L'exploration prudente et attentive de Valentine lui permet de réunir petit à petit de nombreux éléments, entre lesquels elle se met à établir des liens. Elle comprend que la première cellule en partant du fond est celle de Stan D. Order, bien qu'il ne s'y trouve pas actuellement. Vous avez établi la présence de deux prisonniers (l'otaku de la troisième cellule, et Noah Spencer dans la quatrième). Il reste trois cellules inexplorées, deux d'entre elles étant barrées sur le plan tracé par Stan, quelle qu'en soit la raison.

Tandis que le reste du groupe se focalise sur la situation présente, Mint s'interroge sur ce qu'il advient de Loncilius. Malheureusement, vous êtes toujours hors réseau (internet ou téléphonique), les communications vers l'extérieur étant complètement coupées par la « bulle » qui tient New York en otage depuis plusieurs mois, signe que le groupe d'intervention mené par Judie Macleod n'est pas encore parvenu au bout de sa propre mission. L'image renvoyée par le miroir que Loncilius portait sur lui est toujours noire et immobile : soit il n'a pas bougé d'un pouce depuis l'incident du labyrinthe, soit il n'est plus en possession du miroir. Vous avez toujours sur vous le talkie walkie qu'il vous a remis avant de partir pour contacter les deux autres équipes en cas de besoin, mais en l'absence de son ce dernier se retrouve moins utile que vous ne l'escomptiez.

Rapidement, la petite compagnie met à exécution le plan proposé par Numéro Un. Prudemment, Helena et Valentine parviennent avec succès à tromper la caméra de surveillance, et il est peu probablement que quiconque puisse avoir constaté la manoeuvre. Numéro Un en profite aussitôt pour s'emparer des clefs, prêt à profiter au maximum de votre temporaire liberté de mouvement.

Mais tandis qu'il se dirige vers les portes des cellules, la lumière faiblarde des néons vire soudainement à un rouge alarmant tandis que celle de l'escalier s'accentue, comme ces éclairages à économie d'énergie qui se ravivent au passage de quelqu'un. Le timing est inquiétant, mais la différence entre l'exécution de votre supercherie et le signal d'alarme vous rassure : difficile de croire que vous en soyez la cause. Il se passe probablement quelque chose dans les étages supérieurs de la prison. Néanmoins, chaque instant passé dans ce couloir dont la seule issue semble être les marches qui montent renforce le risque que quelqu'un ne vienne vous barrer la route.

De surcroît, vous réalisez alors que vous n'êtes pas les seuls à avoir remarqué le brusque changement d'ambiance. Une main gantée de rouge repousse la trappe de la dernière cellule que vous avez investiguée, que Valentine a oublié de refermer, et le regard glaçant de Noah se braque sur vous depuis l'autre côté de la porte, fixé sur le jeu de clefs que Numéro Un tient désormais dans les mains.

Pas de sonnerie d'alarme dans le silence constant des lieux, mais ces lumières rouges n'ont rien de rassurant. Et elles ne figurent pas sur la photo que vous tenez devant la caméra. De plus, Noah a remarqué votre présence et vous observe. Quelles seront vos prochaines actions ?

Les clefs que vous avez récupérées vous donnent la possibilité d'ouvrir les portes des cellules. Si vous décidez de le faire, je vous demanderai de n'en ouvrir qu'une à la fois, afin de me laisser le temps de poster en réaction (mais vous pouvez effectuer et enchaîner d'autres actions sans attendre de post PNJ). Vous pouvez tenter d'ignorer Noah, ou d'interagir avec lui de quelque façon que ce soit, auquel cas j'interviendrai également en réaction. De même si vous choisissez d'emprunter l'escalier.

En l'absence de nouveaux éléments d'ici là, la prochaine intervention PNJ est prévue pour le mardi 16 juin au soir, essayez de poster avant 22h. Je reste à disposition si besoin d'éclaircissements (@Sully E. O'Connor) !

La lumière rouge propage un sentiment d'urgence palpable à-travers le groupe. Pressés par l'anticipation, vous en venez à devoir décider rapidement de vos actions, et vous détournez complètement de Noah, en l'ignorant ou en le toisant, mais une chose est certaine : il a beau s'agir de l'un des individus les plus recherchés du pays, vous n'avez pas de temps à perdre avec lui, et semblez bien décidés à le laisser croupir dans sa cellule.

