès... KC, je te propose qu'on écoute une fois la chanson attentivement pour voir comment tout ceci se prononce et ensuite on se lance. Velvet, si tu arrives à répéter certaines phrases au passage, n'hésite pas, sait-on jamais...»
Le petit groupe écouta donc pour la énième fois cette chanson qui passait en boucle à leurs oreilles. Fin des paroles, fond noir, le générique va reprendre... Judie jette un coup d'oeil à KC et lui fait un signe d'approbation de la tête, c'est maintenant ou jamais.
Alors qu'elles commençaient à chanter à leur tour en suivant les paroles sur le téléphone d'Hikiko, une chose inattendue arriva. Brioche confortablement installé dans les bras de sa porteuse attitrée, se mit à chantonner. Rien de compréhensible certes, mais des petits "broah, broaaah" parfaitement en rythme et synchro. Judie fit les yeux ronds en entendant le sanglier "chanter" mais ne se laissa pas déconcentrer.
Après une minute trente particulièrement honteuse, le supplice prit fin et leur calvaire fut récompensé.
Un petit jingle se lança dans la salle en même qu’un message de félicitation apparut sur le panneau de contrôle puis la grille qui les empêchait d’utiliser le toboggan se releva. La voie était enfin libre.
Judie préféra passer sous silence la performance de chant de Brioche et avança vers la sortie.
« Je passe à nouveau devant, on ne sait pas où on va atterrir mais probablement dehors vu que les lettres forment le mot “FREE”, mais autant s’attendre à tout. Suivez-moi directement après, je sais que je peux vous faire confiance si des ennemis nous attendent à l’arrivée.»
Judie passa la première dans le toboggan.
Le voyage fut beaucoup plus long que les fois précédentes, mais nettement moins pénible pour une fois.
Et votre arrivée se fera par ici! Pour Vermillion, William & Irina À la première phrase de Vermillion, le vieil homme releva la tête. Il aperçut l’arme que la jeune femme pointait sur lui mais son visage resta paisible. N’avait-il pas peur de cette mortelle menace ? Ou bien se savait-il parfaitement en sécurité ? Il était impossible de le savoir.
Il continua d’écouter le sage discours de la rouge, voyant arriver deux autres personnes derrière elle, se tenant également prêts à combattre. Il eut un petit rire lorsqu’elle évoqua ses “compagnons”, mais ce fut là sa seule réaction. Lorsqu’elle eut fini, le cuisinier laissa un blanc qui sembla bien plus long qu’il ne l’était réellement. La tension était palpable, et finalement le vieil homme leva le bras. Rapace aux aguets se prépara à réagir mais il n’en eut pas besoin. Leur opposant se contenta de prendre la parole à son tour.
« Vous savez je n’ai plus l’âge de me battre, donc je m’en passerais volontiers. Les yokai, calmez-vous.»
Sur ces mots les trois créatures qui continuaient de grogner s’arrêtèrent immédiatement, se contentant désormais d’observer les intrus.
« J’ai envie de vous croire, vous ne me semblez pas correspondra aux vermines criminelles qui se baladent dans les rues de New York. D’autant plus qu’aucun d’entre eux n’oseraient se rendre en ces lieux pour poursuivre Hikiko… Il posa son regard bienveillant dans les yeux de Vermillion. Vous jeune fille, je sens que vous la comprenez. Elle n’a clairement pas fait les bons choix, mais Hikiko n’est pas foncièrement mauvaise. Sa peur des autres, des inconnus et de la vie réelle l’ont simplement poussée dans ses pires retranchements. Elle a préféré se créer son propre monde, sa propre bulle lorsqu’on lui en a donné l’occasion, peu importe les conséquences de ses actes… J’espère que vous réussirez à la raisonner, vous savez cette situation ne me plaît guère non plus. Je vais donc vous laisser passer à une condition. Je tiens beaucoup à cette jeune fille, donc je vous demanderais de ne pas lui faire de mal, ou tout du moins de lui laisser la vie sauve. Et pour m’en assurer je vais demander à mes créatures de vous accompagner. Au moindre faux pas, elles protègeront Hikiko et se retourneront contre vous. Evidemment, vous pouvez également refuser et décider de me combattre ici, mais je vous le déconseille. Car même si vous me tuez, mes créatures ne disparaîtront pas et elles vous donneront bien du mal... »
À ces mots, les créatures se remirent à grogner et gagnèrent en taille. Chacune dépassait désormais le mètre quatre vingt et Rapace put sentir que leur force était hallucinante dans cet état. Rien à voir avec les petites “peluches” qu’elles pouvaient sembler être il y a quelques instants…
Le vieil homme releva le bras et les créatures reprirent leur aspect “normal”. Il continua de son ton calme:
« Je vous laisse évidemment le choix, mais vous me semblez bien être des héros. Votre premier choix devrait donc être de trouver une fin pacifique à toute cette affaire, donc la présence de mes créatures ne devrait pas vous déranger. »
Informations Le vieil homme vous laisse le choix: aller dans la salle suivante en compagnie de ses créatures ou les combattre ici même. À vous de choisir ! Vous êtes libres de vos actions pour ce tour ! Vous avez jusqu'au dimanche 5 juillet pour répondre. N’hésitez pas à faire un post court pour simplement dire votre décision. Si vous avez la moindre question, vous pouvez poke @Valentine Maddox comme d'hab ;D Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion VermillionBig Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Civil La première réaction de Vermillion fut de ... Soupirer de soulagement. De façon sonore. Et elle n’eut pas besoin d’attendre bien longtemps pour le faire : « je n’ai plus l’âge de me battre, donc je m’en passerais volontiers » lui fut amplement suffisant. Le fait qu’il n’ait pas fini de parler ne changeait pas grand-chose : elle le laissait volontiers continuer, mais pas sans faire quelque chose pendant ce temps. Elle détourna aussitôt toutes ses armes, rangea le revolver et la bombe / spray dans des poches de son pantalon, et ... « démantela » son fusil de précision, chaque main saisissant une partie de l’arme correspondant à une des armes à feu de la tireuse, avant de les séparer en tirant dessus. D’un côté, cela pouvait sembler étrange de la voir se retrouver avec plus d’armes dans les mains, de l’autre, elle n’en pointait aucune devant elle. Réintégrant ses deux pistolets à silex dans les tatouages de ses avant-bras, de même que la loupe / lunette de visée, elle saisit ensuite son fusil à levier, et activa le mécanisme pour éjecter la balle qui se trouvait dans la chambre. La munition, destinée à alimenter le sniper, fut saisie au vol par la tireuse expérimentée, qui la conduisit à sa cuisse et la fit disparaître dans le tatouage qui s’y trouvait. Le fusil à levier se volatilisa un instant plus tard. Inutile de garder toutes ses armes en main si les choses allaient se dérouler de façon pacifique. Du reste, le maître sushi ne semblait pas vouloir se battre, et ne pas le confronter semblait la bonne décision : selon lui, le tuer n’aurait pas fait disparaître