Helena était tombée dans un cul de sac, mais c’est là qu’elle avait littéralement trouvée la source de tous les problèmes du groupe. Un gros réservoir duquel sortait le tuyau qui déversait la marée de rats qui avait qui avait conduit à la séparation du groupe. Le tuyau était épais et l’apothicaire n’avait rien de suffisamment tranchant pour régler ce problème. Elle ne pouvait pas non plus endommagée le réservoir, d’une part parce qu’elle n’en avait tout simplement pas les moyens d’un point de vue matériel, et d’autre part car elle n’avait pas envie qu’une autre marée noire se déverse sur elle et ne ruine ses vêtements et ses cheveux. L’empoisonneuse remarqua également, à côté du réservoir, une petite table sur laquelle des cartes de jeu étaient éparpillés. Les adversaires qui venaient d’être neutralisés avaient probablement été posté en garnison ici et avaient abandonné leur partie de carte en cours lorsque l’alarme, ou du moins les lumières rouges qui donnaient cette impression, s’était déclenchée.
Par mesure de sécurité, Helena préférait neutraliser de manière définitive cette réserve d’encre, on n’est jamais trop prudent. Avec son katana, Numero Un pourrait sans doute s’occuper de ce tuyau d’arrosage qui avait causé bien des problèmes. Rebroussant chemin, Helena remarqua une rangée de cellule sur le mur qu’elle était en train de longée, cela ressemblait fortement à la configuration de l’étage du dessous. Elle ne les avait pas remarquée avant, surement car elle était trop concentrée à suivre le tuyau, source de tant de problèmes. Curieuse, elle choisie d’inspecter la première cellule devant laquelle elle passait. A l’autre bout du couloir, elle fit un signe à Numero Un, espérant qu’il comprendrait que l’apothicaire lui demandait de couper le tuyau qui se trouvait à coté de leur ennemi, désormais évanouie.
La douleur devait probablement avoir neutralisé la sadako bas de gamme pour un bon moment. Mais dans l’hypothèse ou serait susceptible de se réveiller après une période de temps plus ou moins longue, mieux valait neutraliser la source de son alter avant de voir à nouveau une marée noire déferler sur des gens incapables de l’arrêter.
Résumé:
- Helena rebrousse chemin et inspecte la première cellule qu'elle voit - Elle fait signe à Numero Un qui se trouve à l'autre bout du couloir pour lui demander de trancher le tuyau
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Jeu 23 Juil - 22:32
Renforts
New York Novembre 2099
Face à l’air décidé de la blonde, Mint finit par déverrouiller la porte de la cellule. Mais elle ne l’ouvrit qu’un tout petit peu, juste assez pour faire signe à la jeune femme qui se trouvait derrière et essayait visiblement de trafiquer la serrure de sortir. Valentine, qui lui était déjà reconnaissante de lui avoir fait confiance sur ce coup, fut impressionnée par son analyse et son contrôle de la situation. Elle essayait de se faire assez discrète pour permettre à leurs alliées de s’échapper sans pour autant laisser la voie libre à l’inconnu qui y était retenu.
Belle stratégie. Dommage que celle-ci vola en éclats lorsque tous les rats qui n’avaient eu de cesse de les attaquer se transformèrent en une marée noirâtre qui fit s’ouvrir la porte de la cellule sous sa pression.
Le passage était désormais grand ouvert. Judie ne tarda pas à réagir. Elle saisit la main de la lapine troublée pour l’entraîner dehors. D’un regard, la mer d’encre s’inclina et laissa passer sans la moindre écume les trois femmes. Le prisonnier, lui, préféra rester dans sa cellule. Avait-il réellement envie de se trouver mêler aux évènements improbables qui semblaient régner en maître dans ces lieux ? Probablement pas.
L’Amirale referma la porte à clefs derrière elles et en garda le trousseau. Valentine ne put s’empêcher de remarquer l’aura de chef qui émanait d’elle. Elle se tenait droite, sûre d’elle malgré l’incompréhension qui devait probablement la submerger en cet instant. Si tel était le cas, elle n’en laissait rien paraître. Elle ne perdit pas de temps et tenta de communiquer avec ses deux libératrices. Cependant il était bien difficile de se comprendre par des gestes silencieux… Devant l’échec de cette première méthode, elle changea rapidement de tactique. Elle plongea un de ses doigts dans la marée noire qui les entourait et se mit à écrire sur le mur : “Des blessés ?”
Finalement ces maudits rats se révélèrent bien pratiques.
Valentine s’empressa de lui répondre en utilisant la même procédé, réfléchissant également aux informations qu’il était indispensable de leur transmettre.
“ Pas de blessés graves 2 autres alliés à l’étage Ca a l’air d’être une prison Des terroristes sont enfermés ici Noah Stan (mais il est pas dans sa cellule)”
Elle pointa les deux cellules correspondantes puis voulut reprendre son message. Cependant son doigt se figea un instant devant le mur. Elle soupira sans un bruit et se décida à écrire :
“Loncillius a fait diversion dehors pour qu’on puisse rentrer On a plus de nouvelles depuis”
Valentine redoutait la réaction de Judie à cette information… Son fils était peut être en grand danger après tout… Ou pire encore… Mais à la surprise de la blonde, l’Amirale ne semblait pas vraiment perturbée par cette nouvelle précision. Peut-être cachait-elle ses émotions pour ne pas troubler la suite des opérations ? Valentine s’en convainquit, ce qui augmenta d’un cran l’admiration qu’elle ressentait pour la cheffe des aquaforces.
Valentine avait beaucoup de questions à leur poser mais elles n’avaient plus grand chose à faire ici. Et probablement qu’Helena et Numéro Un ne seraient pas contre un coup de main... Elle n'avait pas le moindre doute quant à leur capacité à gérer la situation dans laquelle ils pouvaient se trouver, mais elle ne pouvais s'empêcher de s'inquiéter un peu pour eux... Les nouvelles arrivantes n'avaient pas l'air vraiment blessées non plus, un peu - beaucoup concernant la lapine - déstabilisées au pire... Aucune raison de s'attarder plus longtemps, les questions pouvaient attendre.
Valentine désigna du doigt les escaliers pour indiquer au groupe leur prochaine destination. Elle recouvrit d’encre noire les messages qu’elles avaient pu écrire sur le mur, histoire qu’aucun lecteur imprévu ne tombe dessus, et se dirigea vers la sortie. Elle lança un dernier coup d’oeil à la cellule de Noah. Ce dernier les observait toujours mais Valentine n’avait plus peur de croiser ses prunelles meurtrières. Lui défoncer le bras à coup de Télémir lui avait donné assez d’aplomb pour soutenir son regard. Il finit par disparaître de sa vision dans le colimaçon de l’escalier.
L’ascension était cette fois-ci beaucoup plus simple. C’est fou comment des rats liquides et agressifs peuvent vous compliquer la moindre petit tâche. Mais il ne restait d’eux désormais qu’une eau sombre dans laquelle elles pataugeaient, des éclaboussures noires sur les murs roses et des marques rougies sur leurs corps.