Avant de vous remettre en mouvement, vous prenez néanmoins le temps d'inspecter deux nouvelles cellules. Un rapide coup d'oeil à cellule située entre celle de l'otaku et celle de Stan permet à Numéro Un de confirmer qu'elle est inoccupée, et ne présente rien de particulier. Valentine a plus de succès avec celle se situant au plus près de l'escalier. Elle retient une femme d'âge mûr, à la peau mate et aux cheveux bruns tressés. Elle se tient debout dans sa geôle, crispée, et son regard braqué vers la porte ne manque pas de croiser celui de l'apprentie-héroïne. La cellule contient également quelques objets insolites, tels que des coupelles d'encens à en juger par l'odeur, et des bandelettes de scotch blanc collées au mur comme des talismans.

Mais vous n'avez pas le temps de vous attarder sur cet étrange personnage, ni sur la dernière cellule inexplorée, car des ombres s'agitent sur les murs éclairés de l'escalier dans lequel vous pensiez vous embarquer. La menace, que vous appréhendiez, prend néanmoins une forme étrange. C'est une masse sombre et mouvante qui déferle dans la volée de marches, au ras du sol. Vous mettez quelques instants à comprendre cette aberration : il s'agit d'une horde de rats d'un noir lustré qui cavale dans votre direction et se bouscule dans le couloir, une véritable petite armée de nuisibles qui déferle et s'étend comme un raz-de-marée. Ils se marchent dessus, erratiques, envahissent l'espace. Certains se raccrochent à vous, tentent déjà de vous grimper dessus. Ils crapahutent et, dans leur cavalcade, s'écrasent les uns les autres sans considération, et vous voyez certaines des crapules s'aplatir sous le poids de leurs camarades comme des flaques. Leur contact est froid et humide, leurs pattes laissent sur ce qu'ils touchent des traces noires comme de l'encre. Vous ne tardez pas à comprendre qu'ils semblent effectivement constitués d'encre, et peu résistants. Malgré cela, les éraflures laissées par leurs griffes et leurs crocs sont bien réelles, et leur nombre invraisemblable est un véritable atout. Pour la première fois, vous saluez probablement le silence qui vous épargne leurs horripilants couinements.

A la place des gardes que vous attendiez, c'est un flot de rats gorgés d'encre noire qui vous prend à revers. Difficile d'estimer leur nombre, mais ils commencent à remplir le couloir comme le ferait un courant d'eau, et s'entassent petit à petit dans la large impasse. Avancer à contre courant en tentant de vous dégager promet de ne pas être aisé, mais ils continuent de dévaler l'escalier et rester plus longtemps dans cette impasse ressemble de près à une mauvaise idée. Laissez-les vous submerger par leur nombre, et les griffures et morsures de ces parasites finiront par causer bien plus que de simples égratignures.

En l'absence de nouveaux éléments d'ici là, la prochaine intervention PNJ est prévue pour le lundi 22 juin au soir, essayez de poster avant 22h. Je reste à disposition si besoin d'éclaircissements (@Sully E. O'Connor) ! De même, n'hésitez pas à venir me voir si vous souhaitez quelques éléments de réponse rapides à intégrer dans vos posts pour compléter certaines actions en cours de tour.

Vous pensiez pourtant être prêts à faire face à ce qui vous attendait. Prêts à poursuivre votre exploration, organisés comme jamais : à la file indienne, accrochés les uns aux autres, Numéro Un en tête comme première ligne de front. Les clefs que vous conserviez précieusement avaient été confiées à Mint, qui transportait déjà une partie de votre butin et demeurait généralement à l'abri des combats. Helena se tenait elle aussi prête au combat, et Valentine ouvrait l'oeil.

Mais la nature du coup ennemi prend tout le monde de cours, éparpillant en quelques instants votre belle préparation.