ses créatures, et ces dernières étaient bien assez puissantes pour causer de nombreux soucis au groupe. Kathleen ne put s’empêcher d’être dubitative (après tout, il n’était jamais mort, comment il pouvait affirmer ça ?) mais elle n’avait aucune envie de tester s’il s’agissait ou non d’un bluff. L’idée de tuer quelqu’un, de base, la répugnait, et elle était bien contente d’avoir pu l’éviter. Cette question mise à part, il leur donnait une piste précieuse pour la suite : selon lui, « raisonner » la jeune recluse était loin d’être impossible ... C’était un point sur lequel la tireuse n’était pas fixée jusqu’à lors, et l’entendre de la bouche de quelqu’un qui tenait à Hikiko était rassurant. Car d’un point de vue pratique ... Vermillion pouvait bien tenter de tirer sur une de ses barrières avec son sniper, et faire un duel de force entre les deux alters pour voir lequel était le plus puissant, mais elle doutait de gagner. Et aucun de ses deux compagnons ne semblait disposer de capacités permettant de l’aider plus que cela non plus. La demande d’escorte fut une autre surprise, qui fit sincèrement hausser les sourcils à mimi. Il voulait que ses youkais les accompagnent ? Cela allait le laisser sans défense ... enfin. Il avait peut-être d’autres tours dans sa manche ... Et en plus, il ne semblait pas vraiment recevoir beaucoup de visites dangereuses. Qui plus est, il était normal qu’il ne fasse pas confiance à une bande d’inconnus débarquant par le toboggan avec pour objectif affiché de libérer la ville. La tireuse se massa le menton, tirant une légère moue ... Non, ces « accompagnateurs » supplémentaires ne la dérangeaient pas, mais elle ne savait pas très bien si le groupe de héros pouvait faire confiance au maître sushi, et s’ils pouvaient être sûrs qu’il ne cherchait pas juste à les éloigner avant de les livrer en pâture à ses créatures. Malheureusement, il n’y avait pas vraiment de « bon » moyen de vérifier cela, et le temps pressait trop de toute manière : le plus tôt ils pouvaient se rendre auprès d’Hikiko et désactiver ses barrières, le mieux c’était ... Quelque part, c’était quitte ou double : soit ça n’avait aucune importance, soit les choses allaient vraiment se corser en cas de combat. Encore que ... Qu’est-ce qui interdisait à ces Yokais d’avoir de l’impact sur la discussion qu’ils allaient du coup certainement avoir avec Hikiko ? La tireuse ouvrit des grands yeux, et prit aussitôt la parole, n’ayant laissé qu’un court blanc le temps de sa réflexion. Et bien, à vrai dire ... ça nous ... arrange ? Si vous demandez à vos Yokais de nous accompagner, ils nous serviront de « preuve » que vous êtes d’accord avec nous ! Enfin. Que vous nous avez laissé passer sans encombre, donc que vous n’avez rien contre notre plan, en tout cas.Le cerveau de la tireuse à 4 membres supérieurs s’emballait, partant dans des directions qu’elle n’aurait même pas envisagées quelques instants plus tôt. Cette alliance avec le maître sushi était inespérée, et si le groupe jouait bien ses cartes, et surtout cette carte, il pouvait renverser la situation en leur faveur. Oui ... Oui ! Ce serait excellent ! Si j’ai bien compris, Hikiko n’a elle-même pas de capacité offensive, n’est-ce pas ? Alors venir avec quelque chose prêt à se battre sur elle lui prouvera que nous ne sommes pas forcément venus dans l’optique de combattre ! Ou que nous sommes stupides et pas très portés sur l’instinct de survie. Elle se massa la nuque d’une autre main, lâchant un soupire sifflé entre ses crocs. Enfin, ça hein, je pense que c’était prouvé lorsqu’on a accepté cette mission et ses dangers. Mais sinon, oui ... Vos Yokais peuvent tout à fait nous accompagner, ça nous permettra de négocier avec Hikiko de façon plus efficace. Ça, et ... ... Et ... J’ai un peu honte de demander ça, mais ... La tireuse jeta un œil au Kyubi, puis au Kirin, qui flottait paisiblement. Est-ce que ... On pourrait ... Emporter un bateau de sushis et makis ? Je sais que c’est bête, mais personnellement, je discute beaucoup mieux le ventre plein ... Et j’ai envie de me dire que votre amie fonctionne de la même façon. En plus, elle adore votre cuisine, n’est-ce pas ? ça lui fera sûrement plaisir qu’on lui apporte quelque chose de votre part et qu’on le partage tous ensemble, ça la mettra peut-être un peu plus à l’aise ... Enfin je suppose. En tout cas votre ... heum ... draaaagooon ... cheval ? Volant peut sûrement transporter ce genre de choses dans le toboggan sans en perdre la moitié contre les parois. Du coup ce serait gentil qu’il aide avec ça.Réalisant qu’elle avait parlé pour le groupe sans consulter ses deux camarades – et plus ou moins aussi vite que ses pensées avaient traversé son crâne -, la tireuse se retourna un peu, regardant tour à tour rapace et Irina. Et ... Et vous ? Qu’est-ce que vous en penseriez ? ça vous conviendrait comme plan ?- résumé:
- Vermillion accepte avec plaisir la trêve proposée par le maître sushi - Elle réfléchit à ses paroles et à son marché - Elle accepterait tout à fait la compagnie des yokais, qui pourraient aider pour négocier avec Hikiko - Elle demande même s’ils peuvent emporter un bateau de sushis / makis histoire de mettre le plus de chances possibles de leur côté. - Elle demande (enfin) à rapace et riri s'ils sont OK avec un plan pareil.
Admin Pour Vermillion, William & Irina La réponse de Vermillion fit sourire le vieil homme.
« J'étais justement en train de préparer les sushis favoris d'Hikiko, je ne pense pas que cela suffira à lui faire baisser ses barrières, mais elle sera peut-être plus enclin à vous écouter si vous arrivez avec un de ses plats préférés. Et ce que vous appelez mon dragon-cheval est un Kirin, il se chargera de les transporter dans le toboggan sans trop les abîmer. »
Le vieillard s'attela alors à la mise en place d'une magnifique sélection de sushi dans une grande boîte repas d'une qualité remarquable. Il l'accrocha ensuite sur le dos de son Kirin à l'aide de délicats tissus puis demanda à sa créature d'accompagner les trois étrangers. Il fit la même demande à son Kappa. Seul le Kyûbi resterait avec lui dans le restaurant.
Pendant ce temps, le petit groupe de héros se concerta. Personne ne semblait contre le plan de Vermillion et Rapace leur confirma que le petit vieux ne semblait pas mentir. Il n'y avait donc à priori aucune raison de ne pas suivre l'idée de la rouge, ce qu’ils décidèrent de faire à l’unanimité.
Le bento empaqueté et accompagné désormais de deux étranges créatures, le groupe se dirigea vers le toboggan. Il n'y avait qu'une seule destination possible : "E". Comme ils s’en doutaient, le nom de code pour cette pièce était bien “Safe”.
Ils allaient s'engouffrer dans le tunnel, lorsque du bruit se fit entendre de l'autre côté de la pièce. Trois énergumènes sortirent du toboggan par lequel ils étaient entrés. Ces derniers se remirent rapidement de leur voyage et se relevèrent en hurlant “Vous là-bas, arrêtez-vous !!!”