- Valentine écrit sur les murs le résumé de la situation - Elle efface tous les messages qu'ils ont pu mettre sur les murs en les recouvrant d'encre avant de partir - Elle monte les escaliers pour rejoindre Numéro Un et Helena
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Ven 24 Juil - 11:55
Le blondinet venait de se débarrasser de quelques larbins non sans un certain panache, mais ce fut bien Helena qui l’empêcha d’être de nouveau envahi par une marée de rat. La jeune femme venait de se débarrasser de la vilaine à l’allure sinistre qui menaçait Numero Un, et contre laquelle il n’avait pas eu le temps de lever son poing. Remerciant silencieusement l’apothicaire et suivant son indication, le jeune homme s’approcha d’elle pour observer rapidement le réservoir qu’elle avait mis en lumière. Le grand blond put voir cela dit à l’attitude de la petite brune qu’il ne contenais rien d’intéressant, car à peine l’avait-elle fixé un instant que déjà, son attention était retenue par autre chose. Elle lui fit pourtant signe de s’en débarrasser. Un conseil avisé, mais qui provoqua un frisson chez numéro Un lorsqu’il comprit qu’il aurait de nouveaux besoins de son sabre.
Il se sentait un peu a pars dans cette aventure, malgré son coup d’éclat de tantôt. Alors que les minutes s’écoulaient, son attitude changeait lentement. Il sembla devenir plus rabougris, moins assuré… Conséquence directe de son alter, et en un mot comme en cent, le blondinet se trouvait en pleine redescente. Rapidement, à petits pas fébriles, il retourna en arrière pour ramasser au sol l’arme que le vilain lui avait « arraché ». Sitôt que ses doigts effleurèrent le manche du sabre, une bouffée de confiance en soi envahis de nouveau le jeune héros, qui laissa échapper un frisson de satisfaction malsain.
Le grand blond se redressa, tête haute, torse bombé, dos droit. Définitivement, il se sentait bien mieux ainsi. Rapidement, son regard analysa la pièce qui l’entourait. Oh, sans doute en d’autres circonstances, aurait-il jeté un œil aux cellules du couloir, sans vraiment savoir qu’y chercher. Mais là, l’heure n’était pas à la perte de temps. Acquiesçant a la demande de la demoiselle aux cheveux court, Numéro Un frappa de son fourreau le réservoir , qui finit par se briser sous les coups du jeune homme, déversant un flot d’encre noirâtre qui ajouta sur sa liste une nouvelle raison d’être content de n’être pas venus en costars. Ceci fait, son attention pus se tourner de nouveau vers autre chose : cette alarme silencieuse l’agaçait déjà depuis un bon moment, et il commençait à trouver le temps long. Oh, son entraînement lui avait enseigné la prudence et l’humilité, mais le sabre en main, et vu les ennemis rencontré jusqu’alors, il ne craignait pas spécialement pour sa vie. Restait un choix à faire.
De son point de vue, son groupe était visiblement inefficace sans lui. D’un autre côté, si ses membres lui étaient sympathiques, ils représentaient une perte de temps non-négligeable. À vrais dire, le sentiment qu’il aurait été plus efficace, seul commençait à lui titiller l’esprit, omettant, volontairement peut être, le sauvetage précèdent de l’apothicaire. De fait, il hésitait simplement entre aider le groupe du bas, quoi qu’il fasse, à se sortir de sa galère, ou continuer sa route pour chercher, trouver, et cogner le boss de cet endroit une bonne fois pour toute.
Pourtant, le blond n’eut pas à s’interroger longtemps. L’alarme, le temps, les vilains au sol… Globalement, ils avaient assez trainé. Le blond fit quelques signes à Helena, lui montrant l’escalier montant, puis l’autre, suivis de nouveaux signaux difficilement identifiable, cherchant tant bien que mal à faire comprendre rapidement qu’il allait partir devant. Si tantôt, il avait suggéré de ne pas se séparer ou faire de folie, il faisait ici fis de toutes ses recommandations précédentes. Il monta sans attendre de réponse l’escalier au bout du couloir, grimpant les marches deux par deux a une allure tranquille mais soutenue. Finalement, arrivé en haut, il se retrouva devant une lourde porte de fer. Il avait un trousseau de clefs à sa ceinture, mais aucune ne semblait correspondre à cette cellule, aussi redescendit-il aussi vite qu’il était monté, visiblement vexé, montrant ses clefs puis les escaliers A Helena et Valentine, qui venais de les rejoindre.
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Ven 21 Aoû - 17:16
Nouvelles cellules
Le groupe du bas finit par rejoindre Helena et Numéro Un dans ce nouveau couloir maintenant particulièrement calme et composé de 6 cellules. Chacune possède sa propre trappe, que vos personnages sont libres d'ouvrir pour observer l'intérieur de chaque pièce.
Le contenu de chacune d'entre elle se trouve sous spoiler ci-dessous. Chacun de vos personnages peut ainsi découvrir le contenu d'une cellule et libre à vous de décrire sa réaction suite à cela. Vous pouvez choisir de lire ou non les contenus avant de choisir votre cellule, mais c'est comme vous le souhaitez, on vous laisse jouer le jeu.
Les cellules sont numérotées de 1 à 6, la première correspond à celle se trouvant le plus au fond. Helena a ainsi observé le contenu de la cellule numéro 6.
Cellule 1 - Warning Gore:
En ouvrant la trappe, tu vois rouge. Les murs, le sol, le plafond, le mobilier, le corps nu, tout est rouge. La couleur ne détone pas tant que ça avec la décoration rose bonbon de la prison, mais malgré cela, le sentiment désagréable de comprendre l’origine de cette couleur t’assaille. Oui, aucun doute, c’est du sang que tu vois de partout. Tes yeux s’habituent désormais à l’uniformité de la cellule, tu discernes en effet des reliefs irréguliers de partout, très petits. Des sortes de fragments un peu élastiques mais tendres, tu peux le deviner à la manière dont ils semblent écrasés contre les parois. Soudainement en regardant de côté, tu vois un de ces « morceaux » contre la trappe que tu as ouverte, juste à côté de toi, assez prêt pour l’identifier. C’est un bout de chair. Un bout de chair très râpeux. Sur le corps humain tu ne penses qu’à une seule partie qui peut s’avérer aussi râpeuse. La langue. Maintenant que tu as une référence près de toi, il te semble évident que tous les morceaux de chair sont en fait des bouts de langues écrasées. Comment ? Combien d’humains se sont fait écraser ici pour avoir un tel écueil de sang ? Mais le sang est frais et il n’y a qu’un corps dans cette cellule. Ce corps s’est redressé, silencieusement comme tout le reste en ce lieu, il te regarde avec un sourire dément, de son corps couvert de bouches.
Cellule 2:
Cette cellule avait de quoi surprendre tant elle était en inadéquation avec sa nature. Le plus marquant c’était le mur de verre qui donnait directement sur l’océan qui s’étendait au dos de la prison. Le sol, tout de marbre blanc, en provenance directe de Massa pour l’œil connaisseur, reflétait avec subtilité le soleil qui se couchait à l’extérieur baignant la pièce d’une couleur orange s’empourprant d’or. Quant à eux les meubles étaient petits mais au combien splendide, une alchimie de bois, d’acier, de verre et de velours. On aurait voulu les qualifier de grotesque mais le rendu final l’interdisait.
Et c’est au milieu de ce décor que se tenait le président des États-Unis, Chad Preston, dans sa tenue la plus cérémonieuse : un costume.