L'ascension de l'escalier est pour le moins erratique. Numéro Un s'élance en tête et force le passage jusqu'à l'étage supérieur, mû par une énergie extraordinaire. Valentine et Helena montent les marches à un rythme plus saccadé et jouent la carte de la coopération, luttant péniblement contre le flot sombre à grands renforts de coups de Télémir. Elles sont suivies de près par Mint qui, prise d'une soudaine inspiration, se livre à une rapide expérience.

Au contact de l'eau salée, les créatures se tortillent de surprise avant de s'étaler mollement, se diluant dans la solution aqueuse. Si, sur l'instant, ce petit coup d'éclat crée comme un vide devant la jeune fille, les rats apeurés ne tardent pas à répondre par l'offensive. Ils se jettent, paniqués, sur la pauvre Mint qui, déséquilibrée, se retrouve emportée par les remous impétueux et redescend malgré elle l'escalier. Devant, ses compagnons ne réalisent pas tout de suite qu'ils l'ont perdue en chemin.

Tu dégringoles les marches sans douleur, portée par la vague de créatures d'encre. C'est une poigne ferme qui t'attrape au passage et t'empêche de poursuivre dans ta lancée jusqu'au mur ou de te faire submerger. Le bras tendu par la trappe de la porte de sa cellule, c'est Noah qui a saisi l'occasion, et toi avec. Il te tient à flot, mais ne lâchera pas facilement.

Tu te retrouves dans un nouveau couloir qui n'est pas sans te rappeler celui de l'étage d'où vous venez. Tu trouves six nouvelles portes métalliques le long du mur de gauche, et aperçois un nouvel escalier qui monte à l'autre extrémité. Cependant, le nouvel espace comporte deux différences majeures avec celui de l'étage inférieur. Tout d'abord, deux ouvertures dans le mur de droite, en face des cellules, qui poursuivent l'étage, plus vaste que celui que tu viens de quitter. Une flopée de rats continue d'ailleurs d'arriver par celle qui se trouve la plus proche de toi, mais tu peux constater que le flux de créatures est déjà nettement plus réduit que dans l'escalier. Ce qui nous amène à la deuxième différence : les rats se dirigent tout droit vers l'escalier, ce qui laisse le reste du couloir parfaitement praticable. Et enfin, plusieurs individus visiblement assez agités qui se déplacent à grands pas, font de grands gestes, et agitent de petites ardoises velleda dans une tentative désorganisée de communication.

Mais tu ne prends pas le temps de t'interroger davantage sur la situation et décoches un coup au plus proche d'entre eux. Fort de ton nouveau souffle, tant que de ton effet de surprise, tu te lances dans la bagarre. En te voyant, deux des individus présents s'empressent de prendre leurs jambes à leur cou. Il en reste deux face à toi, en plus du malheureux avec lequel tu as ouvert les hostilités.

La description des trois individus est entièrement libre, tu peux mener la scène comme tu le sens pour l'instant !

Vous progressez tant bien que mal dans l'escalier, et avez presque rejoint Numéro Un. Vous pouvez à présent remarquer la disparition de Mint (ou pas). Vous êtes libres de vos actions. o/

La prochaine intervention PNJ est prévue pour le dimanche 28 juin au soir, essayez de poster avant 22h. N'hésitez pas à faire signe à @Sully E. O'Connor pour toute question, besoin de précision, ou d'éléments de réponse rapides à intégrer dans vos posts pour compléter certaines actions en cours de tour !

La sortie du toboggan se dévoile enfin à vous. Contrairement à ce que vous vous attendiez, vous ne ressortez pas à l’air libre, bien au contraire… Vous voici dans une salle toute petite, avec en son centre un homme particulièrement surpris de vous voir ici. Dans la vingtaine, avec des cheveux blonds et une cicatrice orangée qui semble dessinée autour de son oeil gauche, il porte une tenue étrange composé d’un combo jean/t-shirt tout ce qu'il y a de plus banal, avec un long manteau sombre un peu usé et un haut de forme noir flambant neuf sur lequel reposent de larges lunettes d'aviateur, elles aussi en partait état. Une petite serviette de toilette blanche est nouée autour de son cou comme un foulard.

Votre arrivée l’a apparemment surpris en pleine lecture de son manga.