Ils ne semblaient à première vue pas armés mais leur gabarit laisser présager de redoutables adversaires… Sans compter qu’ils n’avaient aucune idée des Alters qu’ils pouvaient posséder…. Cependant, il n’y avait pas de temps à perdre, libérer New York était la priorité et ils étaient désormais si près de leur but…
Ce fut Rapace qui décida d’intervenir :
« Vermillion, Irina, passez devant. Je vais les retenir. De votre côté, essayer de raisonner Hikiko, qu’on en finisse une bonne fois pour toute avec cette histoire ! »
Les deux jeunes femmes n’eurent pas le temps de tergiverser plus longtemps. Le vieil homme fit un signe discret à ses familiers et ces derniers les poussèrent dans le toboggan. La dernière chose qu’elles entendirent fut le maître sushi prononcer “Oh, non elles ont enlevé mes créatures !” d’un air faussement inquiet.
FINAL BOSS Le voyage fut long, comme toutes les autres fois, mais elles finirent par débarquer dans une pièce à nouveau sans la moindre fenêtre. Il s’agissait d’un véritable studio de taille plus que correcte, particulièrement cozy et propre composé d’un coin cuisine, d’un coin salon et d’un coin chambre avec un lit et un bureau. Une porte donnait sur une autre pièce, probablement une salle d’eau. Et en son centre, assise sur le canapé avec un ordinateur sur ses genoux, Hikiko, les yeux grands ouverts face à votre intrusion. Sa réaction ne se fit pas attendre, elle créa immédiatement 5 barrières consécutives, vous empêchant complètement de l’approcher ou même de l’entendre. Elle allait se cacher sous sa couette en hurlant, lorsqu’elle remarqua les deux créatures qui vous accompagnaient désormais. Ces dernières lui firent signe, souriantes. Hikiko arrêta sa fuite tout autant surprise qu’intriguée. Elle baissa une de ses barrières, c’était suffisant pour que vous puissiez désormais l’entendre. « … Que… Qu’est ce qu’ils font avec vous ? C’est un piège, c’est ça ? Et qu’est ce que vous faites ici d’abord ?! Les renforts ne sont pas arrivés à temps ?? »Informations Alors que Rapace est resté en arrière pour ralentir vos assaillants, Vermillion et Irina se trouvent enfin face à Hikiko ! - Hikiko:
Cette dernière a immédiatement dressé 5 barrières à votre arrivée pour se protéger. Ces dernières sont indestructibles, il ne sert à rien de s’acharner dessus. En vous voyant en compagnie du Kirin et du Kappa, Hikiko a volontairement baissé une de ses barrières. Vous pouvez désormais communiquer avec elle. Pour cette dernière phase de l’event, le principe est simple. À chaque tour, Hikiko parlera avec vos personnages. A vous de trouver comment réagir de la bonne manière pour qu’elle finisse par baisser les 4 barrières restantes, le tout dans le but de la convaincre - ou la forcer à vous de choisir - de supprimer la barrière qu’elle a posé autour de New York. Ces tours se passeront assez rapidement, dès que l’un d’entre vous aura posté, le compte PNJ répondra avec la réaction d’Hikiko. Inutile pour cette phase de faire de long posts, les actions devront au contraire s’enchaîner assez rapidement. De ce fait vous avez un maximum de 5 jours entre chaque passage du compte PNJ pour répondre. Vous avez donc jusqu'au vendredi 7 août pour répondre. N’hésitez pas à faire un post court pour simplement décrire la réponse/réaction de votre personnage. Si vous avez la moindre question, vous pouvez poke @Valentine Maddox comme d'hab ;D Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion VermillionBig Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Civil Le sourire que les paroles de la tireuse déclenchèrent chez le vieil homme lui fut aussitôt retourné par cette même tireuse, qui se sentait profondément rassurée de voir son plan – un peu bricolé à la dernière minute – être ainsi validé. Se tournant vers ses camarades ceci dit, elle fit le point avec eux : rapace confirmait que le restaurateur était sincère, et qu’on pouvait donc lui faire confiance. L’idée de négocier une fin pacifique à cette histoire ne semblait déranger personne, aussi le plan de Vermillion fut adopté à l’unanimité, ce qui n’était pas désagréable non plus. Le kirin les accompagnerait donc en se chargeant du bento géant, ce qui permettrait – enfin, l’aspirant héroïne l’espérait – de faire pencher la balance en leur faveur ... La diplomatie et la capacité à convaincre autrui n’étaient pas les points forts de la demoiselle à 4 bras, mais elle restait optimiste. Un des meilleurs amis de la personne à convaincre avait confiance en eux, alors pourquoi pas ?
Ceci étant, tout ne pouvait bien entendu pas se passer comme prévu, et alors que la tireuse et Irina étaient juste en face du toboggan dans lequel elles allaient s’engager, des hommes de main débarquèrent dans le restaurant, prêts à en découdre. L’action se passa un peu vite au goût de la rousse, qui aurait préféré avoir voix au chapitre, mais avant qu’elle n’ait pu faire ou dire grand-chose, elle se retrouvait embarquée tête la première avec Irina dans le tube du toboggan, dont le système d’aspiration les empêcha de faire demi-tour, ou même de ralentir leur descente. Elle songea à appuyer sur les parois de ses 4 membres supérieurs à la fois, mais la brutalité de la descente et le fait qu’elle et Irina étaient quasi collées l’en dissuada. C’était plus un coup à leur faire mal à toutes les deux qu’autre chose. Crier n’aurait pas non plus été très utile ou malin, et de toute façon, que dire ... Se renfrognant profondément, la tireuse à l’aspect démoniaque protégea son crâne, prit la jeune héroïne dans ses bras restants pour la serrer contre elle, et se résigna à attendre. Ne rien faire et attendre. En espérant que le jeune homme saurait se débrouiller ... Il n’avait pas l’air mauvais ou idiot, mais le fait qu’il soit seul allait clairement jouer en sa défaveur. La tireuse soupira agressivement par le nez. Elle détestait ce genre de situations.
La sortie du tube se fit de façon encore moins classe que les précédentes, et c’est un tas pêle-mêle de bras et de jambes qui dû se démêler avant de se redresser pour faire face à la jeune otaku. Une fois encore, pas le temps de lancer une discussion ou d’agir que des barrières se dressaient déjà entre les héros et la jeune femme, qui partit se planquer sous son lit ... Remettant ses très longs cheveux en place, Kathleen ne put s’empêcher de songer que ces réactions – la fuite, se planquer de façon si puérile – n’étaient pas signes d’une grande maturité ... Ce n’était pas un constat condescendant, méchant, ou même négatif en soit : la tireuse se faisait juste une remarque. Se redressant et s’époussetant le pantalon et les manches, elle s’éclaircit la gorge, et chercha à parler ... Mais avant qu’elle n’ait pu trouver les mots, une barrière s’évapora, et des questions stressées lui parvinrent. La tireuse leva deux index, comme si elle voulait répondre directement, mais elle marqua plutôt une pause, les replia ... Puis soupira profondément avant de se masser la tête de l’arrière d’une main.
Ha ha, okay, okay ... Je ... hrm. Excuse-moi si je ... prends un peu de temps pour te répondre, mais il s’est passé beaucoup de choses ces 40 dernières minutes, et je ... Suis pas hyper douée pour la tchatche et toutes ces choses là. Cessant de se gratter la tête, elle posa deux mains sur ses hanches, et en croisa deux autres. Je vais faire une supposition super risquée : tu es Hikiko, n’est-ce pas ? Moi c’est ver ... Kathleen. Kathleen Johns. J’habite starfish. Et à côté de moi, c’est miss Waldorf, une jeune héroïne officielle. On est ... Pas venus pour se battre. Ya pas de piège, ou de ... Coup fourré, ou quoi.