Cellule 3:
En ouvrant la trappe, tu remarques au coeur de cette cellule non pas une mais deux personnes. La première allongée sur un lit précaire au centre de la pièce, porte une blouse d'hôpital maculée de sang à divers endroits. Ses cheveux longs et gras, son teint livide et ses énormes cernes lui donne l’apparence d’un malade au dernier stade d’une longue vie de souffrances. De son maigre corps ressortent des dizaines de tuyaux branchés à divers machines ou autres perfusions. L’être blafard semble aux bouts de ses forces, mais n’a pas pour autant l’air d’être négligé par ses geôliers. À sa gauche se tient en effet assise une femme en tenue d’infirmière. Elle feuillette un magazine tout en jetant un oeil de temps à autres aux divers équipements et souriant sincèrement d’un air peiné à son présumé patient lorsque leurs regards se croisent. À sa droite, sur une petite table de nuit un plateau repas vide y est posé ainsi qu’une adorable peluche d’ours et un inhalateur. On aurait presque pu croire à une chambre d'hôpital classique si on omettait les nombreuses tâches rougeâtres qui parsèment les murs comme le sol.
Cellule 4:
Tu ouvres la trappe et BIM (mais silencieux) !
Gros doigt dans ton oeil. Un type avec une crête rose suspendu au plafond, la tête à l’envers te crie un monumental “SURPRISE MOTHER FUCKER” mais dans un silence absolu. Tu arrives quand même à comprendre ce qu’il te dit. Il donne un gros coup de rangers dans la porte qui n’était pas verrouillée.
Le vent se lève.
Cellule 5:
Tu ouvres la trappe, mais la cellule que tu observes te semble complètement vide. Elle ne contient absolument rien ni personne. Enfin c’est ce que tu as cru durant jusqu’au moment où tu sentis une ombre se glisser juste sous tes yeux par la trappe que tu viens d’ouvrir. Tu as juste le temps de la voir disparaître sous la couche d’encre qui recouvre le sol de l’étage...
Cellule 6:
Tu ouvres la trappe pour découvrir une chambre soigneusement rangée bien que sobre. Le seul élément qui la distingue ? Un poster d’une jeune femme étrangement sexy, légèrement émo, elle semble presque familière.
En son centre tu vois un oiseau de métal qui te scrute de son oeil unique qui ressemble étrangement à une caméra. Il fait la taille moyenne d’un vautour, il trône sur la seule chaise de la pièce. Il secoue ses ailes de temps en temps, dans un silence religieux. Il a l’air nerveux mais ne s’envole pas. Son aile semble abîmée.
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Vous avez jusqu’au dimanche 30 août 21h pour répondre. Premier arrivé, premier servi. Vous pouvez également choisir de ne pas inspecter de cellule, mais cela comptera quand même comme votre action principale du tour.
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Mer 26 Aoû - 23:19
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Enfin à l'étage du dessus, Valentine est heureuse de découvrir Numéro Un et Helena sains et saufs, leurs ennemis au sol, baignant dans une fine mare d'encre noire. Avant qu'ils puissent lui poser la moindre question, la jeune fille marqua sur son cahier quelques mots :
"On a trouvé l'Amirale dans une cellule avec deux autres alliées"
Elle aurait aimé en écrire plus, mais le temps n'était pas aux détails. D'autant, qu'elle n'était toujours pas sûre de comprendre comment les trois femmes avaient réussi à débarquer dans cette cellule complètement close... Enfin cela n'avait guère d'importance, ils pourraient toujours en discuter lorsque tout cela serait terminé. Discuter... Valentine ne se doutait pas que sa voix lui manquerait tant aussi rapidement. Elle en venait même à regretter celle de Télémir... Vu le regard plein de malice qu'il lui lança, elle comprit qu'il avait parfaitement compris ce qu'elle pensait. Elle soupira. Il était temps de se remettre au travail.
Ce nouvel étage était composé de la même manière que celui du dessous. Six cellules, les unes à côtés des autres. Helena en avait déjà regardé une, Valentine décida donc de faire de même et d'observer l'intérieur de la cellule la plus proche d'elle. La numéro une.
Il ne fallut que quelques secondes à Valentine pour ressentir l’horreur dont cette salle était imbibée. Recouverte de sang avec en son centre un corps nu et rougeâtre. Il ne lui en fallut pas beaucoup plus pour se rendre compte que tous les petits morceaux roses tendres et rapeux qu’elle aperçoit écrasés contre les murs sont en réalité des bouts de langues. Quelle horreur. Cela aurait largement suffi pour lui donner envie de vomir mais ce n’est pas ce qui lui arracha un haut le coeur. Le corps au milieu de ce bain de sang se redressa d’un mouvement lent, comme désarticulé, et lui fit face, affichant un sourire dément sur toutes les bouches qui couvraient son horrible carcasse.
Valentine recula et faillit tomber à la renverse. Elle se retint de recracher son dernier repas et alla s’appuyer contre le mur d’en face. Elle avait beau fermer les yeux, elle revoyait tout ce sang, frais, ce corps immonde et ces sourires convulsifs. Elle ne savait pas à quoi elle venait d’assister, mais une chose était sûre, ce lieu n’était pas une prison ordinaire.
Cependant, mis à part l’horreur de la scène, la cellule ne lui avait guère apporté d’informations... Valentine essaya de transmettre le résultat de son espionnage sur papier :
“Dégueu. Un prisonnier fou. Salle de torture ?”
- Valentine regarde dans la cellule 1 - Elle est dégoutée par ce qu’elle voit dedans, le sang, les morceaux de langues, le mec recouvert de bouches... - Elle s’éloigne rapidement de la cellule pour reprendre ses esprits et repousser son anvie de vomir au mieux. - Elle écrit aux autres ce qu'elle a vu et conclu "Dégueu. Un prisonnier fou. Salle de torture ?"
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Sam 29 Aoû - 16:15
L’escalier étant bloqué, le Story Teller retourna dans le couloir de la prison. Plus à cause de son arme qu’autre chose, l’endroit commençait à lui taper sur les nerfs. Valentine était remontée, expliquant brièvement que plus bas avaient été aperçus l’amirale et quelques alliés, ce qui ne manqua pas d’intriguer Numéro Un… Et de le vexer quelque peu. Décidément, on entrait ici comme dans un moulin ! Ou alors il avait raté quelque chose ? Le fait étant que leur présence soulevait bien des questions, qu’il nota dans un coin de sa tête sur le moment. De toute façon, ce n’était pas comme s’ils pouvaient en discuter sur le moment. Numéro un poussa un soupir - Silencieux, encore une fois - avant de se retourner vers les escaliers. Bien. Il lui fallait une clef. Attentif a son environnement, il fit quelques pas dans les couloirs, mais il n’y avait pas grand-chose à voir. Des portes, un couloir, des escaliers. Et rien d’autre. Pas de clef, pas d’indice. Quelques compagnons du Hero jetèrent un œil à travers les ouvertures, et Valentine, qui venais de regarder l’intérieur d’une des cellules, recula vivement, le visage partagé entre une expression d’horreur et de dégout.