Judie voulut lui sommer de se rendre mais aucun son ne sortit de sa bouche. Au contraire toute la salle était plongé dans un parfait silence. Où étaient-elles encore tombées ?

Le jeune homme leva les mains et se cala dans un coin de la salle. Clairement, il ne semblait pas vouloir les attaquer. Judie observa alors rapidement la pièce. Aucune fenêtre seulement une énorme porte métallique avec une petite trappe à hauteur du regard. Une cellule ? Sûrement… Elle se retourna, le toboggan dont il venait de sortir n’était plus là… Il n’y avait au mur que des dessins scotchés... D’ailleurs cela ressemblait aux dessins d’Hikiko… Elle ne s’y attarda pas, leur but n’était pas de retourner en arrière dans cette horrible salle rose de toute façon.

Judie s’approcha de la porte et essaya de soulever la trappe, sans succès. Elle n’était pas ouvrable de ce côté. Mais que cela ne tienne, l’Amirale sortit de son sac une bouteille d’eau et ordonna à son contenu de se glisser de l’autre côté pour pousser la trappe, ce qu’elle exécuta à la perfection. On pouvait toujours compter sur l’eau minérale de montagne, une eau obéissante et travailleuse.

Le spectacle qu’elle découvrit de l’autre côté la laissa sans voix.

Derrière la porte se trouvait un couloir plongé dans une lumière rouge. Au sol une marée d’un mètre de haut et composée de… rats noirs entraînaient dans leur flot une jeune fille. Judie la reconnut, elle faisait partie des volontaires du groupe de son fils. Il était donc ici lui aussi ? Elle n’eut pas le temps d’y réfléchir plus car la jeune fille s’arrêta curieusement dans son élan. Judie depuis son angle de vue n’arrivait pas à voir par quoi ni comment…

Il fallait qu’ils sortent d’ici… Elle tenta de tapper la porte mais elle était particulièrement solide et aucun son ne fut produit… Impossible d’attirer l’attention ainsi...

Le visage collé contre la trape, Noah baisse les yeux pour suivre ton propre regard vers ton doigt, pointé sur la serrure. En silence, il acquiesce d'un hochement de tête, une lueur d'espoir dans la prunelle.

Pendant ce temps, la trape de la cellule de droite s'est ouverte. Tu peux l'avoir remarqué, ou non.

Du côté de l'escalier, une nouvelle ombre sur les murs annonce l'arrivée de Valentine, redescendue dans l'objectif de te prêter main forte.

En arrivant en haut de l'escalier, tu assistes au combat de Numéro Un contre les deux individus, visiblement peu décidés à vous laisser progresser librement dans la prison. Après quelques coups peu efficaces, le blond retourne prestement la situation à son avantage. Tu aperçois alors une nouvelle silhouette surgir de l'angle du couloir, dans le dos de Numéro Un. C'est une fille au teint livide et aux longs cheveux noirs qui lui tombent sur le visage, une allure fantomatique qu'on croirait tout droit sortie d'un film d'horreur. Elle a dans les mains une sorte de tuyau d'arrosage assez large... dont jaillissent les fameux rongeurs qui vous ont malmenés. Elle se rapproche et semble vouloir réorienter son armée d'encre noire en direction de Numéro Un.

Tandis que Numéro Un et Helena tentent de calmer la situation à l'étage du dessus, Mint et Valentine sont toujours confrontées aux rats, et à Noah. Velvet, KC et Judie, qui viennent d'arriver dans la prison, doivent trouver le moyen de se libérer de leur cellule et d'établir le contact avec leurs alliés.

Plus on est de fous, plus on rit, et c'est parti pour un nouveau tour ! La prochaine intervention PNJ est prévue au plus tard pour le mardi 7 juillet. N'hésitez pas à faire signe à @Sully E. O'Connor pour toute question, besoin de précision, ou d'éléments de réponse rapides à intégrer dans vos posts pour compléter certaines actions en cours de tour !