Sentant une légère lassitude s’emparer d’elle, la tireuse se força à s’asseoir en tailleurs sur le sol, et invita le Kirin à s’approcher avec la boite à Bento, qu’elle ouvrit.
Pour répondre à tes questions ... Ces deux Yokais nous accompagnent avec ces délicieux Sushis parce que ... Ton ami, le chef cuisinier, nous a fait confiance et nous a laissé passer. Parce qu’il a confiance en nous pour ne pas essayer de te faire de mal. Et d’ailleurs, si on tente, ils se battront pour te protéger. Pour le piège, nope ... C’est ton royaume ici ma fille, on a pas eu le temps de monter une combine. Pour les renforts ... Un ami à nous est en train de les retenir. Seul. Je ... ... Je m’en veux un peu qu’on l’ait laissé. Je m’en fais pour lui. Mais il a pris sa décision et on est venues parce que ... Parce qu’on a quelque chose de plus important à ... faire. Et ce quelque chose, c’est te convaincre de libérer New York.
La tireuse leva brusquement la main pour intimer à la jeune femme de l’autre côté des barrières de ne pas prendre la parole. Pas tout de suite. Elle n’enchaîna pas immédiatement avec une autre phrase, mais elle voulait prendre quelques secondes avant de continuer à parler. Elle en profita au passage pour regarder les sushis, et s’en jeter un entre les crocs. Ça aurait été bête de ne pas profiter : il y en avait facilement une soixantaine, là-dedans.
Je sais, je sais ... On a débarqué de force chez toi, on t’a poursuivi, et oui, on s’est battu en cours de route ... Mais on est pas vraiment là pour te faire du mal. A toi ou à qui que ce soit. Je te dis pas que tu peux immédiatement venir nous rejoindre, j’me doute que tu nous fais pas confiance et tout ... Mais tu veux bien au moins ... Qu’on discute ? Tranquillement ? De toute façon on pourra pas t’atteindre avec ton pouvoir, donc c’est pas comme si la balle était pas dans ton camp. Admin Pour Vermillion & Irina Bien que peu rassurée et clairement angoissée, la jeune fille se sentait au moins à l’abri derrière ses murailles. Elle écouta donc le discours de l’humaine à l’étrange apparence en ne cessant de se triturer les doigts. Elle s’appelait Kathleen Jonhs et était accompagnée d’une héroïne Irina Waldorf. La rouge avait beau dire qu’elles n’étaient pas ici pour se battre ou lui tendre un piège, Hikiko en doutait fortement. Après tout n’était-elle pas la complice d’un super-vilain ? N’était-elle pas responsable du blocus que subissait encore New York à ce jour ? Ne devrait-elle pas craindre pour sa vie si une héroïne se pointait dans son bunker ?
Ses informations commencèrent à la faire paniquer lorsque son interlocutrice ouvrit le bento. Elle reconnut aussitôt le travail de son ami. Il n’y avait que lui pour arranger des maki de Kappa de cette façon. Il n’y avait que lui pour faire des maki de Kappa tout court en fait. Cette vision la calma un peu. Apparemment les deux yokai étaient là pour la protéger. Cela semblait plausible de la part de Masahiro… S’il leur avait fait confiance, elle pouvait bien les écouter, même s’il y avait peu de chances qu’elles réussissent à la convaincre de libérer New York...
Elle profita du blanc laissé par la rouge pour essayer de se calmer, respirant un grand coup. Une fois… Deux fois…. Trois fois. À nouveau concentrée et presque en pleine possession de ses moyens, elle plongea ses yeux cendrés dans ceux de Kathleen. Enfin, elle essaya, ses murailles rendant légèrement opaques sa vision.
Elle voulait discuter, insistant bien sur le fait que de toute façon, elles pouvaient rien lui faire en l’état… Ce qui était complètement vrai. Hikiko soupira, leva une nouvelle de ses barrières pour observer plus précisément le visage et les expressions de la rouge. Sa voix, bien que toujours tremblante, était nettement plus confiante qu’à leur arrivée.
« Très bien, je vous écoute… Pourquoi devrais-je vous faire confiance ? Et surtout quel est mon intérêt à libérer New York ? Si je le fais, je suis sûre que les héros se feront une joie de me mettre derrière les barreaux. Et si jamais je réussis par miracle à leur échapper, ce sont sûrement les acolytes de Big Bang qui me feront la peau… Non, clairement ce choix m’a l’air de mener tout droit à un game over pour moi… »
Informations GG, tu as réussi à baisser une nouvelle barrière d’Hikiko, tu es sur la bonne voie ! Il n’en reste donc plus que 3 ! À toi de continuer de la convaincre ;D Vous avez donc jusqu'au mardi 25 août pour répondre. N’hésitez pas à faire un post court pour simplement décrire la réponse/réaction de votre personnage. Si vous avez la moindre question, vous pouvez poke @Valentine Maddox comme d'hab ;D Ennemi du mal 21 ans Blackout Vigilante 400 D 1291 65 Damian Wayne - DC Comics [HUB] Merry William DrakeEnnemi du mal 21 ans Blackout Vigilante 400 D 1291 65 Damian Wayne - DC Comics [HUB] Merry Ennemi du mal 21 ans Blackout Vigilante 400 D 1291 65 Damian Wayne - DC Comics [HUB] Merry Héros [Groupe 1] Libérer New York entre deux toboggans - #SaveNewYork Trois nouveaux intervenants, ils s'attendaient à trouver quelqu'un autre que le maître sushis, qui, sans une once d'inquiétude repris son art derrière les fourneaux et ses ustensiles. Du point de vue de l'oiseau de nuit, leurs odeurs comme toutes les informations qu'il pouvait tirer d'eux ne semblait présager en rien une quelconque familiarité, ils ne venaient pas de la salle de tournage et il était plutôt étonnant qu'ils aient pu passer l'étape de la chambre d'Hikiko, très certainement encore en feu. Ils étaient vêtus entièrement de noir, une tenue sobre mais leur permettant une grande aisance de mouvements. Le maître sushi prit la situation à la rigolade, s'adressant à Rapace tout en continuant de cuisiner ▬ Jeune maître, semble t-il qu'il vous faut une table pour quatre, veuillez prendre le temps de vous installer je vais vous préparer un petit quelque chose. Rapace eu un rictus de satisfaction, une belle récompense face à un tel challenge qui l'attendait ▬ Ce sera sushis, makis et sashimis pour moi, je n'en aurais pas pour longtemps. Une confiance semblant totalement aveugle alors qu'il ne pouvait encore rien deviner des compétences aux combats et tout simplement de l'alter de ses opposants. S'armant de son bô de métal, il invita ses adversaires à entamer la danse.