Cette réaction inquiéta vaguement le blond malgré l’insensibilité provoqué par son arme. Curieux, il revint sur ses pas pour revenir vers elle, mus par une vague curiosité malsaine. Par réflexe, il lui demanda à haute voix si tout allait bien, mais évidemment, aucun son ne sortis de sa bouche. Il s’interrompis cela dit en passant devant la porte la plus proche de lui, la seconde. Il fit une pause. Mimétisme social ; la jeune fille bien que dégoûtée, allais bien, et le jeune homme pouvait bien s’arrêter un instant pour faire comme ses camarades, de toute façon, cette « salle de torture » pouvait bien l’attendre. De fait, il jeta avec une certaine désinvolture un regard à la cellule à côté de lui. Et il se figea un instant. La pièce ne ressemblait en rien aux autres salles de la prison. Le sol était de marbre, et le mur opposé à la porte devant laquelle se trouvait Numéro Un, fait de verre, offrais à l’occupant de la salle une vue sans pareil sur la mer. Et bien que l’aspect atypique de la pièce soit intrigant, et bien que les meubles, l’éclairage, et l’atmosphère de la pièce étaient prompt a toucher les gens de goût, en particulier dans ce bâtiment sale dont l’alarme silencieuse devenait d’ailleurs de plus en plus irritante, ce qui choqua le jeune Héro ne fut pas le mobilier de la pièce, mais son occupant. La, au centre de cette dernière, se trouvait Chad Preston, président des Etat unis, dans un costume que Numero Un lui-même, pourtant amateur de ce genre d’apparat, aurait pu jalouser. « Bordel de Dieu ! » S’exclama le jeune homme, conscient qu’il ne serait pas entendu. Ce dernier se redressa, et fit de grands signes à son groupe, remettant a plus tard son intention de s’occuper de Valentine. Il s’approcha d’elle, et jetant à peine un regard sur le papier que présentait cette dernière, il se saisit d’une nouvelle page du carnet, et du crayon au passage. La suite fut assez rapide. Un sourire enthousiaste, quelques coups de crayon, un simple message avec une faute d’orthographe mentionnant la présence du président des états unis dans une des cellules, puis un coup de pied enrager dans la porte du président sus-nommer lorsque le problème de tantôt revint à l’attention du jeune homme a l’attitude quelque peu bipolaire. Le groupe n’avait toujours pas de clef pour cet étage. Alors qu’il s’apprêtait à repartir a la recherche d’une clef, ou d’un moyen d’ouvrir les portes, le jeune homme fit preuve d’un peu de retenue. Il se tourna vers la petite blonde, lui lançant un regard interrogateur, et si besoin quelques mots sur papier, pour s’enquérir de son état. Elle lui répondit simplement d’un mouvement de tête, affirmant qu’elle s’en sortirait, et le jeune homme repris ses recherches, se dirigeant pour le moment vers les autres pièces dans l’espoir d’y trouver quelques indices.
tltr:
Num il se vèxe tout seul. Il vas voir val, mais regarde dans une prison au pif a la place. Il trouve le président, se hype tout seul, et se déçois tout seul. Il repars a la recherche des clefs après avoir check si Valentine vas bien.
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Sam 29 Aoû - 20:16
Du coin de l’œil, Helena vit Valentine revenir, elle en déduit donc que la mission sauvetage avait été un succès…enfin espérons-le. Etant à l’autre bout du couloir, elle ne pu guère voire ce que la blonde avait communiqué par écrit. Qu’importe, car si cela avait été important ou d’une urgence vitale, la petite miss aux miroirs aurait plutôt opté pour l’utilisation du langage corporel. Du moins, c’est comme ça que raisonna Helena.
A l’image de ce que Valentine avait déjà fait à l’étage inférieure, l’apothicaire décida d’analyser le contenu de cellules se trouvant à cet étage. Elle commença par la première cellule qui se présenta à elle. En ouvrant la trappe, le regard de l’empoisonneuse fut immédiatement captivé par ce qui se trouvait au centre de la cellule. Un oiseau de métal posé sur une chaise scrutait fixement la demoiselle cornue qui lui rendait son regard. Se rappelant d’avoir déjà eu affaire à un rapace d’acier plus tôt dans la journée, Helena déduit qu’il était là en tant que caméra mobile. Cela rendait d’ailleurs la situation étrange, quel était l’intérêt de placer une caméra douée de mobilité dans un endroit clôt ? En la voyant, le volatile artificiel battis des ailes à plusieurs reprises, il ne bougea pas d’un pouce malgré tout. Plissant les yeux, Helena pu constatée que l’une de ses ailes était abimée. Cela ne faisait qu’ajouter encore plus de mystère aux interrogations de l’apothicaire. Pourquoi une caméra mobile utilisée par l’ennemi était-elle enfermée dans un espace clôt ou son champ de vision étant, par conséquent, extrêmement limité. Et surtout par quoi, ou par qui, avait-il était blessé. Trop de questions pour une situation que n’avait guère de sens aux yeux d’Helena.
Se désintéressant de l’oiseau qui ne semblait pas représenté une véritable menace en l’état, Helena se décida à scruter le reste de la pièce. C’était une cellule on ne peut plus normale, rien ne sortait du domaine de l’ordinaire. Enfin ça, c’était sans compter sur le poster accroché au mur. Sur celui-ci était représentée une jeune femme émo et assez sexy du point de vue d’Helena. Mais quelque chose titillait l’apothicaire, elle avait l’impression que la demoiselle représentée sur ce poster ne lui était pas inconnue. Une star de la télé ? de la chanson ? Captivée et curieuse, Helena creusait dans sa mémoire pour tenter de se remémorer où et quand elle avait bien pu apercevoir cette demoiselle.
Résumé:
- Helena inspecte la cellule 6 - Elle se creuse la tête pour trouver qui est la demoiselle représentée sur le poster
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Mar 1 Sep - 0:39
Un regard devant. Un regard derrière. Un regard sur le côté.
C’est toute la procédure qui s’est naturellement mise en place suite à cette surdité soudaine. Ne pas pouvoir déterminer ce qu’il se passe tout autour de moi par la simple ouïe constitue un véritable cauchemar, mais hélas, je vais devoir faire avec.
D’autant que ceux qui m’entourent pallient à ce manque sans difficultés apparentes. Ils peuvent même communiquer via… Textes.
PUTAIN DE MERDE - C’est bon, j’ai compris. Je vais apprendre à lire. C’est promis.
Chienne de vie.
Si je ne crève pas dans ce décor, qui ne m’inspire pourtant rien d’autre que la mort, je jure d’y réfléchir à deux fois avant d’accepter une quelconque autre mission à risque. Même pour d’autres liasses de billets.
Je suis presque sûre que ce n’est même pas si bien payé que ça, au final. Pour le risque encouru, en tout cas…
Aaaargh… Comment puis-je encore trouver le moyen de me plaindre ? Près du trois quart de mes collègues doivent avoir dix ans de moins que moi, et pourtant, ils avancent sans se poser de question. Une partie de moi se dit que c’est bien là la preuve d’un manque d’expérience, l’autre a parfaitement conscience qu’en vérité, je ne suis pas totalement la femme endurcie que je prétends être. Travailler pour des mafias locales, c’est une chose… Jouer les héros… C’en est une autre…
Définitivement, il y a un milieu dans lequel je m’épanouis plus facilement que dans l’autre.