Tandis que Numéro Un arrache la victoire aux mains de ses adversaires et retrouve peu à peu un état normal, Helena s’empresse de couvrir ses arrières en envoyant bouler la maîtresse des rats. Alors qu’un semblant de calme s’installe à l’étage, l’apothicaire commence son exploration, remontant le fameux tuyau dans un couloir annexe, jusqu’à tomber sur un énorme réservoir. Alors qu’elle se demande comment s’en occuper, à l’autre bout du tuyau, aux côtés d’un Numéro Un pantelant, la brune s’agite au sol en se tordant silencieusement de douleur. Dans le champ de vision de Numéro Un, toujours, le tuyau s’agite également, alors que le flot de rats se fait irrégulier, au rythme des spasmes qui secouent leur créatrice. Et quand celle-ci finit par perdre connaissance pour se protéger de ces souffrances, le flot d’encre se tarit également. Les derniers rats sortis s’éparpillent à l’étage, s’agitent encore l’espace d’une ou deux secondes, avant de se liquéfier totalement pour ne laisser que d’anodines traces d’encre noire.

Il en va de même pour l’escalier et l’étage du dessous. Au moment même où Mint et Valentine ouvrent prudemment la porte de la cellule dans laquelle elles viennent d’identifier leurs alliés, tous les rats perdent forme et volonté, et l’encre liquéfiée s’engouffre dans toutes les ouvertures qu’elle trouve pour s’étaler et se répartir au mieux sur l’étage, désormais baigné dans une quarantaine de centimètres d’encre amorphe. Ce petit courant pousse la porte que tenaient les deux jeunes filles pour l’ouvrir en grand, révélant clairement leur présence à tous les occupants actuels de la cellule (et surprenant KC au passage en lui dérobant la serrure qu’elle était en train de crocheter).

Comme l’on pourrait s’y attendre, Judie réagit sans attendre. Elle intimide la masse liquide pour dégager le passage à ses compagnes, saisit Velvet par la main pour l’entraîner avec elle, et tient l’inconnu à l’oeil. Celui-ci n’ose pas faire un geste, visiblement dépassé par les évènements, mais la terreur au fond de son regard docile inspire une certaine pitié à Judie. En l’absences d’informations sur lui, ou même sur la situation générale, elle finit néanmoins par se résoudre à le laisser là afin de ne pas prendre de risques, et referme la porte derrière elle après avoir fait sortir KC, Velvet et le cochon, qui peine à maintenir son groin au-dessus du niveau d’encre du couloir. La cellule refermée, Judie se tourne vers leurs deux libératrices, en faisant de grands signes empressés afin de s’enquérir de la situation. En lisant l’incompréhension dans les yeux des deux filles, elle change de tactique, trempe un doigt dans l’encre dans laquelle elles pataugent et se met à écrire avec sur un mur.

Des blessés ?

Difficile de croire que ça puisse durer très longtemps, mais votre étage est redevenu calme pour l'instant : vos adversaires sont tous K.O., et les rats sont redevenus de l’encre ordinaire. Le tuyau est toujours relié au réservoir, mais il ne s’en écoule plus rien. Le renfoncement dans lequel se trouve le réservoir est un cul de sac. Helena peut également y remarquer quelques tabourets, une table avec un jeu de cartes éparpillé dessus, et enfin un nouveau trousseau de clefs pendu à un crochet. Numéro Un se trouve toujours dans le couloir principal avec les six nouvelles cellules le long du mur de gauche, et peut apercevoir un deuxième chemin un peu plus loin sur le mur de droite, parallèle à celui dans lequel s’est engagée Helena. Derrière lui de trouve l’escalier qui redescend vers l’étage du dessous, et en face se dresse un autre escalier vers l’étage supérieur.

Vous vous retrouvez toutes dans le couloir avec les pieds dans environ quarante centimètre d’encre. Judie a refermé la porte de votre la cellule après vous avoir empressées d’en sortir (en vous traînant littéralement par le bras si nécessaire), et a repris les clefs. Elle tente actuellement de communiquer avec Mint et Valentine pour s’informer de la situation, et semble avoir un million de questions à poser.

Désolée pour l’attente ! Sauf contre-indication, la prochaine intervention MJ est prévue pour le vendredi 17 juillet au soir, Je peux toujours intervenir pendant le tour si vous avez besoin d’éléments de réponse suite à vos actions.

En cas de questions, venez poker @"Sully E. O’Connor” !