La technicité et la dextérité de combat de tout ce beau monde avait une allure d'art, une chorégraphie des plus rondement menée si tout ça n'avait pas vraiment l'air d'un véritable combat, mais les opposants comme Rapace connaissait leur corps tout comme leur capacités, et il fallait bien se l'avouer, ces gars là n'étaient pas mauvais et il aurait fallu être fou pour ne serait-ce avoir une simple seconde d’inattention. Malheureusement le maître sushi ne pourrait servir bien peu de table sachant que le moindre meubles et décors servit à chacun à se attaquer comme à se défendre. Rapace usa de ses couteaux de lancer jusqu'au dernier ne devant plus qu'en dernier qu'à compter sur son fidèle bô multi-fonctions et de ses dernières forces avant d’espérer libérer New York. S'attarder à affronter trois adversaires en même temps n'était pas chose aisé, il fallait pouvoir jouer le rapport de force voir la retourner contre eux, faire comprendre à l'adversaire qu'il n'était pas forcément plus judicieux d'avoir bien trop de bras contre une seule personne et ainsi l'obliger à restreindre les attaques groupées. A ça, Rapace pouvait se permettre d'avoir plus d'aisance à s'occuper que d'un ou deux opposants à la fois sans compte d'affaiblir peu à peu chacun d'eux, un couteau planté dans un jambe, dans un bras, une articulation déboîtée, un os cassé … Le combat fut long et l'oiseau de nuit reçu bons nombres de coups qui le fit comme ainsi dire "voir flou", mais il apprit par le passé à ne pas compter que sur son alter, bien au contraire, dans le cas où il n'en aurait pas accès il fut formaté pour continuer de se défendre et pouvoir utiliser ses autres sens affûtés par l'entrainement intense.
Concernant ses adversaires, ils savaient se battre, il avait été formé pour le combat bien que quelques lacunes et maladresses se ressentaient dans leurs coups, cependant seul un autre combattant expérimenté pour déchiffrer les mouvements et en juger. A cela s'ajoutait les alters de chacun d'eux, le premier avait des aptitudes de contorsionniste pouvant ainsi effectuer des mouvements plus complexes et surtout des plus imprévisibles, le second pouvait sécréter une seconde peau servant d'armure cependant sa solidité se rapprochait du bois, le dernier et non des moindres pouvait sortir une lame de chaque coudes.
Le temps n'avait plus trop d'importance, mais il était évidemment qu'il avait fallu bien plus de temps que prévu à Rapace pour mettre à terre chacun d'entres eux. Il s'assit à l'une des rare chaise encore sur ses quatre pieds se laissant tomber alors que ses jambes ne pouvait plus répondre aux moindres mouvements, il dut se faire un garrot à la jambe, retirer couverts et morceaux de verres de sa peau, le maître sushi lui tendit une serviette pour arrêter le saignement de sa tête et par la même occasion lui servir son plat ainsi qu'un grand verre d'eau tout cela dans un silence de morts. Justement il fallait prendre une compte les trois gugusses au sol eux aussi bien vivants, mais ne pouvant se relever à cet instant, cependant Rapace allait bientôt rejoindre le toboggan et donc Vermi et Irina. Le plat était des plus appréciable et appréciait, Rapace mit bien moins de temps pour rendre l'assiette blanche. A la suite de cette fin de repas et surement après avoir le corps refroidi de cette intense confrontation, il tomba au sol inerte, dans les vapes, immobile au sol sans que le maître sushi n'intervienne. Rapace allait-il mourir de ses blessures ? Succomber après le réveil de ses redoutables opposants ? Ou à l'instar d'une aide quelconque être mis de côté pour le reste de la mission et ainsi mit à l'abri ?
- Spoiler:
- Rapace combat trois adversaires redoutables. - Il mange un plat de sushis, makis et sashimis. - Il tombe au sol, inerte.
Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion VermillionBig Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Civil Très bien, très bien … On discute. Le sourire de la tireuse s’était élargi. C’était un peu inquiétant à première vue, mais n’importe qui l’ayant assez côtoyé aurait su qu’il n’émanait de son expression qu’une bienveillance satisfaite. Il n’y avait en revanche pas besoin de connaître sa gestuelle habituelle pour percevoir les légers mouvements de sa tête et de ses paupières : elle regardait la 4 ème barrière disparaître et offrir une vision plus nette et précise de la jeune femme. Sa voix semblait bien plus distincte, aussi. En clair, elles progressaient, petit à petit. Se raclant un peu la gorge après avoir fini d’avaler le sushi qu’elle s’était jeté dans la bouche un peu plus tôt, la tireuse se la massa d’une main, et hocha négativement la tête, replaçant ses yeux noirs sur ceux de la jeune isolée. Pour l’instant ma jolie, nous sommes les héros … Et crois-moi, on est loin de vouloir ta peau. Tout le monde a un jour ou l’autre entendu parler de all might, arrivant sur une scène de crime, distribuant les coups de poings aux méchants et résolvants tous les problèmes en mettant les criminels derrière les barreaux … Mais ici, dans la vie réelle, ça ne fonctionne pas comme ça. Tout évènement … a autant de point de vue que de protagonistes. Se massant un peu la nuque, la tireuse baissa le regard, perdant un peu de la confiance avec laquelle elle avait répondu au premier abord. Entre la fatigue, et le fait qu’elle ne savait pas trop comment structurer ce qu’elle allait dire … Mais bon, elle s’était lancée, autant continuer. Même sans parler de l’avenir, voilà un topo de ce qui se passe en ce moment. New York a été infiltré par un groupe d’une quinzaine de personnes. Certaines sont parties directement à la recherche de Big Bang. D’autres, sont allées à son QG … Et un autre groupe, le nôtre, est ici. Même si notre groupe échoue, les deux autres réussiront peut-être soit à neutraliser ton « chef » Elle marqua les guillemets avec 4 doigts répartis sur 2 mains , soit à trouver une autre manière de faire arriver des renforts … Bref. Pour moi, il y a deux issues. Qui nous concernent, en tout cas. Soit tu ne nous aide pas, et éventuellement, New York sera reprise sans ton concours. Soit tu es celle qui nous permet de libérer la ville. Et dans le 2nd cas, lorsque tu seras traduite en justice, tu auras déjà un sacré argument pour te défendre. La tireuse prit un autre sushi entre ses doigts … Puis, fit tourner le bateau vers la demoiselle aux cheveux violets, et le poussa à la limite de sa barrière. Puis, elle se recula, comme pour lui laisser de l’espace. Elle ne savait pas très bien comment fonctionnait cet alter, ni comment la jeune femme pouvait emprisonner une ville avec ET faire des « murs » de plus ici … mais elle supposait Hikiko capable de se débrouiller pour avoir, elle aussi, un ou deux sushis à se mettre sous la dent. Tu en veux ? On les a apporté pour les partager avec toi, après tout … Même si bien sûr, tu n’as pas à … Disons, te « mettre en danger » pour en prendre. Enfin bref … Parlant de justice et de circonstances atténuantes. Big Bang a des … Acolytes, pour reprendre tes termes, qui pourraient te vouloir du mal si tu trahis leur chef ? Parce que ça non plus, ce n’est pas négligeable, pour un juge. Si tu n’agis pas à 100% de ton plein gré parce que tu es plus ou moins menacée, tu ne peux pas être tenue comme entièrement responsable. Et puis même, à