Enfin. Ces escaliers m’ont semblé interminables, mais on en voit le bout. L’endroit où nous arrivons ressemble à s’y méprendre à celui que nous venons de quitter. Le premier réflexe de mes nouveaux collègues consiste à observer ce qu’il se cache derrière toutes ces cellules… Ce n’est clairement pas l’attitude que j’aurai adopté, mais c’est probablement grâce à ça que nous avions été sauvées de la nôtre. Sait-on jamais, peut-être que le reste de notre propre groupe s’est malencontreusement retrouvé enfermé ici, lui aussi.
C’est donc par acquis de conscience que je choisis l’une des portes, et m’en rapproche.
Mes doigts saisissent la trappe, et l’entrouvre. Délicatement, je rapproche ensuite mes yeux de l’ouverture…. Ce qui implique de couper mon champ de vision de tout ce qui se passe autour de moi. Cette idée me fait frémir, mais j’essaye d’en passer outre. S’il y a un quelconque problème, mes alliés trouveront bien un moyen d’agir le temps que je m’en rende compte.
Une fois l’intérieur de la cellule en visuel, je la scrute attentivement. Il n’y a… Rien.
Pas le moindre objet, pas le moindre signe de vie. Seulement ces murs poisseux et un peu de cette encre qui s’est faufilée sous la porte… Par curiosité, je souhaite approcher ma main près de la poignée pour voir si elle est réellement verrouillée.
C’est donc au moment où je m’apprête à refermer la trappe qu’un mouvement se fait. Une ombre, impossible à identifier, qui parvient à se faufiler au travers de l’ouverture pour ensuite directement plonger dans l’encre. Par réflexe, je me retourne, joints ma deuxième main à la première, et…
-
Aucun son ne sort de mon arme lorsque je tire deux coups à l’endroit supposé de la disparition de cette… Chose. Pourtant, les balles sont bien parties. Est-ce que je l’ai eue ? Ai-je bien visé ? Impossible de l’affirmer dans l’immédiat. Tout ce que je peux faire, c’est tâter du pied la zone que je viens de viser, et voir si je rentre en contact avec un quelconque corps…
HRP:
* rolls the dice *
Cellule 5 ! Après avoir maudit une énième fois son existence, Velvet regarde dans la cellule 5. Une ombre s'échappe par la trappe, et elle tire deux balles à l'endroit où elle disparaît dans l'encre. Puis elle tâte la zone du pied pour voir si elle a touché un truc.
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Ven 11 Sep - 17:29
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Alors que Velvet tire ses balles silencieuses sur une ombre en espérant un résultat, Judie ouvre la quatrième cellule assez mécontente de son choix puisqu’elle se prend un doigt dans l’œil. Il ne passe pas plus d’une seconde pour que le punk à crête rose descende depuis les airs de sa cellule et ouvre la porte d’un grand coup de rangers.
La chef des Aquaforces est projetée an arrière par le choc, sans même y penser elle active son alter. Ses douces mains ridées glissent le long de l’encre, lui apportant le réconfort dont cette dernière à besoin après son précédent combat. Touchée par le geste, l’encre décide d’amortir la chute de Judie et de la redresser face à son adversaire. Mais déjà une bourrasque de vent s’engouffre en elle, par ses oreilles et ses narines, elle ne l’a pas entendu venir. Putain de silence. Elle essaye de faire appel à sa nouvelle amie l’encre d’un revers de main mais ses poignets refusent de bouger. Des doigts enroulés autour de ses poignets sont apparues de nulle part bloquant sa tentative. L’air lui manque, elle perd conscience, s’effondrant dans la flaque noire à ses pieds.
La scène s’est déroulée en un instant, ces deux adversaires savent se battre ensemble et utiliser le silence ambiant… Les cellules n’étaient pas fermées et ce sont des salles de tortures. Faire le lien entre ces deux éléments pourrait vous éviter de mourir prochainement.
Les plus attentifs remarqueront que des bouches commencent à germer sur la surface de la porte numéro 1. Peut-être même que certains ont remarqué que la porte du dernier étage émet une aura différente, que quelque chose s’y prépare.
Informations
Que le combat commence, vous disposez d’un joker pour tout le groupe à partir de maintenant que vous pouvez utilisez à tout moment. Si vous décidez de l’utilisez, précisez-le HRP et signalez-le-moi sur discord que je puisse poster ce Joker à ce moment-là.
En parallèle, si la raison pour laquelle les cellules ne sont pas toutes verrouillées n’est pas trouvée dans les trois premiers posts (en hrp ou en description), un évènement critique aura lieu. HF, no pression =)
PS : vos réponses étaient toutes cools.
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Lun 21 Sep - 23:08
Tout s’était passé très vite. Numéro Un, quelque peu indécis quant à sa découverte, avait tacher d’en informer le groupe. Mais alors que tout le monde se demandait quoi faire, que la cheffe des aquaforce faisait son entrée, et que le groupe se réunifiais plus ou moins, ses membres jetant un œil dans les cellules, un mouvement d’un côté de la pièce, et à peine numéro un y prêtait-il enfin attention, n’ayant pas été inquiété par le bruit, que déjà s’écroulais Judie, vaincue en une fraction de seconde par ce qui semblait être une caricature de méchant de jeu vidéo des années 90. Pour ne rien arranger, des escaliers au bout du couloir luisait une étrange lumière, venant probablement de la porte. Avait-elle été ouverte ? Mais la lumière qui s’échappait de la cage d’escalier ne ressemblait pas aux autres éclairages de la prison. Donc ce devait être autre chose. Numéro un était vaguement confus malgré la confiance conférée par son arme. Que faisaient ces gens ici ? Pourquoi leurs cellules n’étaient-elles pas fermées ? D’autant plus qu’ils étaient sortis à l’instant même ou les membres du groupe avaient jeter un œil à l’intérieur des cellules. Qu’est-ce qui les avaient poussés à être si réactif ? L’alarme silencieuse, les avaient elles mis sur le qui-vive ? Le jeune homme jeta un œil à Judie, au sol. Le fait de la savoir vaincue en si peu de temps, même prise par surprise, indiquais qu’il valait mieux éviter de sous-estimer ces gens. Bien sûr, le blond aurait aimé demander à ces joyeux lurons la raison de leur présence ici. Peut-être étaient-ils simplement des évadès, de potentiels alliés ayant servis de réserve d’alter a Big Bang. Mais le temps n’était pas vraiment à ça, et ils pouvaient tout aussi bien être les larbins de big bang, ou les « gardes rapprochée » du président. Cette pensée fit germer une nouvelle idée dans la tête du héros. Une idée peu héroïque, d’ailleurs. Prenant note dans sa tête, qu’il devrait vérifier si la cellule du président était ouverte aussi, le jeune homme se concentra sur le moment présent. Bêtement sûr de lui malgré la situation, il avança lentement vers le punk, tapotant le manche de son sabre contre son épaule, toisant le grossier individu.
« Dans la vie, y’a deux types de personnes. » Commença le jeune homme, Conscient de ne pas pouvoir être entendus. « Ceux qui tiennent le flingue, et ceux qui creusent. » Un sourire mauvais se dessina sur le visage du blond, visiblement trop imbus de lui-même pour attaquer par surprise. « Le souci, c’est que dans dix secondes, tu seras plus « dans la vie. » » Le message avait été silencieux, mais le regard provocateur et le sourire narquois du héros téméraire suffisaient à rendre évidentes ses intentions et sa provocation.