côté de ça … il y a toi, qui tu es, qui entre en compte. Pour avoir déjà parlé à des juges, je peux t’assurer qu’on ne condamne pas de la même façon un type qui tue qui on lui pointe du doigt parce que ça lui plaît … Et quelqu’un qui offre à des survivants de l’effondrement des boulots en tant qu’animateurs, jobs qui leur offre protection, nourriture et autres. Tes barrières ont joué un rôle grave dans les évènements récents, mais tu n’es pas une tueuse. Et tu as des gens prêts à témoigner en ta faveur, pour ça. Le maître Sushi, les gens du studio … Nous ? La tireuse eut un petit rire sec et sans joie. Il y avait un côté étrange à négocier ainsi avec son « ennemi ». Sa cible. Qu’importe … Si quand elle avait 12 ans, la jeune et idéaliste Kathleen Sarah Johns avait appris que plus tard, elle parlerait à une « super vilaine » pour lui dire qu’elle la défendrait devant la justice si elle se montrait gentille … elle n’y aurait pas cru. Encore que ? Même à cet âge, elle était déjà assez mature sur tant de sujets … mais ce n’était pas le moment de s’abandonner à sa nostalgie. Bref … Non, les « héros » ne chercheront pas forcément à te mettre derrière les barreaux … Et si tu coopère, la justice saura certainement se montrer beaucoup plus souple qu’on ne pourrait le croire. A côté de ça … Si tu as … Des difficultés à rester au contact des gens … un passif un peu difficile avec ta famille, et autres … Je suis sûr qu’on peut essayer de te négocier des choses comme des périodes de probation sous tutelles. Où quelqu’un est responsable de toi, chargé de te surveiller et de t’aider à t’intégrer. A l’extérieur. En liberté conditionnelle. Plutôt qu’un séjour en prison … Dans certains cas, c’est possible, et je suis sûr que pour le tien, ça ne poserait pas de problème grave. Il faudrait que tu sois protégée d’éventuels anciens alliés un peu rancuniers, mais bon. Ce que j’essaie de te dire, c’est que même si tu fais le bon choix aujourd’hui … enfin. Si tu fais le bon choix tout court … ça ne te coûtera pas forcément aussi cher que tu le penses. Le cerveau de la rousse à la peau rouge eut une légère absence : trop d’idées qui fusaient en même temps, se rencontraient, se croisaient … et se mélangeaient dans un beau bazar qu’elle avait du mal à démêler. Elle était déjà fière d’être arrivée si loin sans cafouiller de façon majeure, et d’arriver plus ou moins explicitement à dire ce qu’elle voulait. Même si elle n’avait pas encore tout dit. Tu nous as aussi demandé pourquoi tu devrais nous faire confiance … Je n’ai pas de réponse à cette question. Tu … Fais tes choix. Au feeling. Je peux bien dire que ma tronche n’a jamais inspiré confiance aux autres dans ma vie, et que ça m’a pas aidé à devenir quelqu’un de « bien » ou de « gentil » … Mais je crois que j’y suis arrivé quand même. Et ceux qui me connaissent pourraient te dire la même chose, je pense. Mais bon. Je te dis tout ça pour dire, « ne juge pas le livre à sa couverture » … Le reste, le contenu … Je ne suis pas assez bonne en manipulation pour te convaincre que ma parole est à 100% véridique là, comme ça. Je pourrais te dire que j’ai fait des trucs bien en venant ici, te faire des promesses, des trucs … Ou je pourrais être en train de mentir depuis le début. Mais je sais pas. C’est à toi d’en juger. Ça, je n’arriverais pas à faire appel à tes sentiments pour te donner l’impression que je veux … Par contre … Il y a un autre truc sur lequel je pense pouvoir te « convaincre ». La raison pour laquelle tu devrais libérer new york. Les raisons, même. Outre … Le côté, disons, mathématique … Heu, non, pragmatique. Voilà. L’analyse de la situation et tout ça. La justice, comment ça va se dérouler dans les prochains mois ou les prochaines années pour toi, tout ça … Si on laisse tout ça de côté. J’aimerais te convaincre que libérer New York est la bonne chose à faire. La rouge garda un silence … Puis se gratta de nouveau la tête, lâchant une fois de plus un petit rire. Heum, donc … Demande-moi ? Pourquoi je pense que tu devrais penser que libérer New York est la bonne marche à suivre ?- résumé:
- Vermi est contente qu'hikiko veuille bien dialoguer. - Elle essaie de la convaincre en abordant plusieurs points : - Le fait que les héros et la justice ne cherchent pas forcément une issue "rapide et facile" à l'affaire en se contentant de la condamner à la prison à vie. - En lui exposant les circonstances aténuantes dont elle dispose, surtout si elle aide à sauver la ville en la libérant - En mentionnant d'autres possibles condamnations qui n'entraînent, une fois encore, pas forcément la prison, ou pour des durées supportables. - Elle répond également à la question de "pourquoi devrais-je vous faire confiance" pour dire qu'elle n'a aucun argument valable à faire valoir, et qu'elle n'est pas assez fourbe pour tenter de la manipuler. En revanche, elle pense pouvoir convaincre Hikiko que libérer New York est la bonne chose à faire. - Elle met les sushis un peu loin d'elle pour permettre à Hikiko, en déplaçant ses barrières, d'en avoir quelques uns.
Admin Pour Vermillion & Irina La mutante lui sourit de plus belle, une vision troublante clairement. Mais Hikiko sentait qu’elle se voulait bienveillante. Etait-ce cependant sincère ? Elle en avait l’impression mais ne pouvait en être certaine. Elle finit d’avaler le sushi qu’elle mastiquait puis reprit son discours.
Elle parla de “maîtriser Big Bang”, cela l’aurait presque fait sourire à son tour si elle n’était pas aussi inquiète. Il y avait bien peu de chances qu’un quelconque groupe réussisse à l’avoir. Encore plus s’il était en compagnie de sa clique habituelle… Enfin cela importait peu, s’ils avaient réussi à pénétrer dans New York, ils arriveraient sûrement à faire venir plus de renforts et reprendre petit à petit le contrôle de la ville. Et là, Vermillion marquait un point. Mieux valait faire partie du groupe qui avait participé au sauvetage de la ville, qu’au camp adverse lors d’un passage devant le tribunal.
Mais cette idée n'enchantait guère la demoiselle. Même avec toutes les circonstances atténuantes qu’avait listées la rouge, elle ne s’en tirerait jamais sans la moindre peine, et probablement pas non plus avec une simple liberté conditionnelle… Après tout elle était une des complices principales de Big Bang et clairement l’élément clé dans la mise sous dôme de New York…
Elle n’avait cependant jamais envisagé que certaines personnes prendraient sa défense. Le maître sushi le ferait sûrement maintenant qu’elle y pensait. Les gens du studio… Peut-être aussi, après tout elle avait été une chef de projet plutôt cool avec eux. Par contre elle ne s’attendait pas à ce que ces héros témoignent en sa faveur. Elle ne savait pas si c’était vrai, si ce n’était que de la manipulation, mais elle fut réellement touchée par cette remarque. Bien plus qu’elle n’aurait pu le croire.
Elle baissa une autre de ses barrières pendant que Vermillion finissait son discours. Elle avait raison, elle ne savait pas si elle pouvait vraiment leur faire confiance ou non. Et même si c’était le cas, même si tout ce que la rouge disait était sincère, il lui semblait bien peu probable de pouvoir espérer une justice clémence face à son cas. Il ne restait donc qu’à la convaincre d’une bonne raison de lever ses barrières pour libérer New York.