Et sans attendre plus longtemps, Numéro Un s’élança. Réfléchir était important, et peut être ces gens-là, n’étaient-ils pas des ennemis. Mais il ne pouvait pas prendre plus de risque face a un groupe ayant vaincu Judie en si peu de temps, quel que soit son niveau. Numéro un n’entendait pas ? Qu’à cela ne tienne ; il n’avait guère besoin de son ouïe, pour entendre venir les attaques. Son arme faisait ça très bien.
Rapidement, Storyteller couvris la distance qui le séparait du punk, et entreprit avec une agilité professionelle de le faucher d’un bon coup de fourreau, simple, et efficace. L’heure n’était plus à la retenue de toute façon.
tltr:
Num fait quelques hypothèse, décide qu'il a pas le temps de se poser des questions, et fonce donner un coup de main a judie, histoire qu'elle ne soit pas plus amochée ! (oh, et il balance une punchline, mais en silence, et du coup c'est triste. J'aime bien les punchline =w=
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Mer 23 Sep - 14:43
Bloody recollection
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Le malaise s’était ancré dans son coeur. Elle n’arrivait pas à se défaire de l’horrifique vision dont elle avait été témoin. Une scène digne des films d’horreur qu’elle aimait pourtant regarder de temps à autres. Au travers d’un écran, de la fiction, les séquences sanguinolentes ne la dérangeaient pourtant guère. Au mieux, elle détournait rapidement le regard, mais rien de plus. Ici, dans la réalité dans laquelle elle se tenait sur ses jambes tremblantes, son sort était tout autre. L’image qui s’était imprimée sur sa rétine ne voulait disparaître ni se faire oublier. Comme l’envie de rendre tripes et boyaux qui ne semblait pas vouloir la lâcher.
Numéro Un vint la voir, l’attitude et la pâleur de la jeune fille l’ayant sûrement interpellé. Pour une fois, la blonde mit son ego de côté et apprécia sincèrement son geste. Elle tenta de le rassurer d’un mouvement de tête. “Je t’assure, tout va bien, ça va aller” Elle prononçait ses phrases silencieuses, aussi bien pour lui que pour elle.
Elle ne devait pas plier face à son mal-être. La jeune fille s’accrocha au mur autant qu’elle le pouvait et tenta de rester debout.
La situation ne lui guère permit de faire autrement.
Elle vit une ombre sortir de la cellule que la lapine examinait. Cette dernière essaya vainement de lui tirer dessus dans la mer d’encre dans laquelle elle avait plongé. De son côté Judie, tomba à terre. Immobilisée par une paire de mains surgies de nulle part et étouffée par une bourrasque de vent créée par un ennemi qui était sortie de sa cellule sans la moindre difficulté. N’était-il pas prisonnier ? Pourquoi sa cellule n’était pas fermée à clé dans ce cas ? Valentine eut un frisson d’horreur. Le type sanguinolent pouvait-il sortir également dans ce cas ?
Elle préféra mettre cette hypothèse de côté. De façon rationnelle, car vu son état, il ne serait probablement pas capable de grand chose même s’il s’échappait, mais également pour se rassurer.
Les deux types qu’ils affrontaient étaient forts et savaient se battre ensemble vu la facilité avec laquelle ils ont mit au sol l’Amirale des Aquaforces. Cela ne fit cependant pas peur à Numéro Un qui agit le premier, s’élançant à toute vitesse sur le punk maître de l’air. Valentine ne doutait pas de ses capacités de combat, elle lui laissa avec plaisir le duel contre l’avatar à crête. De son côté, elle se concentra sur le deuxième ennemi, leur ami de l’ombre, invisible pour le moment. Grâce à son Alter, la blonde avait l’habitude d’observer et de réagir rapidement dès que quelque chose d’anormal entrait dans son champ de vision. Elle se mit ainsi en garde, Télémir devant elle tel un bouclier, prête à agir dès que l’autre larron ferait signe d’apparaître.
Cependant ce n’est pas lui qu’elle vit, non, De retour dans son film d’horreur, la blonde remarqua immédiatement les bouches qui commençaient à se former sur la première porte. Comme prise par un réflexe d’auto-défense, elle agit sous le coup de l’impulsion. Elle prit son miroir entre les mains, le plongea dans la mare d’encre qui baignait toujours leurs pieds et en balança autant que possible sur ces horribles lèvres. Elle espérait que le goût infect de l’encre serait transmis à leur immonde possesseur. Ils n’étaient clairement pas en position pour affronter un troisième adversaire...
- Valentine se remet de ce qu'elle a vu dans la cellule 1 grâce notamment à l'intervention de Numéro Un - Pendant qu'il fonce attaquer le punk de l'air, Valentine observe le reste du couloir à l'affut de l'apparition de son pote ombre. - A la place, elle remarque les bouches sur la cellule 1, et par réflexe leur balance un maximum d'encre avec l'aide de son miroir, en espérant que le goût infect soit transmis à leur possesseur.
Et vu la situation un peu désespérée, je fais aussi appel à notre joker !
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Mer 23 Sep - 17:13
Joker
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Tu rencontres une résistance surprenante alors que ton arme s’apprête à rentrer en contact avec le punk. Ton expérience te permet de vite comprendre la situation, tu fais face à une armure immatérielle, une armure de vent. Intelligemment, le punk utilise ta vitesse surhumaine pour dévier ton coup. Une brise de vent sur ton coude, une bourrasque par en-dessous, et voilà que ton coup tranche l’air. Du vent inaudible c’est quand même chiant.
Valentine
Tu utilises à ton avantage le décor et ta stratégie paye, toutes les bouches font la grimace et se mettent à te tirer la langue. Puis rapidement elle essaye de cracher l’encre qu’elles ont en bouche. Le punk est plié en deux. Mais en silence.
Tu étais prête à agir, une masse noire surgit soudain depuis le sol. Puis une seconde, puis une troisième, tu ne comprends plus rien à la situation. Alors que déjà dans ton dos une ombre surgit et commence à t’étrangler. Tu comprends mais trop tard. Les autres formes n’étaient que du vent couvert d’encre.
***
Les murs tremblent. La porte de la cellule du président est sur le point de céder face à une terrible pression. Les attaches pourtant en acier sont arrachées, plus rien ne retient l’énorme rectangle d’acier blindé qui vient s’écraser contre le mur opposé.
De l’eau jaillit en trombe par l’ouverture nouvellement créée, elle apporte avec elle des débris de verre, des briques roses, des blocs de marbre. La puissance du tsunami qui pénètre dans les lieux ravage la pièce, avant de se canaliser à nouveau en une bête aquatique féroce qui se jette contre la dernière cellule encore fermée. Cette seconde porte cède encore plus facilement que la première, le mur derrière elle suit son exemple et s’effondre à son tour.
Par la fenêtre brisée du président, Loncillus le jeune se hisse sur un escalier aquatique en provenance direct de l’océan, il rentre dans la salle et s’exclame :
« … »
Malgré son entrée théâtrale il semble assez déçu de ne pas pouvoir balancer sa réplique, tant pis. Derrière lui des quintaux d’eaux s’élèvent dans les airs sous la forme d’une énorme sphère. Il puise à l’intérieur et balance deux énormes jets vers les personnes qu’il ne reconnaît pas : le punk et son ombre. L’attaque n’est pas rapide mais elle a la puissance de broyer des immeubles, elle a la puissance d’un océan qui s’écraserait sur vous. Les deux ennemis sont balayés. Il est possible que vous subissiez des dommages collatéraux.
En haut de l’escalier, la porte s’ouvre. L’être le plus bizarre que vous n’ayez jamais vu apparaît. Il ressemble à… un ravioli chinois ? Peu importe vous regarderez l’image en spoiler à la fin du post. Il tapote ses doigts joufflus sur le mur, d’énormes ondes se propagent alors le long des murs, sur le sol, viennent secouer votre corps. C’est le fils de groseille qui vous a plongé dans le silence, il contrôle les ondes.
Vous êtes pris dans une bataille entre deux monstres. A vous d’apporter votre soutien comme vous l’entendez. Je vous juge.
L'être étrange qui vient d'arriver:
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Jeu 24 Sep - 22:53
Dans une telle situation, discrétion était le mot d’ordre. Bon, certes, de base, la discrétion leur était nécessaire étant donné qu’ils s’étaient retrouvés là dans le cadre d’une mission d’infiltration, bien que ce ne soit pas ce que la rose espérait initialement, mais étant donné où elle s’était retrouvée à force de suivre le groupe, il fallait désormais qu’elle redouble de… Discrétion. Enfin bref, Mint essayait donc de se montrer discrète. Ce qu’elle échoua, une fois de plus dirons certains. Néanmoins, cette fois-ci ce n’était pas de sa faute ! Ah ça non ! Comment expliquer… Et bien, la porte s’ouvrit grand malgré elle, alors qu’elle essayait vainement de la retenir, tenant fermement la poignée. Mais ce fut peine perdue. Les rats d’encre fondus la battirent, ce flot d’encre fut plus fort qu’elle. Voilà, faible et petite pousse qu’elle était. L’avantage était que maintenant tout le monde avait remarqué que la voie était libre, y compris la madame très forte qui commande en partie la mission ! N’était-ce pas le but principal après tout ? En plus l’inconnu au fond de la cellule ne semble même pas vouloir sortir, donc tout était parfaitement parfait. Ohlala, quel enchaînement d’événements heureux !
Magnifique, et donc le petit groupe pu rejoindre le reste du groupe en haut des escaliers maintenant que les pseudos rats n’essayaient plus d’emporter la rose dans les tréfonds des couloirs. Son optimisme lui fit presque oublier les blessures qu’elle avait aux jambes, si bien qu’elle n’en eu même pas informée la madame très forte lorsque celle-ci avait posé la question. Bien, Mint se trouvait désormais en haut des escaliers où de nouvelles portes se présentaient à eux. De nouvelles cellules ? C’était ce qui avait d’être le cas. Et en parlant de cela, certaines personnes n’hésitèrent pas à aller en explorer, pendant que la jeune demoiselle rose préférait rester en retrait. Certes, le seul prisonnier qu’elle avait pu apercevoir n’avait même pas oser bouger d’un seul cheveu lorsque la porte s’était ouverte, mais allait-ce être le cas de tous les autres locataires forcés ? Probablement pas, et c’est ce qui fut confirmé lorsque la madame supposément très forte se pris un doigt dans l’œil avant de se faire projeter en arrière et éventuellement perdre connaissance après qu’un monsieur bizarre avec quelques cheveux rose ne l’étrangle avec délicatesse. Bref, tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes. Et donc dans ce chaos bienveillant, Mint prit partie de rester en arrière, se faisant la plus discrète possible, hésitant même à fuir, à redescendre à l’étage inférieur où la vie y semblait soudainement plus paisible.
Les choses se gâtèrent à une vitesse surprenante, blondinet s’était remis à la bataille pendant que blondine se faisait étrangler à son tour par des trucs noirs. Sisi, tout faisait absolument sens pour la gamine qui ne voulait, rappelons-le, que récupérer des nouilles à la base. Ensuite les murs commencèrent à trembler, ce qui ne fit absolument pas paniquer Mint, et de l’eau apparut soudainement de nulle part, submergeant à peu près l’intégralité du couloir. Heureusement que la rose savait nager, autrement elle serait probablement morte d’effroi à l’heure qu’il était, à moins que ce ne soit déjà le cas. La bonne nouvelle était qu’avec ce tsunami surprise, la demoiselle pouvait désormais exercer son pouvoir à foison, la mauvaise nouvelle étant que son pouvoir ne servait absolument à rien. Bref, Mint se fait emporter par le tsunami, puis elle ne se fait plus emporter le tsunami qui se transforme en dragon, puis elle se refait emporter par un tsunami en même temps que le monsieur bizarre avec des cheveux rose et l’autre truc qui avait étranglé la madame très forte un peu plus tôt. En sortant sa tête de l’eau, essayant de reprendre du souffle tant bien que mal, elle remarque également l’apparition d’un gyoza humain. Hein, attendez une seconde, comment ça des gyozas ? Voulait-ce dire que les nouilles avaient été exterminées de la ville, sous l’influence des gyozas car le roi des gyozas avait conquis ces terres ? Mais quelles nouvelles terribles ! Un frisson d’effroi traversa la jeune fille, à moins que ce ne soit ces histoires d’ondes issues du gyoza humain. Mais dans tous les cas il fallait qu’elle combatte en l’honneur des nouilles ! Mais… Avec quoi ? Alors qu’elle dérivait, emportée par la vague, elle fouilla dans ses poches dans l’espoir de retrouver quelque chose d’utile. Une bouteille d’eau salée ? Au milieu d’autant d’eau ? Un briquet ? Dans de l’eau ? Un opinel ? … Le choix le plus intéressant visiblement. Mais que pouvait-elle en faire avec ses bras maigrichons uniquement habitués à tenir un stylo pendant environ vingt minutes consécutives tout au plus ?
Mint voulut jurer mais aucun son ne sortit de sa bouche. Ah juste, la zone était encore et toujours en mode silencieux. Elle soupira alors qu’elle essayait désespérément de se retenir à l’encadrement d’une cellule pour ne pas se faire emporter plus loin une fois de plus, remarquant au passage le retour de Loncimachin. Quelque chose lui agrippe la jambe, se retournant, elle aperçoit monsieur bizarre cheveux rose et se débat alors aussi bien qu’elle puisse pour que ce dernier ne lâche prise, en profitant pour lui arracher quelques mèches de sa crête désormais plus à cause des quelques jets d’eau un peu trop violent. L'idée de le poignarder la traversa l'espace d'un instant mais son coeur d'adolescente ne put encore envisager tant de violence et elle se contenta donc de donner au bonhomme des coups de pieds tout en lui arrachant des cheveux.
résumé Se fait emporter par les deux tsunami et se prend le chignon avec le punk.
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Ven 25 Déc - 23:41
Rien. J’ai beau tâter… Je ne trouve rien. Peut-être était-il audacieux de ma part d’espérer un résultat en tirant sur cette masse intangible. Mais… Il s’agissait seulement d’un réflexe. Je n’ai pas su quoi faire d’autre. Et dans l’immédiat, je ne vois pas non plus comment enchaîner…
Je relève la tête, dans le vain espoir de pouvoir interroger mes collègues. Et si l’absence complète de moyen pour y parvenir constitue alors un obstacle majeur, je réalise bien vite qu’il est de moindre importance face à ce qu’il se passe tout autour.