« Tu as raison, je ne peux pas savoir si je peux te faire confiance ou pas. J’aimerais bien le croire, t’as pas l’air méchante… Elle fit une pause, se rendant compte que cela ne coulait sûrement pas de source en réalité. Enfin, je… Je me comprends... Bref, je peux pas prendre ce risque... Je suis une des principales responsables du chaos qui règne en ce moment à New York et peu importe mes circonstances, je l’ai fait en toute connaissance de cause. Je ne pense pas que la justice se montrera bien clémente avec moi… Mais soit, je te laisse m’expliquer pourquoi libérer New York est la chose que je devrais faire malgré tout ça ? »
Informations GG, tu as réussi à baisser une nouvelle barrière d’Hikiko, tu es sur la bonne voie ! Il n’en reste donc plus que 2 ! À toi de continuer de la convaincre ;D Vous avez donc jusqu'au vendredi 4 septembre pour répondre. N’hésitez pas à faire un post court pour simplement décrire la réponse/réaction de votre personnage. Si vous avez la moindre question, vous pouvez poke @Valentine Maddox comme d'hab ;D Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion VermillionBig Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Big Shot 25 ans Pistolera infernale Propriétaire de stand de tir 1320 C 2495 219 Vermillion Civil La tireuse avait déjà sa réponse sur le bout – métaphorique – des lèvres lorsqu’elle avait demandé à Hikiko de lui poser la question qu’elle voulait. Ce qui était logique : elle s’était elle-même préparé le terrain, un terrain où elle pourrait faire la liste de ses arguments sans contrainte. Mais la réponse d’Hikiko lui fit perdre ses moyens et son sourire, en un instant. En une phrase, en fait. Phrase que l’introvertie tenta plus ou moins de corriger par la suite, plus ou moins sans effet. Les traits de la pistolera s’étaient détendus en un rien de temps, et elle cligna à une ou deux reprises des yeux, avant de se souvenir de respirer … Et de ricaner un petit coup, bien plus par gêne et par manque de réaction adaptée que par véritable amusement.
C’est … je … te comprends aussi. E-et merci … j’ai pas entendu ça bien souvent.
Il y avait un côté amusant, mais triste, à l’idée qu’une personne avec un physique si atypique, voir « monstrueux », ait grandi en développant une personnalité aussi chaude et accueillante. Et il était encore plus triste de se dire que l’égo de la personne en question avait, à cause de son physique, été brisé tant et tant qu’un simple compliment de ce style suffisait à la faire vaciller mentalement… Et pas qu’un peu. Prenant un instant pour remettre ses idées en ordre, la dentue « pas si méchante » que ça s’éclaircit la gorge, et … Ricana, gênée, une fois de plus. Après sa légère perte de contenance, son argument lui semblait un peu ridicule. Mais elle ne pouvait pas vraiment faire marche arrière pour en retrouver un mieux.
Et je … Pense que tu devrais libérer New York parce que … Parce que c’est la bonne chose à faire. He. La tireuse soupira, et une de ses mains retrouva le chemin vers sa nuque, la massant avec embarras. ça sonne un peu … Plat, comme réplique, dit comme ça, hein ? mais bon, donnes-moi juste une minute pour m’expliquer.
Je pense … et bien, je pense que tu sais pour des raisons logiques que retenir une ville en otage pour un super vilain, c’est mal, bien sûr. Mais … même au-delà de ça … Tu sais, pendant cette course-poursuite, j’ai un peu eu le temps d’apprendre à te connaître. D’un geste, la tireuse fouilla dans son sac, et en sortit le journal qu’ils avaient, un peu plus tôt, subtilisé à la jeune recluse. En partie avec ça … C’est vraiment pas délicat de notre part d’avoir fouillé ton intimité comme ça, désolée, mais ton labyrinthe de toboggans nous a pas laissé beaucoup d’options pour te retrouver. Elle jeta délicatement le journal à plat, à côté du bateau de sushis.
Mais bref, j’ai lu ça … pas tout, bien sûr, juste des passages. J’ai aussi discuté avec les gens du studio … Le maître sushi … On est passé par plusieurs salles, moi et un autre groupe … Et … Et si ça m’a mené à la moindre conclusion, c’est que tu n’as pas grand-chose d’une criminelle. Tu es une jeune femme, avec un caractère introverti très fort … Ce qui est pas un mal, hein. Mais tu t’entends pas forcément bien à la folie avec ta famille … Ce que je peux très bien comprendre aussi, s’ils sont pas très compréhensifs … Tu as des amis avec des intérêts particuliers … Et tu préfèrerais qu’on te laisse juste en paix dans ton coin. Ça fait … ça fait pas de toi quelqu’un de méchant, tout ça.
Tu as pas maltraité les employés du studio comme une tyran alors qu’ils étaient totalement à ta merci, pendant ces quelques mois. Ni le maître Sushi, qui a vraiment l’air de t’apprécier … Tu es pas une déséquilibrée qui a passé son temps dans les rues, à buter les survivants … Hey, même ton utilisation de ton alter n’est pas si violente : si j’étais à ta place et que je me sentais en danger comme quand on est arrivés, j’aurais mis une barrière entre les poumons de mes adversaires et l’air de la pièce. Enfin, si j’étais à ta place, et agressive. Mais toi, tu t’es uniquement protégée. Tu es juste une demoiselle qui voudrait être laissée seule … Et à qui Big Bang a donné une opportunité en or de l’être. C’est sûr que tu as dû être tranquille, pendant ces mois d’isolements, ça devait être chouette pour toi … Mais … Tu dois bien te douter au fond de toi qu’il n’a fait que se servir de toi, n’est-ce pas ? Tu avais un alter utile à son plan, alors il t’as offert ce que tu désirais sur un plateau d’argent … Mais c’est pas pour autant que c’est bien, ou juste, d’avoir fait ça, et de continuer à le faire … D’ailleurs, comment tu arrives à isoler toute une ville ? Ça doit te demander une puissance considérable, non ?
Enfin je digresse … heum … Le … Le maître Sushi nous a dit, tout à l’heure, que tu n’étais pas méchante, mais que tu t’étais égarée. Et … Je pense qu’il a raison. Je pense que tu n’as rien d’une criminelle, ou d’une vilaine. C’est pour ça que j’essaie de parler avec toi, d’ailleurs … Parce que je pense que tu sais autant que moi que continuer à isoler New York, c’est pas la bonne chose à faire. Et je voudrais te voir prendre la bonne décision. Vraiment.
La tireuse soupira, lasse. Elle avait beau diriger la discussion, et ses efforts avaient beau sembler payer … Elle ne pouvait s’empêcher de se sentir impuissante. Impuissante, et quelque peu futile, avec ses discours sur la moralité et ce qu’il « fallait » faire. Elle espérait atteindre son but, sans la moindre certitude.