Sans déconner, putain… Je détourne les yeux quinze secondes… Quinze putain de secondes… Et voila que deux ennemis ont déboulé, et mis à terre Judie, pendant que les autres engagent le combat ! Si j’avais continué à me focaliser sur mon ombre une seconde de plus, j’aurai pu me faire neutraliser sans même prendre conscience qu’un affrontement avait débuté. Ce silence est une vraie plaie, et je ne cesserai jamais de m’en lamenter.
Beaucoup de mes alliés cherchent déjà à s’occuper de nos assaillants. Je pourrai bien tenter de leur tirer dessus, mais… Entre tous ces mouvements et les alters imprévisibles, je préfère m’en abstenir. Je rengaine mon arme, et fonce plutôt vers Judie.
Arrivée à sa hauteur, je la relève, et vérifie son état. Quelqu’un est déjà passé dessus avant, mais sait-on jamais. Impossible d’entendre les battements de son cœur, néanmoins, je parviens maladroitement à prendre son pouls. Elle est toujours en vie, c’est l’essentiel.
Tant bien que mal, je la relève. Nous devons nous mettre à l’abri avant que la situation ne dégénère encore plus…
-… !
Je n’ai même pas eu le temps de réfléchir à cette éventualité que les portes d’une cellule s’abattent. De l’eau jaillit, et le torrent qui se forme se mêle à l’encre pour former un tout encore plus chaotique. Mon seul réflexe est de protéger mes yeux d’un bras, et de tenir Judie de l’autre. Je ne sais même pas si ce que je fais sert à quelque chose : je suis simplement dépassée par les événements.
Dès la première accalmie, je toussote, et recrache l’eau parvenue à s’infiltrer dans mes poumons. Judie est toujours à mes côtés, et… Par miracle, elle semble revenir à elle. Que ce soit le contact familier de l’eau ou juste le choc, je n’en ai pas la moindre idée, mais je l’aide à se maintenir droite le temps qu’elle reprenne totalement ses esprits.
Lorsque cela arrive, son regard s’arrête tour à tour sur deux silhouettes. Je les suis tant bien que mal : un étrange individu au corps gris et difforme, et un autre, dont le visage m’est familier… N’est-ce pas justement un Aquaforce ?
Très honnêtement, sans l’avoir reconnu, je l’aurai difficilement affilié à un allié. Les attaques partent dans tous les sens et se déchaînent, n’épargnent personne. Maintenant que Judie est revenue à elle, la question pour moi n’est plus de savoir que faire pour aider… Mais que faire pour ne pas crever.
Ce combat me dépasse, et de trop loin. Je n’ai rien à faire ici.
D’ailleurs, dès le début, je n’avais absolument pas signé pour me retrouver là, en fait. J’allais difficilement fausser compagnie à mes alliés lorsque nous avons débarqué ici, mais maintenant, je ne vois plus trop ce qui me retient.
Ce n’est même pas une question de sens éthique ou professionnel. Juste une question de survie.
Épuisée, trempée, sale, et courbaturée. C’est ainsi que j’entreprends de dévaler les escaliers en sens inverse. D’autres les ont déjà déboulé, un peu contre leur gré d’ailleurs ; je ne tiens pas à subir le même traitement.
Pour la première fois peut-être depuis le début de cette mission, je sens que ma décision est la bonne. J’arrive tout juste en bas que je vois des individus en uniforme débouler. Des renforts ! La barrière est tombée ? Mon seul réflexe est de lever mes bras en signe de pacifisme, et d’indiquer mon uniforme de Repentie du regard. Puis, d’un mouvement de la tête, je désigne le haut des escaliers. J’ignore si ça s’est avéré bien utile, puisque la quasi-totalité de l’escadron va pour les gravir sans vraiment m’accorder leur attention. Ils ont cessé de me calculer dès lors qu’ils ont compris que je n’étais pas hostile.
Hagarde, je fais quelque pas de plus pour m’éloigner définitivement de tout affrontement, et m’effondre contre un mur. Des soldats ont commencé à envahir la prison un peu partout, et prennent progressivement le contrôle du lieu. Ça ne sert à rien que j’aille plus loin. J’ai juste à attendre que l’un d’eux vienne me prendre en charge…
Je suis désormais seule, sans la moindre trace des autres héros avec qui ma mission a débuté. Je ne sais même plus où se trouve cet abruti de cochon. Mais ça n’a aucune foutue importance. Je m’en contrefous. Toute cette journée a été un fiasco total. C’est un miracle que je sois encore en un seul morceau… Mais je ne me réjouirai à ce propos qu’une fois de retour à Starfish.
Putain, pourvu que tout ça n’ait pas servi à rien.
***
« -Je suis sincèrement désolé, mais ça ne va pas être possible. -... »
La journée touche à sa fin. Le soleil décline, et je suis sur le quai où attend le ferry qui va tous nous ramener à Starfish.
Il s’avère que l’autre moitié de mon groupe originel a mené à bien notre mission. La barrière de New York est tombée, et les forces armées cherchent maintenant à reprendre le contrôle de la ville. En tout cas, après avoir récupéré celui de la prison, ils nous ont permis d’évacuer. Ce dont je me satisfais pleinement, on ne va pas se mentir.
Ce dont je me satisfais moins, c’est le refus absolu qui survient au moment de rapatrier ma voiture à bord du bateau.
Il ne m’a pas fallu très longtemps pour la retrouver. Elle était là où je l’ai laissée. Elle a mis un petit moment pour démarrer, mais… J’ai pu la ramener jusqu’ici, à quai.
Mais voila. Alors que le bateau est juste là, son hangar grand ouvert… On me refuse le droit d’y faire rentrer mon véhicule. Prétendument qu’il ne fait pas partie des engins enregistrés à bord. Une question de charge à respecter, ou je ne sais quelle merde.
« -Il… Il va falloir que vous écartiez votre véhicule de l’entrée, madame. -… »
Les mains crispées sur le volant, je pousse un profond soupir. J’active le levier de vitesse, mais seulement pour orienter ma voiture dans une autre direction. Cela fait, je m’arrête, et me lève du siège conducteur, sans même prendre la peine d’arrêter le moteur.
Une fois à l’extérieur du véhicule, j’abaisse le levier du frein à main, tout juste actionné. Et c’est avec toute la frustration du monde que je claque la portière.
Lorsque je me retourne, la voiture a déjà recommencé à avancer. C’est tout doucement, mais inexorablement… Qu’elle avance tout droit, jusqu’au bout du quai.
« -Madame, vous… ? »
Je fusille du regard l’homme qui m’a refoulé. Puis, sans prêter plus d’attention que ça à mon véhicule, j’entreprends de grimper à bord du ferry.
Quelques secondes plus tard, on entend le son provoqué par la chute de ma voiture dans l'eau. Vient alors la plus sincère expression de mes sentiments à l'égard de cette mission.
« -Journée de merde. »
HRP:
Velvet sert à rien, donc elle décide d'aller aider Judie. Mais finalement Judie a plus besoin d'elle, et comme c'est le bordel, elle préfère se barrer. Elle croise des militaires et finalement, attend les renforts. Une fois sur le quai pour Starfish, sa voiture se fait refouler. De frustration, elle l'envoie dans l'eau.