T-tu sais, ce … Ce que tu as dit tout à l’heure. Que … que j’avais pas l’air méchante. J’ai passé mon enfance à entendre l’inverse. Que j’avais une tête de vilain, que c’était comme ça que je tournerais forcément … Et puis … Ya aussi que quand je suis né, j’étais … Un garçon, et … J’ai réalisé plus tard que ce n’étais pas le cas, et j’ai mis tout en œuvre pour changer ça … Mais j’en ai pris dans la tronche, pour ça, aussi. Si je dis tout ça, c’est parce que … Je sais que les autres peuvent te pousser à te renfermer sur toi-même, à t’isoler … Et je sais qu’on vit dans un monde qui peut te donner envie de dire « merde », de toute envoyer se faire foutre … et de bel et bien devenir le méchant que les autres voyaient. Je peux te comprendre, que tu te sois isolée autant, et que tu ne sois pas motivée pour faire « un bon geste » … Je dis même pas que si nos rôles étaient inversés, j’aurais pas agi comme toi. Mais … on sait toutes les deux que c’est pas parce qu’on a envie de tout mettre sens-dessus dessous qu’on peut… qu’on doit le faire, n’est-ce pas ? Une pause. La tireuse songea à se défaire les cheveux … comme ça. Elle résista à la tentation ceci dit. S’il-te-plais, Hikiko … Abaisses tes barrières autour de New York. Je t’en prie. Je sais que les prochains jours et mois ne vont pas être drôles, pour toi … mais fais-le. Au moins pour te dire, pour le reste de tes jours, que tu as pris la bonne décision et mit fin à tout ce chaos. Admin La rouge semble perturbée par ses dires, gênée peut être... Ce ne sont peut-être pas des mots qu’elle a souvent entendu à son égard. Sa vie non plus n’a sûrement pas du être simple… Hikiko est tout aussi embarrassée que amusée par sa réaction. Son embarras augmente d’ailleurs d’un cran lorsqu’elle remarque son journal intime entre ses doigts. Dans la panique, elle a complètement oublié de l’emmener avec elle... Mais elle n’a guère le temps de s’en soucier.
La suite de son discours lui fit grincer des dents. Elle se retient pour ne pas interrompre son impromptue invitée. Elle a pourtant envie de lui crier que ce n’est pas vrai - si elle s’en sentait capable. Non, ils ne sont pas des “vilains” justement. Non personne n’a tué d’innocents, c’est même une des rares règles de Bang. Non elle… Bon en vrai si, on l’exploite pour son Alter, mais c’est comme ça pour tout le monde et cela ne la dérange pas. Il faut bien faire quelque chose pour qu’on te foute la paix dans la vie. Certains deviennent Shaman King et d’autres posent des barrières géantes autour de New York… Chacun sa voie après tout...
Et puis soudain, les choses prirent une tournure bien différente. Vermillion commença à s’ouvrir à elle, à lui raconter son histoire, sa vie, lui confirmant qu’elle n’avait en effet pas été des plus aisés. Mais pour Hikiko, écouter quelqu’un ainsi s’épancher sur son passé n’était clairement pas des plus simples. Tout d’abord parce que cela ne lui était pas souvent arrivé, et qu’à ces rares occasions elle n’avait jamais su comment réagir. Mais le temps avait passé et elle avait gagné en expérience. Notamment en dating sim. Ses yeux se plissent devant le challenge de la situation, elle va affronter ce nouveau challenge sans fuir, façon shônen. Façon shônen certes, mais avec les démarches des shôjos. C’était simple, il fallait qu’elle voit son adversaire comme un date. Trouver la bonne phrase pour s’en sortir avec les honneurs et passer à la suite… Quoique, wait. Dans cette histoire n’était-ce pas elle la PNJ qu’on essayait de date ? Un petit sourire se dessina sur les lèvres d’Hikiko à cette idée. Cela faisait longtemps qu’une interaction humaine ne l’avait pas faite réagir ainsi.
Elle prit son courage à deux mains et se lança, presque confiante en elle et ses mots. De toute façon, sa décision était prise.
« Tu es gentille à dire que je n’ai pas grand chose d’une criminelle… Certes je ne tue personne de mes propres mains, mais je suis plus que complice dans cette histoire. Je me suis protégée au péril de la vie de dizaines voire de centaines d’autres, et cela ne me fait ni chaud ni froid. Et surtout... Je ne désapprouve pas les actes de Bang, ni son objectif. Loin de là.
Certes il me proposait ce dont je rêvais sur un plateau d’argent, mais si je n’étais pas d’accord avec ses idées, je ne l’aurais pas rejoint. Bang veut changer le monde, ce monde qui voudrait que je change pour rentrer dans la norme. Il veut créer un monde qui acceptera les gens comme moi. Et je pense que tu peux me comprendre, car toi aussi le monde ne t’à pas accepter et aurait voulu te changer…
Mais peu importe, dans le fond. Isoler New York n’est peut être plus la meilleure chose à faire maintenant. Si vous êtes arrivés là, d’autres suivront et dans ce genre de cas, il vaut mieux que je libère New York et que je me carapate. Hors de question de me rendre. être enfermée ne me dérange pas, mais pas en prison. De toute façon il faudra bien la libérer à un moment… Et Bang le sait sûrement. Je sais qu’il ne m’en voudra pas.
Hikiko se retourna pour la première fois, elle récupéra quelques affaires dans la pièce, notamment une peluche hibou qu’elle serra fort dans ses bras avant de la ranger comme le reste dans un gros sac à dos. Une fois fermé, elle fit tomber une autre muraille, ne laissant plus qu’une seule paroi la séparer des héroïnes.»
Elle s’approcha de Vermillion, bien plus qu’elle n’en aurait été capable en temps normal, la regarda dans les yeux et lui annonça:
« Merci Vermillion pour cette discussion. C’est assez rare que les gens s’ouvrent à moi comme ça. Et bien que je ne sois pas du tout à l’aise avec ça, j’apprécie ta confiance. Tu es peut être un peu trop naïve à voir le bien beaucoup trop rapidement chez les gens mais c’est plutôt agréable. Nous avons peut être des peurs et des angoisses communes, mais nous avons choisi deux voies différentes. Moi j’ai choisi de m’isoler des autres, de ce qui nous ont fait du mal et en font encore aux autres. Et au final, même si j’ai surement fait bien pire, je m’en fiche désormais. Je suis mon propre chemin.»
Hikiko recula et partit au fond de la pièce. Elle arracha un poster du mur et dévoila un nouveau toboggan. Elle glissa à l’intérieur et avant de partir annonça:
« Je m’en vais. Certes, cela ne me dérangerait pas d’être enfermée, mais la prison très peu pour moi. Cette salle va exploser à mon départ, mais ne t’en fais pas, vous serez protégées par ma barrière et vous trouverez sûrement un moyen de vous en échapper ensuite. En tout cas, je te souhaite bien du courage. Mais, qui sait, on se reverra peut être ! Tu as l’air de me laisser une chance en tout cas, alors je vais faire de même.»
La jeune fille aux cheveux violets sourit et claqua des doigts avant de se laisser glisser dans le toboggan. À peine fut-elle partie que deux choses se produisirent.
La première, comme elle l’avait annoncée, fut l’explosion de la salle où Vermillion et Irina se trouvaient encore. Tout s’effondra et prit feu autour d’elles pendant de longues secondes, de longues minutes. Puis au bout d’un moment le chaos s’arrêta ne laissant que débris et flammes aux alentours. Les deux jeunes femmes étaient sauves.
La deuxième, qui marquera sûrement bien plus l’histoire, fut la disparition pure et simple du dôme qui entourait la ville. Pour la première fois depuis des mois, les habitants de New York pouvaient enfin revoir le ciel.
New York est libérée.
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